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Ce quatrième volume se consacre uniquement à l’épisode de « la fleur de l’enfer », qui représentait déjà la quasi-totalité du volume précédent. Mun-Su et son Sando luttent contre un gouverneur produisant du pavot en grandes quantités pour l’Occident. Il s’avère que celle-ci est une ancienne camarade d’armes de Mun-Su, tout comme certains de ses sbires. On assiste ici à un déchaînement d’action et de combats : Sando croise le fer avec Wonsul sur les toits de la cité, l’occasion de quelques scènes du niveau d’un Matrix ; Mun-Su se charge de Wonhyo, gouverneur, magicienne réputée et aux ordres de Mun-Su alors qu’il était général des armées de Jushin. Au premier coup d’œil on est un peu déçu par la surenchère de violence qui fait penser à la production de manga moyenne à destination d’un public jeune et masculin. En y regardant de plus près, la profondeur des personnages compense aisément cette trame en apparence simpliste : Sando y apparaît plus sensible que jamais, Wonsul dévoile sa personnalité entière et sa pureté est un contraste avec le cynisme et la force de Mun-Su, Wonhyo reste un mystère et fait penser à certains monstres de la mythologie grecque comme Scylla. C’est encore une belle réussite, la présence en filigrane d’Ajite laisse espérer de nouvelles révélations pour les tomes à venir.
Un classique du genre.
Ce quatrième volume se consacre uniquement à l’épisode de « la fleur de l’enfer », qui représentait déjà la quasi-totalité du volume précédent. Mun-Su et son Sando luttent contre un gouverneur produisant du pavot en grandes quantités pour l’Occident. Il s’avère que celle-ci est une ancienne camarade d’armes de Mun-Su, tout comme certains de ses sbires. On assiste ici à un déchaînement d’action et de combats : Sando croise le fer avec Wonsul sur les toits de la cité, l’occasion de quelques scènes du niveau d’un Matrix ; Mun-Su se charge de Wonhyo, gouverneur, magicienne réputée et aux ordres de Mun-Su alors qu’il était général des armées de Jushin. Au premier coup d’œil on est un peu déçu par la surenchère de violence qui fait penser à la production de manga moyenne à destination d’un public jeune et masculin. En y regardant de plus près, la profondeur des personnages compense aisément cette trame en apparence simpliste : Sando y apparaît plus sensible que jamais, Wonsul dévoile sa personnalité entière et sa pureté est un contraste avec le cynisme et la force de Mun-Su, Wonhyo reste un mystère et fait penser à certains monstres de la mythologie grecque comme Scylla. C’est encore une belle réussite, la présence en filigrane d’Ajite laisse espérer de nouvelles révélations pour les tomes à venir.
Un classique du genre.