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Je définirais "Paris-Londres" comme une oeuvre de jeunesse du talentueux Sfar. On retrouve effectivement en germe non seulement des personnages (notamment le Malka des lions qu'on retrouvera dans « Le chat du rabbin » mais un mode narratif qui vont s'épanouir ultérieurement dans d'autres oeuvres plus mâtures.
L'histoire n'est point bizarre mais totalement absurde; je parle de cet absurde dont on ne peut rien tirer comme enseignement. C'est trop farfelu pour convaincre car cela laisse place à une totale improvisation. Cela a rendu ma lecture pas très plaisante avec un graphisme nerveux très hachuré et parfois très épuré.
Je dirai que c'est une loufoquerie de plus à réserver aux fans de l'auteur.
Je définirais "Paris-Londres" comme une oeuvre de jeunesse du talentueux Sfar. On retrouve effectivement en germe non seulement des personnages (notamment le Malka des lions qu'on retrouvera dans « Le chat du rabbin » mais un mode narratif qui vont s'épanouir ultérieurement dans d'autres oeuvres plus mâtures.
L'histoire n'est point bizarre mais totalement absurde; je parle de cet absurde dont on ne peut rien tirer comme enseignement. C'est trop farfelu pour convaincre car cela laisse place à une totale improvisation. Cela a rendu ma lecture pas très plaisante avec un graphisme nerveux très hachuré et parfois très épuré.
Je dirai que c'est une loufoquerie de plus à réserver aux fans de l'auteur.