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Au début, on est heureux de découvrir un couple qui s'aime éperdument. On croit en l'amour entre ces deux êtres qui se complètent. Puis, la pluie va commencer à tomber pour ne plus s'arrêter comme un espèce de signe du destin ou de symbolique psychologique. Est-ce que tout coule de source ?
On découvre alors dans l'intimité de ce couple des divergences et des regrets cachés comme celui d'avoir ou pas un enfant. C'est bel et bien une histoire d'amour qui va se diluer sous la pluie. C'est beau et c'est intense mais la fin ne m'a pas littéralement convaincu.
Bien sûr, le déluge n'est qu'une image qu'il faut savoir interpréter. Un album intime et mélancolique auquel il manque ce petit quelque chose pour en faire une oeuvre franchement bien.
Il est maître-nageur et nage dans le bonheur avec Maya, une sage-femme qu’il aime. Leur couple rayonne, ils se complètent, se croisent le matin car elle travaille la nuit et lui le jour. Puis arrive la pluie, d’abord quelques gouttes, puis un vrai déluge. Au milieu de se déluge, leur couple part à la dérive car lentement cette pluie va les mettre à nu, lavant petit à petit toute trace d’amour.
Cette histoire est loin d’être passionnante ou captivante, c’est très contemplatif, très intime comme récit. On le referme avec une sensation étrange, comme si on venait de remonter à la surface après avoir passé un moment intime sous l’eau, un moment flou sans trop de paroles.
Les couleurs renforcent cette sensation d’intimité, les cadrages sont très rapprochés, parfois trop et l’on a alors du mal à déchiffrer ces gros-plans. D’un autre côté ces gros-plans légèrement vagues s’accordent parfaitement au récit lent et rêveur.
Au début, on est heureux de découvrir un couple qui s'aime éperdument. On croit en l'amour entre ces deux êtres qui se complètent. Puis, la pluie va commencer à tomber pour ne plus s'arrêter comme un espèce de signe du destin ou de symbolique psychologique. Est-ce que tout coule de source ?
On découvre alors dans l'intimité de ce couple des divergences et des regrets cachés comme celui d'avoir ou pas un enfant. C'est bel et bien une histoire d'amour qui va se diluer sous la pluie. C'est beau et c'est intense mais la fin ne m'a pas littéralement convaincu.
Bien sûr, le déluge n'est qu'une image qu'il faut savoir interpréter. Un album intime et mélancolique auquel il manque ce petit quelque chose pour en faire une oeuvre franchement bien.
Il est maître-nageur et nage dans le bonheur avec Maya, une sage-femme qu’il aime. Leur couple rayonne, ils se complètent, se croisent le matin car elle travaille la nuit et lui le jour. Puis arrive la pluie, d’abord quelques gouttes, puis un vrai déluge. Au milieu de se déluge, leur couple part à la dérive car lentement cette pluie va les mettre à nu, lavant petit à petit toute trace d’amour.
Cette histoire est loin d’être passionnante ou captivante, c’est très contemplatif, très intime comme récit. On le referme avec une sensation étrange, comme si on venait de remonter à la surface après avoir passé un moment intime sous l’eau, un moment flou sans trop de paroles.
Les couleurs renforcent cette sensation d’intimité, les cadrages sont très rapprochés, parfois trop et l’on a alors du mal à déchiffrer ces gros-plans. D’un autre côté ces gros-plans légèrement vagues s’accordent parfaitement au récit lent et rêveur.