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Encore meilleur que les 2 premiers tomes.
Ici le péché de luxure est mis au gout du jour puisque nous sommes embarqués dans une société conceptrice de réalité virtuellle.
Coté dessins rien à redire sauf peut-être un érotisme parfois trop facile.
Le scénario est rondement bien mené.
Vivement la lecture des autres péchés capitaux.
8/10.
On s'intéresse cette fois ci à la luxure, et ce, par l'intermédiaire du cyber sexe. Comme le veut la logique de la série, on prend un individu qui va bien (et qui ressemble à Hugh Grant, ici!), et d'un coup, il lui arrive des problèmes, à cause du péché capital qui donne le titre à l'album, donc ici la luxure! Notre individu, pro des effets spéciaux, multi oscarisé, décide de construire un casque virtuel pour ceux qui veulent les sensations du sexe, quand ils ne peuvent pas en avoir de manières traditionnelles (si on peut dire). Bref, notre infographiste, après sa création, est au plus mal, déprimé, en asile. Le docteur qui le soigne, cherche dans les 2 dernières semaines du génie informatique où à eu lieu le blocage, et comment en trouver la cause, ce qui pourrait guérir son patient.
Entre noirceur, fantasmes, rêves, souvenirs et tristesse, cet album marche plutot pas mal. Le dessin est bon, le scénario fonctionne, et les couleurs sont vraiment biens! Le découpage est bon, et alterne bien les moments d'explications techniques (pas de la luxure, mais du casque virtuel!), avec ceux plus tournés vers l'action. On peut juste reprocher certaines apartés pas trop bien venues (la soeur de Cameron avec son père par ex.),certes reliées à la luxure, mais pas indispensables. Les gommer aurait permis d'éviter certains raccourcis, en rallongeant des scènes clef (comme celui du malade qui d'un coup redevient normal). Cela dit, le scénario reste très bon! Même si c'est pompé à 90% sur Vanilla Sky, c'est une très bonne BD à lire!
Cette fois-ci nous avons droit au monde du cyber-sexe. Un brave Orphée pleure son Eurydice : classique !
L'album se lit très agréablement mais la recette de la série commence à être à la fois trop visible et surtout omniprésente.
Un bon travail d'artisan, bien léché (pour le cyber-sexe, c'est bien le moins !) mais une certaine lassitude.
Les dessins sont assez... virtuels et le personnage principal, Ewan Orfay ressemble étrangement à Hugh Grant. Cependant l'univers du Cyber sex est crédible et bien rendu. Le récit en forme d'enquête nous plonge dans un monde d'illusions qui prône l'individualisme et peut transformer certains rêves en triste réalité. Un one shot somme toute assez réussi avec une fin peut-être un peu cyber...prévisible !
Toujours un très bon album où les deux histoires présentes (une histoire principale et une petite distilé au fur et à mesure montrant une autre partie du sujet traité) sont très bien développée. cepandant on peu peut être reprocher à l'intrigue principale d'être un peu trop prévisible quant à sa chute mais ça reste globalement très bon.
Alcante réussit une nouvelle fois son coup. Ce quatrième tome traitant de la luxure est certes légèrement en retrait comparé aux trois premiers, mais il n'en reste pas moins très bien mené tant le sujet pouvait rapidement déraper.
S'agissant d'une série grand public, il n'était pas envisageable de proposer un ouvrage trop « sex ». Néanmoins, le scénariste parvient à ses fins en nous proposant d'assister à une singulière expérience de cybersexe. Une nouvelle fois, les anciens du mythe s'imbriquent avec des données issues des technologies modernes qui, si elles sont mal mises en œuvre, desservent l'homme au lieu de lui être utiles. Les éléments s’enchaînent naturellement pour constituer une intrigue tout à fait honorable.
Coté dessins, le changement d'artiste ne nuit pas à la série ce qui est assez rare pour être souligné. Les illustrations réalisées par Pignault sont réussies et ses créatures de rêve gardent des proportions réalistes.
Pandora Box est donc une série que je vous recommande pour passer un bon moment sans prise de tête, mais avec toujours un brin de réflexion derrière. Aller, il vous reste encore quatre tomes pour vous y mettre…
Des femmes dénudées, du cyber-sex et un peu de drogue et on obtient un récit sur la luxure, mais surtout un mauvais polar. Et quand on prend un personnage principal qui, de loin, ressemble comme deux gouttes d’eau à Hugh Grant, on obtient en plus un play-boy dont le visage dénote totalement avec cet univers mafieux, de drogue et de cyber-sex. Bref, ça se laisse lire, c’est moderne et surtout très commerciale ... et cela n’est pas un pêché à ce que je sache