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Encore un Philémon moyen pour moi. D'un point de vue scénaristique, ce n'est pas très intéressant. Par contre, le visuel est beaucoup plus accrocheur qu'il ne l'était dans l'album précédent. On a même droit à un chanteur qui est pris dans son tube... C'est monnaie courante, pour Fred, de rendre littéralement de manière visuelle une expression métaphorique. Parfois, ça donne de bonnes idées, parfois, on se dit que c'est du déjà vu. Un album pas complètement dénué d'intérêt, surtout grâce aux yeux de la chatte et d'une révélation inattendue sur les soleils, mais le final avec les queues du chat ne m'a pas convaincu.
Comment Fred, avec des pitch tout pourris, ( ici, un capitaliste cherche des monstres pour faire fortune) peut réussir des albums d'une si grand richesse visuelle et poétique?
Comment les émotions véhiculent entre le lecteur et ce monde merveilleux des lettres de l'océan atlantique avec autant de grâce ?
Par sa plume et sa narration pourtant improvisée ( on le sait par ses divers interviews) se dégage tant de plénitude. Il y a toujours l'errance en toile de fond. Il y a toujours la nostalgie et cette sensation de ne jamais être vraiment heureux. On retrouve l'enfant Mano Mano mais ces retrouvailles n'en sont pas vraiment et sont remplies d'une immense nostalgie triste.
Fred prend le contre pieds d'absolument tout. Et la lecture, on le sait, sera toujours onirique. Mais, Fred assume sa plume poétique même visuelle. Et ce sont des planches superbes qui nous en mets plein les mirettes !!! Pourtant les dessins sont simples mais d'une telle maitrise dans le découpage et la narration visuelle. Et puis il y a les couleurs de Fred. Toujours simple et toujours efficaces dans toujours une narration visuelle qui, toujours, nous surprend et sert admirablement le propos.
Et puis il y a les personnages. Pas ceux des humains qui sont tous connus depuis déjà 11 albums. Mais ceux des "monstres": philosophes et oniriques, généreux et fatalistes. Tous racontent quelques choses de simplement beaux et tous prennent de la place majestueusement dans les cases ou ils oblitèrent tout avec ravissement et dans les textes ou ils sont les seuls être juste.
Fred aime ces beaux "monstres" et nous les aimons tout autant.
Encore un Philémon moyen pour moi. D'un point de vue scénaristique, ce n'est pas très intéressant. Par contre, le visuel est beaucoup plus accrocheur qu'il ne l'était dans l'album précédent. On a même droit à un chanteur qui est pris dans son tube... C'est monnaie courante, pour Fred, de rendre littéralement de manière visuelle une expression métaphorique. Parfois, ça donne de bonnes idées, parfois, on se dit que c'est du déjà vu. Un album pas complètement dénué d'intérêt, surtout grâce aux yeux de la chatte et d'une révélation inattendue sur les soleils, mais le final avec les queues du chat ne m'a pas convaincu.
Comment Fred, avec des pitch tout pourris, ( ici, un capitaliste cherche des monstres pour faire fortune) peut réussir des albums d'une si grand richesse visuelle et poétique?
Comment les émotions véhiculent entre le lecteur et ce monde merveilleux des lettres de l'océan atlantique avec autant de grâce ?
Par sa plume et sa narration pourtant improvisée ( on le sait par ses divers interviews) se dégage tant de plénitude. Il y a toujours l'errance en toile de fond. Il y a toujours la nostalgie et cette sensation de ne jamais être vraiment heureux. On retrouve l'enfant Mano Mano mais ces retrouvailles n'en sont pas vraiment et sont remplies d'une immense nostalgie triste.
Fred prend le contre pieds d'absolument tout. Et la lecture, on le sait, sera toujours onirique. Mais, Fred assume sa plume poétique même visuelle. Et ce sont des planches superbes qui nous en mets plein les mirettes !!! Pourtant les dessins sont simples mais d'une telle maitrise dans le découpage et la narration visuelle. Et puis il y a les couleurs de Fred. Toujours simple et toujours efficaces dans toujours une narration visuelle qui, toujours, nous surprend et sert admirablement le propos.
Et puis il y a les personnages. Pas ceux des humains qui sont tous connus depuis déjà 11 albums. Mais ceux des "monstres": philosophes et oniriques, généreux et fatalistes. Tous racontent quelques choses de simplement beaux et tous prennent de la place majestueusement dans les cases ou ils oblitèrent tout avec ravissement et dans les textes ou ils sont les seuls être juste.
Fred aime ces beaux "monstres" et nous les aimons tout autant.