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La curieuse et ridicule traduction du titre ne doit pas minorer l'excellence de l'œuvre. Car, l'air de rien, c'est une petite pépite de derrière les fagots que nous avons là.
Grandement inspiré (évidemment) de "la moisson rouge" de Dashiel Hammett ( qui avait déjà inspiré le Yojimbo de Kurosawa puis le "Pour une poignée de dollars" de Leone ou le "Dernier recours" de Hill) Mignacco y ajoute une suite spectaculaire de rebondissements. Le final, inspiré lui du "Parrain" de Coppola est un twist assez savoureux. Le rythme, haletant en diable, empêche toutefois le développement des personnages. On ressent bien qu'il y a des tentatives de profondeur comme celui du personnage féminin, magnifique de nudité et à l'esprit machiavélique. Mais ces essais échouent malgré tout car l'œuvre se veut aussi bourré de scènes d'actions particulièrement réussies.
Du coté du dessin, Rotundo est un orfèvre du noir et blanc. Son dessin impressionnant de maturité, ses scènes d'actions parfaites et ses découpages oscillent à la perfection avec l'ambiance des romans noirs des Sam Spade, Mickey Spillane et Philip Marlowe.
La BD Pas de pitié pour le privé ( 1997-éditions L’écho des savanes/Albin Michel)
du Scénariste italien, Luigi Mignacco, et du Dessinateur italien, Massimo Rotundo,
nous conte la mise à sac d’une ville, Good Haverest, gangrénée par la corruption
à tous les niveaux (police, gangs rivaux, industrie locale), dans les années 30.
Récit en noir et blanc où le lecteur ne découvrira qu’à la fin qui est le mystérieux
privé aux différentes identités .Qui, suite à un meurtre, construit
petit à petit sa vengeance.
Scénario et Dessins classiques mais où l’amateur des polars avec Humphrey Bogart,
retrouvera tous les ingrédients des films classiques en noir et blanc :
anti-héros, gueules de gangsters, scène de billard, alcools, opiumerie, courses poursuites,
corruption, grand chef mystérieux et prostituée au grand cœur.
A lire pour le plaisir, évidemment.
Un classique histoire policière dans l'Amérique des années 30. Pas d'originalité folle, c'est sûr, mais un travail solide et bien fait qui charmera tous les amateurs de polar en N&B (comme cette BD) avec Bogart dans le rôle de l'anti-héros ou du faux méchant.
La curieuse et ridicule traduction du titre ne doit pas minorer l'excellence de l'œuvre. Car, l'air de rien, c'est une petite pépite de derrière les fagots que nous avons là.
Grandement inspiré (évidemment) de "la moisson rouge" de Dashiel Hammett ( qui avait déjà inspiré le Yojimbo de Kurosawa puis le "Pour une poignée de dollars" de Leone ou le "Dernier recours" de Hill) Mignacco y ajoute une suite spectaculaire de rebondissements. Le final, inspiré lui du "Parrain" de Coppola est un twist assez savoureux. Le rythme, haletant en diable, empêche toutefois le développement des personnages. On ressent bien qu'il y a des tentatives de profondeur comme celui du personnage féminin, magnifique de nudité et à l'esprit machiavélique. Mais ces essais échouent malgré tout car l'œuvre se veut aussi bourré de scènes d'actions particulièrement réussies.
Du coté du dessin, Rotundo est un orfèvre du noir et blanc. Son dessin impressionnant de maturité, ses scènes d'actions parfaites et ses découpages oscillent à la perfection avec l'ambiance des romans noirs des Sam Spade, Mickey Spillane et Philip Marlowe.
Un pépite du polar bien noir que voila.
Pas de pitié pour le privé
La BD Pas de pitié pour le privé ( 1997-éditions L’écho des savanes/Albin Michel)
du Scénariste italien, Luigi Mignacco, et du Dessinateur italien, Massimo Rotundo,
nous conte la mise à sac d’une ville, Good Haverest, gangrénée par la corruption
à tous les niveaux (police, gangs rivaux, industrie locale), dans les années 30.
Récit en noir et blanc où le lecteur ne découvrira qu’à la fin qui est le mystérieux
privé aux différentes identités .Qui, suite à un meurtre, construit
petit à petit sa vengeance.
Scénario et Dessins classiques mais où l’amateur des polars avec Humphrey Bogart,
retrouvera tous les ingrédients des films classiques en noir et blanc :
anti-héros, gueules de gangsters, scène de billard, alcools, opiumerie, courses poursuites,
corruption, grand chef mystérieux et prostituée au grand cœur.
A lire pour le plaisir, évidemment.
Un classique histoire policière dans l'Amérique des années 30. Pas d'originalité folle, c'est sûr, mais un travail solide et bien fait qui charmera tous les amateurs de polar en N&B (comme cette BD) avec Bogart dans le rôle de l'anti-héros ou du faux méchant.