. Pinocchia | Barry lyndon | Comme neuf | 28.00€ | |
. Pinocchia | stan prozak | Très bon état | 25.00€ |
Info édition : Page 56 : cet album a été imprimé et relié en mai 2001 par les presses de l'imprimerie Pollina à Luçon pour la SEFAM Au dos en bas à droite : n° 60 5189 0 au dessus de l'ISBN
Info édition : .
Info édition : ISBN 978-2-2260-8002-8/004. Edition "Glénat"
"Pinocchia" régale par le dessin de Gibrat toujours fourni et coloré, avec un brin d'érotisme cette fois-ci. Coté scénario, l'idée est originale, l'humour grivois et les références ne manquent pas, c'est une œuvre à prendre avec un ton léger. Même si cela n'en fait pas non plus une œuvre incontournable, elle a le mérite d'exister et de faire plaisir aussi bien à ses lecteurs, que ses auteurs qui semblent s'être bien amusés sur ce one shot.
L'héroïne de Gibrat me semble est la seule qu'il maîtrise parfaitement avec un visage très plaisant et des courbes parfaites, rébarbative dans l'ensemble de sa biographie. Gibrat me semble parfois très limité mais il a un potentiel et il ne s'en rend pas compte, selon mon opinion. Le genre de fille qu'on se taperait bien, pour être honnête, moins pulpeuse que Drunna mais plus réaliste. Gibrat devrait se créer d'autres héroïnes aussi belles... Moi, je l'adore son héroïne, elle est tout-à-fait dans mes critères esthétiques. Une bombe quoi... Ce qui est étrange c'est que parfois ses héros masculins ont des traits similaires à notre Pinocchia, ils ont ce trait efféminé qui me gêne ou me rend jaloux.
On peut féliciter Gibrat du fait qu'il a conçu cet album dans le but de nous montrer son héroïne nue, mais aussi d'un point de vue plus léger, plus accessible (pour les obsédés LOL), plus frivole... L'histoire de Pinocchio version maman, avec la baleine, c'était une très bonne idée, elle est facile, naïve et malmenée tel Pinocchio avec les seins qui croissent lorsqu'elle ment. Ce qu'il faudrait parfois c'est une femme difficile d'accès mais très cochonne une fois conquise. Je crois que ce serais un sacré challenge en bd et je crois que c'est difficile à réaliser. Cet album est plus qu'honorable, la lecture agréable. Il mérite largement ses 3 étoiles, mais dans mes critères je ne peux pas en mettre quatre.
Si on compare Pinocchia à Epoxy, je dirai qu'il n'y a pas photo. Il y a une histoire complète avec des références aux différents contes qui été exploité plus ou moins adroitement. L'érotisme est au service des mythes de notre enfance avec de bons moments de fantaisie.
Il y a également et surtout le charme du dessin. On reconnait la patte de Gibrat qui s'est encore amélioré par la suite. J'aime beaucoup son trait et ses couleurs qui font merveille. Son aptitude à dessiner la femme la rend encore plus belle.
A la place du nez, c'est la poitrine qui grossit lorsque Pinocchia ment. C'est plutôt une habile idée pour assouvir tous les fantasmes. Il y a certes de la candeur et de la naïveté dans ce personnage, mais c'est une oeuvre atypique qui e tombe aucunement dans la pornographie. Cela souffre sans doute d'une certaine forme de vieillerie.
Une fable pour enfants finalement remanié pour adultes qui n'est pas désagréable pour les yeux.
J'avais acheté cette bd il ya quelques années après avoir découvert le fantastique travail de Gibrat dans Le Sursis.
Certes, on reconnait le trait si particulier de Gibrat mais malheureusement le scénario de Francis Leroi ne suit pas. Partant d'une idée originale d'une histoire grand public (à l'image de Gulliveriana de Manara), les aventures de cette lointaine cousine de Pinocchio ne convainc guère. Une succession de tableau, prétexte à dessiner les courbes avantageuses de notre héroïne.
Dommage car Gibrat possède un talent certain pour ce genre de dessin.
A lire au moins une fois pour découvrir Gibrat sous un ciel nouveau, mais de là à l'acheter....
L'idée de faire de Pinocchio une fille était excellente. Le dessin de Gibrat est fabuleux mais l'histoire n'est quand même pas très folichonne.