Nestor Burma
5. La nuit de Saint-Germain-Des-Prés
Une BD de
Emmanuel Moynot
chez Casterman
- 2005
Moynot, Emmanuel
(Scénario)
Moynot, Emmanuel
(Dessin)
Busca, Laurence
(Couleurs)
Tardi, Jacques
(Adapté de)
Malet, Léo
(Adapté de)
01/2005 70 pages 2203399082 Format normal 41777
Paris, été 1957. Nestor Burma enquête pour le compte d'un client dans le quartier de Saint-Germain-des-Prés. Manière pour le détective de nouer quelques connaissances parmi les cercles artistiques et intellectuels qui semblent avoir élu domicile dans ce secteur de Paris : écrivains, critiques, musiciens. C'est sur les traces de l'un deux, justement, que Burma est lancé : Charlie Mac Gee, batteur de jazz talentueux, et sans doute aux prises, aussi, avec les milieux de la drogue et de la délinquance qui gravitent autour de ce genre d'artiste. Avec... Lire la suite
Moynot poursuit le travail de Tardi avec cette 5eme adaptation du privé créé par Léo Malet. Si l'histoire est plutôt bonne ( incursion dans le vécu Jazz de Saint-Germain des Prés, notamment), le dessin est trop faible. L'artiste reprend certes le style de Tardi mais son trait est trop fin, trop léger. De plus, les cases auraient dû, pour la plupart, être plus détaillées (ex : case 4 page 60).
J'aurais aimé, au niveau du scénario, que la passion du Jazz soit mieux évoquée, qu'elle fasse plus swinguer cette aventure ! J'espère que les autres albums dessinés par Moynot seront meilleurs...
Je me suis ennuyé , c'est long , laborieux ( 72 pages ) , des dessins avec ses personnages sans yeux qui perdent dans les expressions , les sentiments , pas le meilleur
NESTOR BURMA enquête dans le 6ème arrondissement de Paris sur un vol de bijoux pour le compte d’un riche assureur.
Un scénario très confus, des dessins manquant cruellement d’esthétisme et des couleurs blafardes qui n’amènent rien : voila, hélas, la pire aventure de NESTOR BURMA.
Un album qui ne sert à rien. Vraiment.
Les cinq premiers tomes sont captivant intrigant, celui est plat et complètement décousu. Dommage que Tardi passe le flambeau.
Bah non. Tant pis si j'ai l'air d'un puriste mais Burma sans Tardi, ça le fait pas trop.
L'usage de la couleur n'est pas particulièrement bienvenue. C'est pas que je n'aime que le noir et blanc, mais ça convenait bien à l'ambiance et puis, les couleurs sont pas particulièrement jolies.
Et tant qu'à changer de dessinateur autant tout changer. Or, Moynot garde les têtes que Tardi à donner aux personnages de Malet.
Tardi, reviens !