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On ne sait pas trop où mène cette bd. Sûrement un exercice de style burlesque
où finalement, il n'y a rien à comprendre.
Si vous aimez le genre macabre et absurde, je ne saurais plus vous
recommander les CHRONIQUES ABSURDES qui ont la qualité d'être absolument
noires et presque malsaines, mais où on voit vraiment où l'auteur se dirige.
Je n'ai pas mal noté car dans le style, je n'ai jamais vu pareil imbroglio de
n'importe quoi!
Quelle maîtrise de construction, de mise en scène, de présentation! Beaucoup d'humour aussi.
Oui, sans aucun doute, mais pour moi cela sombre dans le mauvais goût. Les scènes macabres, glauques, ne sont pas sauvées par le reste.
Alors oui c'est bien, mais pour coeurs bien accrochés seulement. Pour les autres, moi y compris, je dis: à éviter absolument pour préserver ses nuits. Dommage...
Le commentaire d'Yvantilleuil correspond assez bien à ma lecture, à ceci près que pour moi la frontière du mauvais goût est franchie. Je progressais, surpris et intéressé, dans l'ouvrage, puis la succession de l'histoire "Le duei" (qui, certes, contient encore de beaux moments d'humour avec tous ces avaleurs de sabre que les duellistes utilisent pour se réarmer) puis "les deux prostituées" a emporté mon avis : ça sombre dans le malsain.
Oui, essai OuBaPien ; oui, maîtrise de la narration et du découpage ; oui, décalage parfois réjouissant entre dialogues et action (cf "Stéréoscopie de saloon") ; oui, très original et inventif ; mais malsain.
Un an après et dans la lignée de "Safari Monseigneur", Florent Ruppert & Jérôme Mulot récidivent au sein de la collection Ciboulette aux éditions de l'Association, avec ce nouveau récit d'histoires courtes sans aucune retenue et au graphisme audacieux.
Les histoires dans "Panier de singe" tournent autour de deux portraitistes/reporters aux occupations bizarres, allant d’un reportage sur des ébats zoophiles à une partouze pour gens mutilés, en passant par l’agression de prostitués. L’humour est très noir et souvent à la limite du douteux, mais parvient d’une manière ou d’une autre à ne jamais tomber dans l’excès.
La construction narrative est excellente, les scènes proposées malsaines ou absurdes, mais grâce à des dialogues indifférents à la monstruosité des scènes et à un graphisme sobre qui contraste avec la violence du sujet, les auteurs parviennent à créer un décalage délibéré et terriblement efficace entre le contenu et le contenant.
Les nombreuses inventions graphiques donnent à cet album un caractère OuBaPien (l'OuBaPo, acronyme d'Ouvroir de Bande-dessinée Potentielle, a été fondé en novembre 1992 au sein de l'Ou-X-Po et à travers la maison d'édition L'Association). Au milieu d’un découpage original et de planches incorporant par exemple le langage des signes dans les bulles on retrouve effectivement diverses stéréoscopies et autres phénakistiscopes dont on peut également retrouver les versions dynamiques sur http://www.succursale.org.
Bref, une bande dessinée qui est tout de même assez difficile d’accès à la base mais qui livre finalement une banalisation assez burlesque du macabre et qui, grâce à la narration décalée et au détachement créé par un graphisme audacieux, parvient à rester aux frontières du mauvais goût. Un ouvrage dont la richesse impose une deuxième lecture.
On ne sait pas trop où mène cette bd. Sûrement un exercice de style burlesque
où finalement, il n'y a rien à comprendre.
Si vous aimez le genre macabre et absurde, je ne saurais plus vous
recommander les CHRONIQUES ABSURDES qui ont la qualité d'être absolument
noires et presque malsaines, mais où on voit vraiment où l'auteur se dirige.
Je n'ai pas mal noté car dans le style, je n'ai jamais vu pareil imbroglio de
n'importe quoi!
Quelle maîtrise de construction, de mise en scène, de présentation! Beaucoup d'humour aussi.
Oui, sans aucun doute, mais pour moi cela sombre dans le mauvais goût. Les scènes macabres, glauques, ne sont pas sauvées par le reste.
Alors oui c'est bien, mais pour coeurs bien accrochés seulement. Pour les autres, moi y compris, je dis: à éviter absolument pour préserver ses nuits. Dommage...
Le commentaire d'Yvantilleuil correspond assez bien à ma lecture, à ceci près que pour moi la frontière du mauvais goût est franchie. Je progressais, surpris et intéressé, dans l'ouvrage, puis la succession de l'histoire "Le duei" (qui, certes, contient encore de beaux moments d'humour avec tous ces avaleurs de sabre que les duellistes utilisent pour se réarmer) puis "les deux prostituées" a emporté mon avis : ça sombre dans le malsain.
Oui, essai OuBaPien ; oui, maîtrise de la narration et du découpage ; oui, décalage parfois réjouissant entre dialogues et action (cf "Stéréoscopie de saloon") ; oui, très original et inventif ; mais malsain.
Un an après et dans la lignée de "Safari Monseigneur", Florent Ruppert & Jérôme Mulot récidivent au sein de la collection Ciboulette aux éditions de l'Association, avec ce nouveau récit d'histoires courtes sans aucune retenue et au graphisme audacieux.
Les histoires dans "Panier de singe" tournent autour de deux portraitistes/reporters aux occupations bizarres, allant d’un reportage sur des ébats zoophiles à une partouze pour gens mutilés, en passant par l’agression de prostitués. L’humour est très noir et souvent à la limite du douteux, mais parvient d’une manière ou d’une autre à ne jamais tomber dans l’excès.
La construction narrative est excellente, les scènes proposées malsaines ou absurdes, mais grâce à des dialogues indifférents à la monstruosité des scènes et à un graphisme sobre qui contraste avec la violence du sujet, les auteurs parviennent à créer un décalage délibéré et terriblement efficace entre le contenu et le contenant.
Les nombreuses inventions graphiques donnent à cet album un caractère OuBaPien (l'OuBaPo, acronyme d'Ouvroir de Bande-dessinée Potentielle, a été fondé en novembre 1992 au sein de l'Ou-X-Po et à travers la maison d'édition L'Association). Au milieu d’un découpage original et de planches incorporant par exemple le langage des signes dans les bulles on retrouve effectivement diverses stéréoscopies et autres phénakistiscopes dont on peut également retrouver les versions dynamiques sur http://www.succursale.org.
Bref, une bande dessinée qui est tout de même assez difficile d’accès à la base mais qui livre finalement une banalisation assez burlesque du macabre et qui, grâce à la narration décalée et au détachement créé par un graphisme audacieux, parvient à rester aux frontières du mauvais goût. Un ouvrage dont la richesse impose une deuxième lecture.