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Le phalanstère au bout du monde est une bd en noir et blanc qui se laisse lire mais qu'on n'apprécie pas forcément.
L'ambiance est très lourde du début jusqu'à la fin. Des parents abandonnent leur enfant dans un phalanstère accessible seulement quelques heures par an en fonction de la marée.
On a vite une impression de claustrophobie car on se rend compte que des enfants sont enfermés dans une sorte de pénitencier. On se dit qu'il va se passer quelque chose de positif afin de ne pas sombrer dans la noirceur la plus totale mais il n'en sera rien. Une machine à broyer toute les personnalités est en marche comme une métaphore de ce que peut représenter certains instituts d'enseignements. On peut y perdre son nom, sa personnalité, sa vie...
C'est vrai qu'on aborde les limites de l'absurde dans une espèce de société utopique. Il est vrai que le phalanstère est à la base un lieu de vie communautaire isolé. Cette histoire m'a rappelé Monsieur noir en ce qui concerne le cheminement opéré par le petit garçon timide, frêle et sans défense au départ. Bref, cela avait pour moi un air de déjà vu.
Ce récit est cauchemardesque et oppressant. Il n'est pas très positif. A lire si on n'a pas trop le cafard sinon à éviter absolument.
Tout est très bon dans cette oeuvre ! Le scénario est de haut vol et le dessin noir et blanc avec ce style si épuré et pourtant tant évocateur est magnifique !
L'histoire ne vous lache pas. Quand on commence, on n'a qu'une seule envie : aller au bout !
Franchement indispensable !
Je pense que l'on peut dire qu'avec ce one-shot, Corbeyran a fait fort. Le climat général du récit est tout à fait singulier ainsi que le scénario qui, lui non plus, ne manque pas d'originalité.
L'histoire nous plonge dans une ambiance glauque et oppressante. Dans cet univers, le temps semble figé et on suit le parcours d'un enfant que les parents ont laissé en pension dans un établissement hors du commun. A partir de là, on va essayer de découvrir avec notre pensionnaire, les secrets de cette école assez particulière.
Je dois dire que j'ai beaucoup aimé ce one-shot. Le récit est haletant et on tourne les pages avec beaucoup de curiosité. La narration est fluide et l'auteur ne fait aucune concession quant à l'aboutissement de cette histoire. En résumé, ce récit est dramatiquement beau !
Amaury Bouillez ("Pest") nous offre un dessin à la mesure du récit. Son trait épuré convient parfaitement à l'atmosphère crée par le scénariste.
A noter : Les visages sont très expressifs surtout devant la peur, ce qui intensifie la crédibilité de l'histoire.
Le Phalanstère du Bout du Monde ne manque vraiment pas d'intérêt. C'est un album qui mérite d'être lu.
Je le conseille vivement !!!!
Le phalanstère au bout du monde est une bd en noir et blanc qui se laisse lire mais qu'on n'apprécie pas forcément.
L'ambiance est très lourde du début jusqu'à la fin. Des parents abandonnent leur enfant dans un phalanstère accessible seulement quelques heures par an en fonction de la marée.
On a vite une impression de claustrophobie car on se rend compte que des enfants sont enfermés dans une sorte de pénitencier. On se dit qu'il va se passer quelque chose de positif afin de ne pas sombrer dans la noirceur la plus totale mais il n'en sera rien. Une machine à broyer toute les personnalités est en marche comme une métaphore de ce que peut représenter certains instituts d'enseignements. On peut y perdre son nom, sa personnalité, sa vie...
C'est vrai qu'on aborde les limites de l'absurde dans une espèce de société utopique. Il est vrai que le phalanstère est à la base un lieu de vie communautaire isolé. Cette histoire m'a rappelé Monsieur noir en ce qui concerne le cheminement opéré par le petit garçon timide, frêle et sans défense au départ. Bref, cela avait pour moi un air de déjà vu.
Ce récit est cauchemardesque et oppressant. Il n'est pas très positif. A lire si on n'a pas trop le cafard sinon à éviter absolument.
Tout est très bon dans cette oeuvre ! Le scénario est de haut vol et le dessin noir et blanc avec ce style si épuré et pourtant tant évocateur est magnifique !
L'histoire ne vous lache pas. Quand on commence, on n'a qu'une seule envie : aller au bout !
Franchement indispensable !
Je pense que l'on peut dire qu'avec ce one-shot, Corbeyran a fait fort. Le climat général du récit est tout à fait singulier ainsi que le scénario qui, lui non plus, ne manque pas d'originalité.
L'histoire nous plonge dans une ambiance glauque et oppressante. Dans cet univers, le temps semble figé et on suit le parcours d'un enfant que les parents ont laissé en pension dans un établissement hors du commun. A partir de là, on va essayer de découvrir avec notre pensionnaire, les secrets de cette école assez particulière.
Je dois dire que j'ai beaucoup aimé ce one-shot. Le récit est haletant et on tourne les pages avec beaucoup de curiosité. La narration est fluide et l'auteur ne fait aucune concession quant à l'aboutissement de cette histoire. En résumé, ce récit est dramatiquement beau !
Amaury Bouillez ("Pest") nous offre un dessin à la mesure du récit. Son trait épuré convient parfaitement à l'atmosphère crée par le scénariste.
A noter : Les visages sont très expressifs surtout devant la peur, ce qui intensifie la crédibilité de l'histoire.
Le Phalanstère du Bout du Monde ne manque vraiment pas d'intérêt. C'est un album qui mérite d'être lu.
Je le conseille vivement !!!!