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Le récit est celui d'un casse de banque qui tourne mal dans les années 50 en Amérique. Un jeune fermier de l'Oklahoma va être mêlé malgré lui à de sordides histoires car son frère trempe dans la mafia. On s'attache très vite au personnage de Happy Wimbush peut-être à cause de sa naïveté. Le lecteur espère qu'il s'en sortira.
Je pense que l'histoire aurait pu gagner en lisibilité en enlevant au moins un tome. De nombreux flash back ralentissent un peu l'action. Etait 'il par exemple indispensable de retracer les épisodes douloureux de la fin de la Seconde guerre mondiale vécu par l'inspecteur de police de la brigade des mœurs ? C'est un personnage crapuleux auquel on lui prête une psychologie non adaptée. C'est comme si on commençait à évoquer l'enfance martyr du Capitaine Crochet. Non seulement, c'est hors de propos, mais cela ne le fait pas!
Bon, il est vrai que ces flash back nous permettent de nous éclairer sur l'action d'un personnage. L'auteur nous donne ainsi un élément qui nous permet de reconstituer le puzzle. Au niveau du dessin, je ne peux qu'être satisfait de retrouver des personnages aux traits arrondis loin des productions actuelles parfois trop carrées et informatisées. Le souci du détail est présent comme en témoigne la reconstitution des bâtiments ou des voitures d'époque.
Le titre est également très bien choisi. Le poisson-clown est le seul poisson qui peut se balader au milieu des anémones sans se faire attraper et déguster tout cru.
J'ai beaucoup aimé également la conclusion inattendue de cette histoire. On peut aisément tomber sous le charme de cette bonne série policière.
C'est l'histoire d'un p'tit gars de la campagne qui se fait embarquer par son frère dans un cambriolage qui tourne mal. Ça se passe dans l'Amérique des années 50, c'est dessiné de manière un peu vieillotte mais très réussie (notamment sur les voitures de l'époque), et l'histoire plus simple au départ, réserve de beaux rebondissements.
Le poisson-clown est une oeuvre sans grande prétention, mais qu'on n'arrive étrangement pas à lâcher une fois commencée : révélations faîtes sous forme de flash-back, personnages bien fouillés, un peu de romance... un bien bon cocktail au final.
Une histoire on ne peut plus classique et manquant cruellement d'originalité (des malfrats préparent un casse, foirent le braquage de la banque et sont poursuivis par la police), un dessin certes plaisant mais pas non plus transcendant (trop humoristique, dans un style ligne claire "à l'ancienne") ... à priori ce premier tome de la série LE POISSON-CLOWN ne devrait pas faire plus d'effet que ça.
Et pourtant ... ce HAPPY s'avère être des plus agréables, l'ambiance séduit agréablement. Pour plusieurs raisons :
1/ la personnalité du héros, plutôt décalée par rapport aux canons habituels du genre policier. Le personnage de Happy, naïf et un brin maladroit, est très attachant.
2/ le dessin, s'il n'impressionne guère au niveau des personnages, est en revanche très convaincant en ce qui concerne les décors (rues, bars, immeubles ...) et surtout les voitures. Un dessin très soigné, où les éléments du décors sont produits avec un vrai souci de minutie.
3/ le cadre général de l'intrigue : l'atmosphère des USA années 50 est magistralement retranscrite, et participe de belle manière au climat très agréable de cet album.
4/ Le système narratif et les nombreux flash-backs, un peu déroutants au début, mais qui sont très efficaces et n'embrouillent pas trop la compréhension du scénario.
En bref, HAPPY est un bon album d'introduction pour une série policière qui ne révolutionnera pas le genre mais qui se révèle être très agréable à lire.
Une série policière un peu troublante, par la voix off incessante qui accompagne les moindres faits et gestes de nos héros.
Des dessins un peu "vieillots" et une belle galerie de personnages.
Mais rien d'original et un scénario plutôt lent.
A suivre néanmoins.
6/10.
Quand Happy décide de rejoindre son frère dans la jungle urbaine des villes américaines des années 50, il est encore loin de se douter qu'il va devoir se rendre complice du braquage d'une banque.
Cette histoire policière en 4 tomes est passionnante sans avoir besoin d'user abusivement de retournements de situation ou de coups de théâtre. Le dessin est parfaitement adapté à cette série pour accentuer l'humour du récit et des dialogues. Le scénario est limpide.
Tous les ingrédients sont là pour en faire une des meilleurs série policière de la BD.
Voilà une bonne série policière. L'histoire en soit est sans grande originalité puisqu'il s'agit d'un casse de banque qui ne tourne pas très bien et de la course poursuite qui s'en suit. L'intérêt vient de l'originalité de la narration. Tout au long des 4 tomes, Chauvel, à l'aide de Flash-back (c'est vrai parfois un peu fatigant) nous fait revivre ce qu'il s'est passe à travers les différents personnages et nous donne à chaque fois de nouveaux éléments. Ce n'est pas sans rappeler la technique de narration présente dans Watchmen (de Alan Moore), et ce n'est pas étonnant car c'est cet auteur qui a donné à Chauvel l'envie de faire du scénario de BD.
Côté dessin, on est surpris au début car le style un peu "humoristique" n'est pas celui qu'on aurait pu imaginer mais à la longue, on s'y fait et il s'avère être très réussi.
Le récit est celui d'un casse de banque qui tourne mal dans les années 50 en Amérique. Un jeune fermier de l'Oklahoma va être mêlé malgré lui à de sordides histoires car son frère trempe dans la mafia. On s'attache très vite au personnage de Happy Wimbush peut-être à cause de sa naïveté. Le lecteur espère qu'il s'en sortira.
Je pense que l'histoire aurait pu gagner en lisibilité en enlevant au moins un tome. De nombreux flash back ralentissent un peu l'action. Etait 'il par exemple indispensable de retracer les épisodes douloureux de la fin de la Seconde guerre mondiale vécu par l'inspecteur de police de la brigade des mœurs ? C'est un personnage crapuleux auquel on lui prête une psychologie non adaptée. C'est comme si on commençait à évoquer l'enfance martyr du Capitaine Crochet. Non seulement, c'est hors de propos, mais cela ne le fait pas!
Bon, il est vrai que ces flash back nous permettent de nous éclairer sur l'action d'un personnage. L'auteur nous donne ainsi un élément qui nous permet de reconstituer le puzzle. Au niveau du dessin, je ne peux qu'être satisfait de retrouver des personnages aux traits arrondis loin des productions actuelles parfois trop carrées et informatisées. Le souci du détail est présent comme en témoigne la reconstitution des bâtiments ou des voitures d'époque.
Le titre est également très bien choisi. Le poisson-clown est le seul poisson qui peut se balader au milieu des anémones sans se faire attraper et déguster tout cru.
J'ai beaucoup aimé également la conclusion inattendue de cette histoire. On peut aisément tomber sous le charme de cette bonne série policière.
Un bon cocktail à l'ancienne.
C'est l'histoire d'un p'tit gars de la campagne qui se fait embarquer par son frère dans un cambriolage qui tourne mal. Ça se passe dans l'Amérique des années 50, c'est dessiné de manière un peu vieillotte mais très réussie (notamment sur les voitures de l'époque), et l'histoire plus simple au départ, réserve de beaux rebondissements.
Le poisson-clown est une oeuvre sans grande prétention, mais qu'on n'arrive étrangement pas à lâcher une fois commencée : révélations faîtes sous forme de flash-back, personnages bien fouillés, un peu de romance... un bien bon cocktail au final.
Une histoire on ne peut plus classique et manquant cruellement d'originalité (des malfrats préparent un casse, foirent le braquage de la banque et sont poursuivis par la police), un dessin certes plaisant mais pas non plus transcendant (trop humoristique, dans un style ligne claire "à l'ancienne") ... à priori ce premier tome de la série LE POISSON-CLOWN ne devrait pas faire plus d'effet que ça.
Et pourtant ... ce HAPPY s'avère être des plus agréables, l'ambiance séduit agréablement. Pour plusieurs raisons :
1/ la personnalité du héros, plutôt décalée par rapport aux canons habituels du genre policier. Le personnage de Happy, naïf et un brin maladroit, est très attachant.
2/ le dessin, s'il n'impressionne guère au niveau des personnages, est en revanche très convaincant en ce qui concerne les décors (rues, bars, immeubles ...) et surtout les voitures. Un dessin très soigné, où les éléments du décors sont produits avec un vrai souci de minutie.
3/ le cadre général de l'intrigue : l'atmosphère des USA années 50 est magistralement retranscrite, et participe de belle manière au climat très agréable de cet album.
4/ Le système narratif et les nombreux flash-backs, un peu déroutants au début, mais qui sont très efficaces et n'embrouillent pas trop la compréhension du scénario.
En bref, HAPPY est un bon album d'introduction pour une série policière qui ne révolutionnera pas le genre mais qui se révèle être très agréable à lire.
Une série policière un peu troublante, par la voix off incessante qui accompagne les moindres faits et gestes de nos héros.
Des dessins un peu "vieillots" et une belle galerie de personnages.
Mais rien d'original et un scénario plutôt lent.
A suivre néanmoins.
6/10.
Quand Happy décide de rejoindre son frère dans la jungle urbaine des villes américaines des années 50, il est encore loin de se douter qu'il va devoir se rendre complice du braquage d'une banque.
Cette histoire policière en 4 tomes est passionnante sans avoir besoin d'user abusivement de retournements de situation ou de coups de théâtre. Le dessin est parfaitement adapté à cette série pour accentuer l'humour du récit et des dialogues. Le scénario est limpide.
Tous les ingrédients sont là pour en faire une des meilleurs série policière de la BD.
Voilà une bonne série policière. L'histoire en soit est sans grande originalité puisqu'il s'agit d'un casse de banque qui ne tourne pas très bien et de la course poursuite qui s'en suit. L'intérêt vient de l'originalité de la narration. Tout au long des 4 tomes, Chauvel, à l'aide de Flash-back (c'est vrai parfois un peu fatigant) nous fait revivre ce qu'il s'est passe à travers les différents personnages et nous donne à chaque fois de nouveaux éléments. Ce n'est pas sans rappeler la technique de narration présente dans Watchmen (de Alan Moore), et ce n'est pas étonnant car c'est cet auteur qui a donné à Chauvel l'envie de faire du scénario de BD.
Côté dessin, on est surpris au début car le style un peu "humoristique" n'est pas celui qu'on aurait pu imaginer mais à la longue, on s'y fait et il s'avère être très réussi.