MBD26. Nestor Burma - Le Monde de la BD - 26 | largowinch11 | Comme neuf | 6.00€ | |
MBD26. Nestor Burma - Le Monde de la BD - 26 | boudiou | Comme neuf | 3.00€ | |
2. 120, rue de la gare | kikofoxy | Comme neuf | 30.00€ | |
2. 120, rue de la gare | largowinch11 | Très bon état | 25.00€ | |
2. 120, rue de la gare | largowinch11 | Très bon état | 25.00€ | |
2. 120, rue de la gare | BOTERO | Comme neuf | 15.00€ | |
2. 120, rue de la gare | largowinch11 | Comme neuf | 15.00€ | |
2. 120, rue de la gare | mtintin | Bon état | 9.00€ | |
2. 120, rue de la gare | Kopkip | Bon état | 8.00€ | |
2. 120, rue de la gare | breub | Bon état | 7.00€ | |
2a. 120, rue de la gare | Albums et petits formats | Comme neuf | 22.00€ | |
2a. 120, rue de la gare | amandpaul2000 | Comme neuf | 15.00€ | |
2a. 120, rue de la gare | jim mac clure | Très bon état | 14.00€ | |
2a. 120, rue de la gare | crassou74@hotmail.fr | Très bon état | 12.00€ | |
2b1996. 120, rue de la gare | largowinch11 | Très bon état | 15.00€ | |
2b1996. 120, rue de la gare | xof 24 | Très bon état | 14.00€ | |
2b1996. 120, rue de la gare | goyot jean-paul | Comme neuf | 9.99€ | |
2b1996. 120, rue de la gare | boudiou | Comme neuf | 9.00€ | |
2b1996. 120, rue de la gare | rastahobbit | Très bon état | 7.00€ | |
2b2003. 120, rue de la gare | a.aaaaaaa.3 | Très bon état | 13.00€ | |
2b2005. 120, rue de la gare | JBBD | Très bon état | 12.00€ |
Info édition : n°1786 (avec jaquette) Format 230 x 305 mm.
Info édition : n°2753 (avec jaquette) 60 titres rapportés à la page ''des mêmes auteurs''
Info édition : Numéro 38642 au 4e plat. Liste page 4 : 2 "Cri du peuple" (09/2002) Format 235 x 305 mm.
Info édition : 4e plat: 4 vignettes. Liste page 4 : 3 "Cri du peuple" (09/2003)
Info édition : 4e plat: 5 vignettes.
Info édition : Edition 2015
Info édition : Édition spéciale réalisée pour La Dernière Heure/Les Sports - La Libre Belgique en collaboration avec Panini Comics et proposée exclusivement à l'achat du journal. Réédition de l'album 120, rue de la gare.
La meilleure BD policière « old school » que j’ai pu lire. Il y a tout dedans : les odeurs, les ambiances, les dégaines, les rengaines … et L’intrigue. Excellent travail. Culte
Il faudra rendre un jour un grand hommage à Jacques Tardi, ce génie du noir-blanc-gris. Au-delà d'un trait classique comme dans "Brouillard au Pont de Tolbiac" ou "Casse-Pipe à la Nation", Tardi nous offre des cases où visiblement il a utilisé plusieurs mediums (sans doute encre de Chine, gouache, feutre, fusain etc...), comme ses représentations nocturnes de la ville de Lyon. J'ai beaucoup aimé aussi l'agencement des personnages dans les cases, bref leur mise en scène. Ce roman graphique offre des personnages savoureux, tels Covet et Bébert. Et toujours cet humour noir de Burma (sans en faire trop) entre le détective et autres protagonistes.
Côté intrigue, pour ma part, j'ai découvert assez vite l'identité du coupable. Mais peut-être le plus important n'est pas là. Pour moi, c'est avant tout la société française qu'aime à décrire Tardi, celle des années 40-50. Finalement, Nestor Burma est un peu le côté sombre d'un Ric Hochet ou d'un Gil Jourdan, deux autres enquêteurs de grande classe mais dont les dessins et le style sont plus légers !
Le polar selon Tardi ! Adaptation très réussie du roman de Léo Malet. Une atmosphère sombre et mystérieuse à souhait, des personnages avec des vraies gueules et un passé souvent douteux. Une enquête de Nestor Burma rondement menée avec un scénario qui progresse en suivant méthodiquement les pistes qui finiront par mener au coupable.120 rue de la gare est pour moi le meilleur polar de Tardi. Commençant dans un Stalag en 1940, l’histoire se déroule ensuite dans la France occupée entre Lyon et Paris, entre zone sud et zone occupée. L’ambiance est pesante, les personnages aux démarches lourdes arpentent les rues avant de se retrouver dans les bars. Ici, le fil rouge est une banale adresse : 120, rue de la Gare. Chaque indice a de l’importance, si le lecteur ne les voit pas, Nestor Burma, lui, n’en rate aucun et nous devance dans la résolution de l’énigme. Les dessins de Tardi sont puissants, les personnages ont une vraie présence et les décors restituent une ambiance, une époque difficile, celle de la France occupée (couvre-feu, presse contrôlée, ligne de démarcation...).
Surement le plus grand Tardi, et Léo Mallet (dans sa mise en dessins)
On a tout de l'univers de Tardi: noir et blanc, guerre mondiale, et une chronique sociale
On suit Nestor Burma dans sa découverte de l’après guerre, ou cohabitent des classes sociales aussi différentes que possible. Le dessin, lourd par moment ne donnent pas le temps de respirer dans cet univers glauque. A lire de toute urgence, si ce n'est déjà fait
Superbe album ! 184 pages de suspens bien ficelé, des dessins en noir et blanc carrèment superbes, une bonne dose d'intrigue ! Coup de chapeau à Jacques Tardi qui sait majestueusement donner vie à l'univers de Léo Malet, mais sait également maîtriser fort justement son personnage ! Je ne connais pas les autres albums de cette série ( je vais m'y mettre ! ) mais celui-çi est un pavé !!! Grandiose !!!
Incontestablement le meilleur NESTOR BURMA de la série !
Une intrigue complexe, riche et passionnante; du suspense, des dialogues et des personnages truculents, de nombreux rebondissements … et une ambiance excellente : celle du Paris et du Lyon pendant l’Occupation.
120 RUE DE LA GARE est bien plus qu’une bande-dessinée : c’est tout simplement un sommet du polar; BD, romans et films confondus !
Je crois bien que c'est mon polar préféré, livre et bds confondues.
Une intrigue complexe, des personnages haut en couleurs, l'argot de l'époque, l'ambiance de Paris (et Lyon) sous l'occupation.
Lisez "rendez-vous 120 rue de la gare" pour voir comment Tardi a adapté le livre de Malet. Tous les petits changements qu'il appliqués sont bienvenue. Toutes les idées nouvelles qui n'étaient pas dans le livre sont parfaites.
Pas seulement point de vue dessin ou ambiance.
J'aime bien Léo Malet mais il a un petit défaut à mon sens : tous les personnages parlent sur le même ton : Burma, Covet, Faroux... Même Hélène.
Tardi a dépassé ça en donnant une vraie personnalité à chacun d'entre eux.
Chapeau!
Incidemment, je ne vous conseille pas de commencer par celui-là parce que c'est quand même copieux. Lisez plutôt "m'as-tu vu en cadavre" ou "Casse-pipe à la nation" en premier.
La merveille des merveilles. Tout y est. L'intrigue, le suspens, l'atmosphere, le dessin, le style ... Apres 120 rue de la Gare, toutes autres BD du genre paraissent bien fades. A lire 10 fois pour tout découvrir et redécouvrir.
Quel plaisir de se farcie ainsi un roman en image. Car cette bd frôle le roman
graphique, de par sa prestance, sa longueur et son intrigue.
120, rue de la Gare est un vrai délice; sa longueur en faisant un choix de premier
plan lors d'une ennuyeuse soirée où rien ne nous tente. Impossible de passer au-
travers en quelques minutes comme certaines bd.
Nestor Burma vient d'être démobilisé et une grande énigme s'est tissée autour de
lui lorsqu'un de ses plus fidèles sbires meurt sous ses yeux en laissant une seule
phrase en suspens...120, RUE DE LA GARE..
S'ensuit une longue enquête tricotée par un scénario franc et habile.
Du bon boulot!
Le meilleur Burma à mon goût avec Brouillard et Casse pipe ! Intrigue tortueuse et maligne, personnages tout en profondeur, Nestor en premier, et l'excellent dessin de Tardi qui nous plonge à merveille dans cette France d'après guerre ! Le duo Malet Tardi atteint ici le sommet de son art ! Un chef d'oeuvre pour moi ! Le fait qu'une partie de l'action se déroule à Lyon n'est certainement pas étranger à l'intérêt tout particulier que je porte à cette BD ;o)
Bien sur, l'on commence toujours par poster ses avis sur ses BD favorites.
'10/10 : Chef d'oeuvre' bien entendu. Je suis le premier à le noter. C'est bien ça ma grande surprise.
"120 rue de la gare", c'est le polar par exellence et le style graphique de Tardi colle si bien au personnage de Nestor Burma qu'il est difficile de se le représenter autrement.
Un scénario parmi les meilleurs de Léo Malet et 190 pages qui passent en une soirée.
Art Spiegelman dit de Tardi qu'il fut aussi important dans l'évolution de la BD que le furent Truffaut et Goddard pour la nouvelle vague. Si après cela vous n'ouvrez pas cette BD, je ne peux plus rien pour vous.