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Cet album est passé très près de devenir mon préféré, mais comme c'est souvent le cas dans Philémon, rendu à peu près à la moitié, l'intérêt de l'histoire s'est graduellement éteint en crépitant.
Au départ, j'ai beaucoup aimé cette histoire de déluge dans le monde des lettres de l'Atlantique. Il pleut tout le temps et il y a un côté particulièrement sombre à l'histoire. J'aime cette idée de seau qu'il faut utiliser pour écoper l'océan. Fred revient également en force avec ses images de synthèse ici, et ce n'est pas plus mal. Le retour de Vendredi est également bienvenu, même s'il a gagné une personnalité légèrement... colérique.
Là où j'ai décroché, c'est lors de l'apparition du Trompomp, sorti de nulle part et qui vient sauver tout le monde. Ce n'est pas la première fois que Fred emploie des ressorts aussi faciles, mais c'est toujours aussi décevant. Ensuite, toute la section avec la Mort m'a aussi laissé de marbre, avec des dialogues beaucoup moins recherchés dans l'ensemble, malgré quelques bonnes trouvailles.
Une excellente première moitié et une décevante seconde, voilà ce qui résume cet album pour moi.
Scène biblique de l'arche de Noé vu par Fred. L'arche mouvante est une ile fixe. Le bois du bateau est un palace. Et la colombe est un animal tout moche qui avale la crue par ses extrémités.
Ici est le monde des lettres de l'océan atlantique, merveilleux et poétique. L'auteur s'amuse à coller, à sortir du cadre et construire de beaux dialogues qui racontent de belles choses souvent drôles, souvent absurdes et diablement rafraîchissantes.
Ici, la réinvention de ce déluge biblique est farfelue à souhait mais aussi profondément humaniste. Ici tout les peuples des iles-lettres sont saufs. Personne ne meurt contrairement au génocide du cataclysme divin car Fred est un profond humaniste. D'ailleurs Philémon sauve le personnage de la mort dans les dédales d'un arc en ciel. Et il n'est clairement pas un mauvais bougre. Peut être trop chef d'entreprise arriviste. Et la comparaison certes peu pertinente n'en demeure pas moins drôle de jeux de mots.
Fred n'est pas un méchant ici. Il raconte juste de belles histoires. Cet opus en est un. Réjouissant.
Cet album est passé très près de devenir mon préféré, mais comme c'est souvent le cas dans Philémon, rendu à peu près à la moitié, l'intérêt de l'histoire s'est graduellement éteint en crépitant.
Au départ, j'ai beaucoup aimé cette histoire de déluge dans le monde des lettres de l'Atlantique. Il pleut tout le temps et il y a un côté particulièrement sombre à l'histoire. J'aime cette idée de seau qu'il faut utiliser pour écoper l'océan. Fred revient également en force avec ses images de synthèse ici, et ce n'est pas plus mal. Le retour de Vendredi est également bienvenu, même s'il a gagné une personnalité légèrement... colérique.
Là où j'ai décroché, c'est lors de l'apparition du Trompomp, sorti de nulle part et qui vient sauver tout le monde. Ce n'est pas la première fois que Fred emploie des ressorts aussi faciles, mais c'est toujours aussi décevant. Ensuite, toute la section avec la Mort m'a aussi laissé de marbre, avec des dialogues beaucoup moins recherchés dans l'ensemble, malgré quelques bonnes trouvailles.
Une excellente première moitié et une décevante seconde, voilà ce qui résume cet album pour moi.
Scène biblique de l'arche de Noé vu par Fred. L'arche mouvante est une ile fixe. Le bois du bateau est un palace. Et la colombe est un animal tout moche qui avale la crue par ses extrémités.
Ici est le monde des lettres de l'océan atlantique, merveilleux et poétique. L'auteur s'amuse à coller, à sortir du cadre et construire de beaux dialogues qui racontent de belles choses souvent drôles, souvent absurdes et diablement rafraîchissantes.
Ici, la réinvention de ce déluge biblique est farfelue à souhait mais aussi profondément humaniste. Ici tout les peuples des iles-lettres sont saufs. Personne ne meurt contrairement au génocide du cataclysme divin car Fred est un profond humaniste. D'ailleurs Philémon sauve le personnage de la mort dans les dédales d'un arc en ciel. Et il n'est clairement pas un mauvais bougre. Peut être trop chef d'entreprise arriviste. Et la comparaison certes peu pertinente n'en demeure pas moins drôle de jeux de mots.
Fred n'est pas un méchant ici. Il raconte juste de belles histoires. Cet opus en est un. Réjouissant.