Oracle
2. L'Esclave
Une BD de Ronan Le Breton et Bertrand Benoît chez Soleil Productions - 2014
05/2014 (14 mai 2014) 54 pages 9782302038127 Grand format 213886
Il est un Thrace, prisonnier de guerre et désormais esclave d’un seigneur de Sparte qui se prend pour le meilleur guerrier de tous les temps. L’esclave veut gagner sa liberté mais, plus encore, il veut prouver à ce sparte qu’il est plus libre que lui. "Même les dieux ne sauraient lui mettre des chaînes. Malin et fort, l’esclave finira par vaincre le plus puissant d’entre eux : Zeus, le roi de l’Olympe."
Légèrement meilleur que le premier, mais à peine! Les mêmes problèmes ressortent. Tout va beaucoup trop vite, on passe d'une scène à l'autre sans transition, trop de personnages, des dialogues qui manquent de finesse. Je préfère le dessin de Benoît à celui du premier tome, par contre.
C'est une histoire qui méritait plus d'un volume.
Oracle est une série que je viens de découvrir. Ce volume il est vrai, est un ton en dessous de "La Pythie" mais moi, qui ne suis absolument pas un fan du genre, j'ai passé un très bon moment. Le dessin est tout simplement magnifique et me fait beaucoup penser aux Maîtres Inquisiteurs.
Un ton en dessous "La Pythie", ce tome 2 est malgré tout réussit. Le scénario est plutôt bon mais on n'y retrouve pas non plus le "romantisme" des légendes Grecques. La violence, très présente (trop ?) y est certainement pour beaucoup. Les dessins sont excellents !
Une bonne série pour l'instant.
Seuls les dessins valent le détour.
L'histoire est sans réel intérêt et pourtant cette série semblait avoir un énorme potentiel.
Une déception.
2/10.
Ces albums de la série Oracle sont décidemment une réussite dans leur édition. tenir ces livres dans les mains est un vrai plaisir, les couvertures sont superbes. Deuxième volume, deux autres auteurs. Le dessin reste beau, extrêmement dynamique et sert parfaitement le scénario. Ce dernier est un peu moins prenant que le volume 1 mais toujours agréable à lire. J'en redemande avec le volume 3. A noter : Chaque volume est un "one shot" finalement et seule la trame de récits comptés par Homère sert de fil conducteur.