Vous utilisez « Adblock » ou un autre logiciel qui bloque les zones publicitaires. Ces emplacements publicitaires sont une source de revenus indispensable à l'activité de notre site.
Depuis la création des site bdgest.com et bedetheque.com, nous nous sommes fait une règle de refuser tous les formats publicitaires dits "intrusifs". Notre conviction est qu'une publicité de qualité et bien intégrée dans le design du site sera beaucoup mieux perçue par nos visiteurs.
Pour continuer à apprécier notre contenu tout en gardant une bonne expérience de lecture, nous vous proposons soit :
de validez dans votre logiciel Adblock votre acceptation de la visibilité des publicités sur nos sites.
Depuis la barre des modules vous pouvez désactiver AdBlock pour les domaine "bdgest.com" et "bedetheque.com".
d'acquérir une licence BDGest.
En plus de vous permettre l'accès au logiciel BDGest\' Online pour gérer votre collection de bande dessinées, cette licence vous permet de naviguer sur le site sans aucune publicité.
Merci pour votre compréhension et soutien,
L'équipe BDGest
Les cookies sur Bedetheque.com :
Nous respectons votre vie privée, et n'utilisons que des cookies internes indispensables au fonctionnement du site.
En savoir plus Fermer
Les Black Panthers ont sans doute permis, par leur combat, de changer progressivement les lois raciales concernant la population afro-américaine pour plus d'égalité de droits. Certains de leurs membres l'ont chèrement payé en passant beaucoup d'année derrière les barreaux.
Cette BD va s'intéresser à trois d'entre eux qu'on a appelé les trois d'Angola, nom de la célèbre prison de Louisiane, un état du Sud plutôt raciste. L'un d'eux est devenu tristement célèbre en devenant la personne au monde à avoir passé le plus de temps en détention à l'isolement. Cela constitue réellement une profonde atteinte aux droits de l'homme.
On apprendra également que ce prisonnier du nom d'Albert Woodfox qui signe d'ailleurs la préface était innocent des crimes dont il était injustement accusé pour des raisons politiques. Au vu des éléments fournis par la BD dans son argumentation, son innocence ne fait aucun doute.
Je ne peux que maudire le système judiciaire américain qui n'a pas fait son travail correctement. Que dire également sur les établissements pénitenciers qui n'ont rien à envier. Les fouilles annales étaient le lot quotidien des prisonniers d’origine africaine comme une pratique ancestrale de l'esclavage. Un acte de justice viendra proscrire cette pratique en 1978.
Je suis vraiment admiratif du courage de cet homme qui a survécu contrairement à l'un de ses amis militants. C'est comme un nouveau Nelson Mandela. On ne peut qu'espérer que la situation s'améliore. Cependant, l'élection récente de Donald Trump à la présidence n'est pas de bon augure car le système semble être réellement vicié par le racisme. Il y aura encore du chemin à parcourir pour protéger et servir le peuple.
J'ai lu la nouvelle édition de cette BD reparu en 2017 à l'occasion de la libération d'Albert Woodfox qui a subi la ségrégation raciale de la manière la plus ignoble et la plus inhumaine. Oui, cela reste un témoignage utile pour lutter contre la haine.
Sujet effroyable avec ce système judiciaire et carcéral de La Louisiane qui s'acharne sur les "Trois d'Angola" dans une haine innommable et intolérable.
Si les dessins servent plutôt bien l'histoire, le choix d'un parti pris un peu trop marqué dessert à mes yeux les injustices endurées par ces 3 individus.
Info édition : Préface de 4 pages de Robert Hillary King. Dossier de 17 pages à la fin : "Le combat pour les trois d'Angola et contre la détention à l'isolement prolongé".
Les Black Panthers ont sans doute permis, par leur combat, de changer progressivement les lois raciales concernant la population afro-américaine pour plus d'égalité de droits. Certains de leurs membres l'ont chèrement payé en passant beaucoup d'année derrière les barreaux.
Cette BD va s'intéresser à trois d'entre eux qu'on a appelé les trois d'Angola, nom de la célèbre prison de Louisiane, un état du Sud plutôt raciste. L'un d'eux est devenu tristement célèbre en devenant la personne au monde à avoir passé le plus de temps en détention à l'isolement. Cela constitue réellement une profonde atteinte aux droits de l'homme.
On apprendra également que ce prisonnier du nom d'Albert Woodfox qui signe d'ailleurs la préface était innocent des crimes dont il était injustement accusé pour des raisons politiques. Au vu des éléments fournis par la BD dans son argumentation, son innocence ne fait aucun doute.
Je ne peux que maudire le système judiciaire américain qui n'a pas fait son travail correctement. Que dire également sur les établissements pénitenciers qui n'ont rien à envier. Les fouilles annales étaient le lot quotidien des prisonniers d’origine africaine comme une pratique ancestrale de l'esclavage. Un acte de justice viendra proscrire cette pratique en 1978.
Je suis vraiment admiratif du courage de cet homme qui a survécu contrairement à l'un de ses amis militants. C'est comme un nouveau Nelson Mandela. On ne peut qu'espérer que la situation s'améliore. Cependant, l'élection récente de Donald Trump à la présidence n'est pas de bon augure car le système semble être réellement vicié par le racisme. Il y aura encore du chemin à parcourir pour protéger et servir le peuple.
J'ai lu la nouvelle édition de cette BD reparu en 2017 à l'occasion de la libération d'Albert Woodfox qui a subi la ségrégation raciale de la manière la plus ignoble et la plus inhumaine. Oui, cela reste un témoignage utile pour lutter contre la haine.
Sujet effroyable avec ce système judiciaire et carcéral de La Louisiane qui s'acharne sur les "Trois d'Angola" dans une haine innommable et intolérable.
Si les dessins servent plutôt bien l'histoire, le choix d'un parti pris un peu trop marqué dessert à mes yeux les injustices endurées par ces 3 individus.
BD intéressante mais narration un peu lourde.