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Info édition : L'EO n'a pas de code-barres - Préface de Léo Malet
Info édition : Format 223 x 295 mm. Pas d'AI indiqué. 3 pages de préface de Léo Mallet avec documents iconographiques. 2 pages du plan de l'itinéraires de Burma dans le récit en fin de volume. Selon la liste des ouvrages parus en page 4, la dernière publication Nestor Burma est "Une gueule de bois en plomb" (01.1990). Erreur de titre noté "Quand Marianne dansait avec Paris" alors que la publication est "Quand Paris dansait avec Marianne" (03.1989). N° 4303 noté sous l'ISBN au 4e plat.
Info édition : Dernier titre au catalogue Burma (Tardi) en page 2: Une gueule de bois en plomb. Préface par Léo Malet avec illustrations pleines pages (13 p.) – Plan de l’itinéraire de Burma dans le récit (2 p.). Jaquette à rabats illustrés. Numéro Casterman 30115.
Info édition : Format 230 x 305 mm. N° 38640 au 4e plat. Dossier de 13 pages incluant la préface de Léo Malet et des illustrations de Tardi en début de volume.
Info édition : Dépôt légal et ISBN identique à 1c1996 mais variante de couverture avant et arrière. Contient un dossier de 13p. "Propos badins à prétentions "historiques" sur un cadavre coriace et un brouillard plus ou moins dissipé.' de la p.3 à la p.17.
Info édition : Page 2 : Achevé d'imprimer en février 2012, en France par PPO Graphic, Pantin. Dépôt légal : novembre 1996 ; D. 1996/0053/146. Au verso: 7 titres.
Info édition : Edition 2015, dans une intégrale Nestor Burma en 9 volumes. 1ère édition, Casterman 1982
Info édition : 1000 exemplaires n&s
Tout d'abord "Brouillard au pont de Tolbiac" est une oeuvre à part pour moi. Car si je voulais monter à Paris, ce n'était pas pour visiter la Tour Eiffel mais le pont de Tolbiac J'avais tellement adoré le livre de Malet que je me suis englouti tous les Nestor Burma dans la foulée, puis tous les Mike Hammer, les Chandler, les Spencer. Alors forcément, le "Brouillard sur le pont de Tolbiac" est une oeuvre littéraire qui compte pour moi.
Pour Malet, c'est également une oeuvre à part. Car c'est l'un de ses livres ou il parle de sa jeunesse. Le 12ème est un arrondissement ou il a trainé ses guêtres tout jeune. Alors l'histoire ne peut qu'être inspiré par l'ambiance glauque, poissarde de cette jeunesse désargentée. Chaque coin du quartier est un acteur à part entière comme si les destins des personnages ne pouvaient en être autrement à cause des démons poisseux des rues et cloaques en sens unique.
Alors forcément Tardi se régale et nous régale: Un Paris des années 50 glauque et poisseuse? Il sait faire bougrement le bougre.
C'est peut être un peu trop verbeux. Mais Tardi veut rendre hommage à la gouaille de Malet en apposant de longues tirades du roman. C'est surtout pesant et lugubre. Le noir et blanc est sublime. Les personnages et leurs silhouettes massives dans les cases de décors superbes, rend l'oeuvre unique et sublime. Tardi n'est pas un fortiche du mouvement ? C'est vrai. Et bien, ce défaut devient une qualité dans cette ambiance générale.
Un classique du 9ème art
Je comprends aisément que cet album soit entouré d’une aura, si ce n’est culte, en tout cas flatteuse. C’est poisseux comme il se doit, les ambiances sont dingues, … belle réussite
Oui c'est un bon album. Tardi est un auteur que j'adore, il sait donner de la consistance à ses personnages, qui sont toujours un peu cyniques et décalés. Ses dessins sont somptueux et nous replongent de manière nostalgique et vibrante dans le Paris des années 50. Pourtant je n'ai pas plus accroché que ça à l'histoire, car peu passionnante au niveau scénaristique, s'adressant surtout aux anciens anars qui y retrouveront des codes et des valeurs qui leur sont chers. Oui pour le dessin et l'ambiance, bof pour l'histoire.
Tardi est un auteur que j'ai appris à connaître. Quand j'ai commencé ces oeuvres il y a à peine 2 ans, j'étais très dur dans ma notation que j'ai corrigée depuis. Et puis, à force et par comparaison à d'autres titres, j'ai appris à aimer tout doucement. Nestor Burma est la dernière série que je lis pour terminer un cycle sur cet auteur prolifique.
Nestor Burma est un détective privée que je ne trouve pas forcément très sympathique avec son côté cynique et désabusé et sûr de lui. C'est bizarre mais j'avais déjà le même sentiment pour son héroïne Adèle Blanc Sec.
Nestor Burma, pour revenir à lui, mène ses enquêtes dans le Paris toujours très bien retranscrit des années 50. Certains dénouements de ces enquêtes m'ont paru bien tarasbicottés (notamment "m'as-tu vu en cadavre?").
Cependant, il y a un style et des dialogues qui font mouche. C'est un bon polar avec le respect de toutes les règles du genre. Pour autant, j'avoue avoir plus de passion pour d'autres titres. Pas mal... mais pas excellent.
Pour moi, un des meilleurs albums de Tardi. Très bonne adaptation de Malet.
L’atmosphère est noire, le Paris des années 50 y est encore restitué avec un trait et une perfection propre à Jacques Tardi.
J'ai dû lire cet album pour la première fois vers l'âge de 13 ans.
(emprunté à la bibliothèque municipale)
Très bon souvenir de Bédéphile, j'ai acheté la VO de 1982 récemment.
Moi j'adore cette atmosphère que Tardi a réussi à créer dans cette série (et que je n'ai pas retrouvée avec autant d'intensité à la lecture des romans de Malet): la nostalgie des idéaux perdus, le ludique de l'enquête et de l'intelligence déductive, le fatum prolétarien des exploités, l'arrogance des riches.
Les personnages sont justes.
Et les vues de Paris sont magnifiques (surtout les atmosphères nocturnes).
Allez, demain je le relie encore une fois.
NESTOR BURMA enquête dans le 13ème arrondissement de la capitale sur la mort d’un vieux ferrailleur, enquête qui plongera notre héros dans son passé, du temps de sa jeunesse où il fréquentait les milieux anarchistes.
Une atmosphère « polar » bien rendue par des textes qui sonnent juste; une ambiance noire, froide, pluvieuse et glauque grâce notamment à des décors des plus inquiétants : Tardi impose d’entrée sa patte sur la série.
Le scénario, par ailleurs, est moins simpliste qu’il n’y paraît. En effet, il mêle habilement deux meurtres inexpliqués à deux époques différentes et lointaines l’une de l’autre; deux enquêtes se juxtaposant ainsi, complexifiant de fait la tache de NESTOR BURMA. J’ai trouvé cet élément scénaristique particulièrement convaincant.
Un premier album de qualité donc, pour une série policière particulièrement attachante.
Le premier Burma illustré par Tardi et le moins bon.
Enfin "moins bon" est tout relatif. Ça reste une adaptation réussie. Mais comparé aux suivants, on sent que Tardi n'avait pas complètement trouvé ses marques.
Le dessin d'abord.
La silhouette de Burma y est plus longiligne, avec un nez aplati, un menton plus long que saillant, des pommettes et des rides plus visibles. Un type qui ne sourit jamais. D'ailleurs, l'humour est complètement absent de ce tome, contrairement aux autres.
Noir, c'est noir.
Sans avoir lu le livre, j'ai l'impression que Tardi a moins travaillé les dialogues qu'il ne le fera pour la suite.
Enfin, l'intrigue n'est pas aussi complexe que pour les autres.
Reste qu'il y a une certaine poésie dans ce brouillard, cette triste histoire d'amitié trahie et d'amour perdu...
Des dessins captivants, rendant tout à fait l'atmosphère sombre des polars, des ruelles des quartiers populaires de Paris. Le scénario, lui, est un peu décevant. A lire !