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« La Perdida » de Jessica Abel est une BD auto-biographique si j’ai bien compris. C’est l’histoire d’une Américaine, Carla, qui veut vivre au Mexique, plus précisément à Mexico (Capitale de la pollution). Elle n’a jamais connu son père, qui est Mexicain. Sa première motivation a partir dans ce pays est : la quête de ses origines. Comme beaucoup de gens, je ne suis jamais allé au Mexique (ça fais loin…). Et comme beaucoup, on se fait des images un peu hâtives de ce pays.. Je trouve cette BD très immersive. On rentre facilement dans l’histoire et comme elle, on évolue tout au long de l’histoire. Et c’est cette dernière chose qu’est géniale. Au début, comme elle, on bute sur la langue qu’est l’espagnol, on a du mal à lire on met plus de temps (obligé de lire la traduction à la fin de chaque cases) etc… Plus on avance dans l’histoire et plus on lit vite et facilement la BD, comme elle on apprend de mieux en mieux l’espagnol. C’est pour cela qu’on se sent à sa place, on ressent les choses qu’elle a ressenti lors de ce périple. Tout au long de l’histoire, on la voit désorienté, on ne sait pas comment ça va se terminer, et de plus elle se crée un monde qui ne reflète pas vraiment ce que les « locaux » vivent. On ressent l’exclusion perpétuelle de cette femme de part et d’autre de la frontière. C’est pour cela que je traduirai « La Perdida » par l’exclusion en français. Je trouve cette BD extrêmement touchante et précise, de par les faits historiques et réalistes, mais surtout de l’évolution de cette femme de par les nombreuses remises en question tout au long de cette palpitante histoire.
Le dessin est assez simple mais très communicatif. On ressent l’humiliation, la trahison, et surtout, l’exclusion, le désespoir d’une personne perdue …
Agréable lecture, scénario (ou histoire devrais-je dire) bien sympa narrant le décalage des mondes et la naïve idée de l'intégration facile, de l'acceptation de l'autre. Juste une petite déception concernant la dernière partie : je ne voyais pas une fin si "extrème", était-ce une réelle nécessité ? Je me pose la question. Il en demeure un livre de presque 300 pages d'excellente qualité.
Le dessin correspond parfaitement à l'ambiance voulue, j'ai eu une petite pensée pour le trait de craig Thompson...
« La Perdida » de Jessica Abel est une BD auto-biographique si j’ai bien compris. C’est l’histoire d’une Américaine, Carla, qui veut vivre au Mexique, plus précisément à Mexico (Capitale de la pollution). Elle n’a jamais connu son père, qui est Mexicain. Sa première motivation a partir dans ce pays est : la quête de ses origines. Comme beaucoup de gens, je ne suis jamais allé au Mexique (ça fais loin…). Et comme beaucoup, on se fait des images un peu hâtives de ce pays.. Je trouve cette BD très immersive. On rentre facilement dans l’histoire et comme elle, on évolue tout au long de l’histoire. Et c’est cette dernière chose qu’est géniale. Au début, comme elle, on bute sur la langue qu’est l’espagnol, on a du mal à lire on met plus de temps (obligé de lire la traduction à la fin de chaque cases) etc… Plus on avance dans l’histoire et plus on lit vite et facilement la BD, comme elle on apprend de mieux en mieux l’espagnol. C’est pour cela qu’on se sent à sa place, on ressent les choses qu’elle a ressenti lors de ce périple. Tout au long de l’histoire, on la voit désorienté, on ne sait pas comment ça va se terminer, et de plus elle se crée un monde qui ne reflète pas vraiment ce que les « locaux » vivent. On ressent l’exclusion perpétuelle de cette femme de part et d’autre de la frontière. C’est pour cela que je traduirai « La Perdida » par l’exclusion en français. Je trouve cette BD extrêmement touchante et précise, de par les faits historiques et réalistes, mais surtout de l’évolution de cette femme de par les nombreuses remises en question tout au long de cette palpitante histoire.
Le dessin est assez simple mais très communicatif. On ressent l’humiliation, la trahison, et surtout, l’exclusion, le désespoir d’une personne perdue …
Agréable lecture, scénario (ou histoire devrais-je dire) bien sympa narrant le décalage des mondes et la naïve idée de l'intégration facile, de l'acceptation de l'autre. Juste une petite déception concernant la dernière partie : je ne voyais pas une fin si "extrème", était-ce une réelle nécessité ? Je me pose la question. Il en demeure un livre de presque 300 pages d'excellente qualité.
Le dessin correspond parfaitement à l'ambiance voulue, j'ai eu une petite pensée pour le trait de craig Thompson...