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Un graphisme étonnant (on aime ou on deteste), une histoire originale, au fil du temps, et qui surtout laisse énormément de place à l'imagination du lecteur : à quoi sert ceci, cela a-t-il une influence sur le récit, et lui (ou elle), qu'est-ce qu'il (ou elle) devient, et elle (ou lui), où est-elle (ou il) passée ?
J'ai adoré, mais comprends qu'on puisse detester. En tous cas ça ne laisse pas indifférent.
C'est avant tout l'histoire d'une maison bordelaise de 1890 à la veille du passage à l'an 2000. Une maison où vont se succéder des générations d'acquéreurs plus ou moins scrupuleux. J'ai bien aimé le concept car la maison a une véritable personnalité.
Le titre "ne touchez à rien" fait assez lugubre avec sa couverture un peu kitsch. Mais l'atmosphère assez étrange voire malsaine est très bien retranscrite avec une narration assez fluide et un esthétisme assez soigné. Il est cependant clair que ces visages angulaires ne peuvent pas plaire à tous les lecteurs. Il faut s'habituer à ce trait un peu spécial mais si beau car précis et léger.
Et puis, on apprend un mot rarement employé dans la langue française: les taxidermistes. Il y a également un petit soupçon de morale : il faut toujours respecter la volonté des défunts même s'ils ont des exigences particulières ou sinon gare ! Mais il y a également une faute d'orthographe lié à un prénom qui se termine tantôt par un "t", tantôt par un D: un comble! :!
Par ailleurs, la conclusion de cette histoire manque un peu de punch pour être une oeuvre réellement révolutionnaire. Cela reste tout de même très correct avec en prime une qualité de papier irréprochable.
Nous avons quand même droit au mythe de la maison hantée mais comme on ne l'avait jamais vu grâce à un autre angle d'approche tout à fait louable. Un léger frisson garanti !
Une bonne histoire de maison hantée. Les planches sont torturés et donnent le ton. J'ai beaucoup aimé les décors détaillés et la construction du récit. Quatre histoires se réunissant pour n'en faire qu'une. J'ai détesté les dessins des personnages et l'écriture quelquefois illisible. Une lecture mitigée donc.
Une histoire fantastique exploitant le principe de "la maison hantée" pour mieux en utiliser les ficèles (un dessin magnifique, fin, épuré et une colorisation sublime) en y distillant plusieurs niveaux de lecture. le tout saupoudré d'une "petite morale bienveillante".
A découvrir.
La chronique BD Gest m' avait fait saliver, je me suis donc jeté dessus dès réception. Pour apprécier il faut soit être un adepte incontournable des auteurs, soit un fan invétéré de l' underground, soit aimer les mystères irrésolus.
Qualité d' album et qualité papier irréprochable, soyons objectif. Pour le reste ... Album qui se lit d' une traite très rapidement.
Les dessin me décoivent ( je ne suis pas un adepte de ce gebre angulaire que je trouve grossier), les couleurs très sombres ( underground oblige), les personnages complétement insignifiants, dialogues médiocres, l'histoire (ou plutot les histoires puisqu' il s'agit d'une sorte de succession de 4 histoires) est plate centrée avant tout sur la demeure.
Reste ce fameux baobab
On attend un dénouement, une explication, .... rien! Beaucoup de question restent en suspens dans un album mystérieux.
Les auteurs connaissent surement la trame mais ont beaucoup de mal à la faire passer au lecteur.
En résumé si vous n' êtes pas un amateur invétéré, payez vous un bon ciné à la place.
Je reposte un deuxième avis, car après relecture, deux ans plus tard, il ressort des trucs que je n'avais pas vus, ou tout du moins compris lors de la première lecture...
J'attendais beaucoup de cette bd et je crois que je fus déçue à prime abord parce que je n'ai pas cherché à comprendre. La relecture m'a permis de décortiquer la puissance de la trame qui offre un dénouement tout à fait hors de l'ordianire.
Je rendrai donc à César ce qui lui appartient; Ne touchez à rien fait désormais partie de mes préférées...
Y'a juste les fous qui ne changent pas d'idée...
cet album est avant tout une émotion,il faut le parcourir comme on contemple un tableau ,se laisser penetrer par son ambiance inquietante,ses couleurs exceptionnelles,son trait précis et découpé,un pur bonheur
Cela faisait un certain temps que je souhaitais lire cette BD, j'ai été déçu.
Il s'agit comme le laisse penser son abord extérieur effectivement d'une belle BD (format, papier ...). Le dessin renforce cette idée, notamment car il parvient à bien faire respirer une certaine ambiance malsaine. Mais de par sa spécificité, il risque de rebuter certains lecteurs (ce qui ne pose pas en soi un véritable problème, car il reste important de ne pas formater la BD).
Au niveau scénario, il s'agit en fait d'un enchaînement de courtes histoires (voir d'époques) dans une même maison, mais de mon point de vue, il est difficile de trouver un véritable lien entre ces histoires qui soit intéressant. Je pense que le principale pêché de ce scénario tient du fait que si l'auteur connait toutes les clefs de son scénario, il n'en va pas nécessairement de même pour le lecteur qui a du mal à s'y retrouver.
J'avais très hâte de lire ce one shot; je suis cependant un peu demeurée sur mon appétit, surtout après la lecture de la critique de Chronique BD Gest. Le graphisme de Bezian sauve la mise. J'adore les visages angulaires et l'esthétisme monochrome des couleurs. Là où je décroche, c'est le scénario qui me fait penser à un film de Von Trier. Un bd qui plaira à ceux qui aiment l'underground au premier degré. La finesse manque et il est vrai que plusieurs questions demeurent sans réponse. Une déception pour ma part mais qui vaut quand même le coup d'oeil pour se forger sa propre idée...