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Il n’y a pas tromperie sur la marchandise, ce premier tome donne rapidement le ton : comme son titre l’indique, ce petit livre est rempli de riens, au pluriel. Trondheim nous y raconte sa vie d’auteur de BD jour après jour. On adhère ou pas à l’exercice, forcément nombriliste. Mais force est de constater qu’au-delà de sa petite personne, dépeinte comme toujours sous les traits d’une sorte de cacatoès, cela se révèle souvent intéressant, parfois drôle et teinté d’une autodérision inattendue quand il fait de ses angoisses et névroses le sujet de ses gags, en exposant ainsi son personnage aux jugements.
Le premier tome de l'excellente série des "Petits Riens", compilation d'un blog en BD narrant les "aventures" quotidiennes d'un Lewis Trondheim qui se prend visiblement la tête plus qu'à son tour, "la Malédiction du Parapluie" n'a peut être pas encore l'excellence formelle qui se développera peu à peu avec la maturation du "concept", et avec la croissante maîtrise de l'aquarelle dont témoignera Trondheim, mais il a sans doute sur ses successeurs l'avantage de la fraîcheur. L'empathie que crée Trondheim avec ses lecteurs est remarquable, et on se laisse rapidement séduire, et même parfois émouvoir, par ce regard pour le moins curieux que Trondheim jette sur le monde, sur les autres, sur la vie. Un regard jamais surplombant, jamais arrogant - Trondheim lui-même étant normalement la première victime du ridicule -, un regard qu'apprécieront surtout, il faut bien le dire, les plus paranoïaques et les plus hypocondriaques d'entre nous.
Ces petits riens portent bien leur nom, comme il le dit Lewis ne peut rien contre les grands problèmes du monde, mais il peut observer ce qui se passe autour de lui. On comprend qu'il soit copain avec Larcenet, entre parano !
Bref ces petites histoires sans intérêt se laissent lire et finissent par amuser quand on se reconnait dans ces situations, surtout que la mise en image est assez réussi.
Début un peu lent mais lorsqu'on rentre dans le personnage de Lewis Trondheim on prend plaisir.
Les thèmes évoqués sont d'actualités, les aquarelles sont très réussies.
En résumé, très bien à condition de se laisser prendre au jeu.
les amateurs de lewis trondheim risquent fort d'être très déçus par cet ouvrage. C'est plat, insipide, une suite de mini-histoires qui rappel étrangement le blog de frantico mais sans l'humour et surtout sans le talent de ce dernier. On a vraiment l'impression que l'auteur a tenté de surfer sur la vague "frantico" mais sans y arriver le moindre instant.
Bref, très décevant. l'auteur est vraiment en perte d'inspiration et je reste courtois...
Il n’y a pas tromperie sur la marchandise, ce premier tome donne rapidement le ton : comme son titre l’indique, ce petit livre est rempli de riens, au pluriel. Trondheim nous y raconte sa vie d’auteur de BD jour après jour. On adhère ou pas à l’exercice, forcément nombriliste. Mais force est de constater qu’au-delà de sa petite personne, dépeinte comme toujours sous les traits d’une sorte de cacatoès, cela se révèle souvent intéressant, parfois drôle et teinté d’une autodérision inattendue quand il fait de ses angoisses et névroses le sujet de ses gags, en exposant ainsi son personnage aux jugements.
Le premier tome de l'excellente série des "Petits Riens", compilation d'un blog en BD narrant les "aventures" quotidiennes d'un Lewis Trondheim qui se prend visiblement la tête plus qu'à son tour, "la Malédiction du Parapluie" n'a peut être pas encore l'excellence formelle qui se développera peu à peu avec la maturation du "concept", et avec la croissante maîtrise de l'aquarelle dont témoignera Trondheim, mais il a sans doute sur ses successeurs l'avantage de la fraîcheur. L'empathie que crée Trondheim avec ses lecteurs est remarquable, et on se laisse rapidement séduire, et même parfois émouvoir, par ce regard pour le moins curieux que Trondheim jette sur le monde, sur les autres, sur la vie. Un regard jamais surplombant, jamais arrogant - Trondheim lui-même étant normalement la première victime du ridicule -, un regard qu'apprécieront surtout, il faut bien le dire, les plus paranoïaques et les plus hypocondriaques d'entre nous.
Ces petits riens portent bien leur nom, comme il le dit Lewis ne peut rien contre les grands problèmes du monde, mais il peut observer ce qui se passe autour de lui. On comprend qu'il soit copain avec Larcenet, entre parano !
Bref ces petites histoires sans intérêt se laissent lire et finissent par amuser quand on se reconnait dans ces situations, surtout que la mise en image est assez réussi.
Début un peu lent mais lorsqu'on rentre dans le personnage de Lewis Trondheim on prend plaisir.
Les thèmes évoqués sont d'actualités, les aquarelles sont très réussies.
En résumé, très bien à condition de se laisser prendre au jeu.
les amateurs de lewis trondheim risquent fort d'être très déçus par cet ouvrage. C'est plat, insipide, une suite de mini-histoires qui rappel étrangement le blog de frantico mais sans l'humour et surtout sans le talent de ce dernier. On a vraiment l'impression que l'auteur a tenté de surfer sur la vague "frantico" mais sans y arriver le moindre instant.
Bref, très décevant. l'auteur est vraiment en perte d'inspiration et je reste courtois...