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Du côté d'Ozark, le nanard est au rendez vous. Dessins pas beaux, couleurs flashies et scénarios qui s'y croit et qui donne de l'hilarité au 3ème degré. Rendez vous compte, le grand méchant Frankenstein tout jaune et vert à tête de bicorne va chercher le journal au village tous les jours pour son savant fou de papa. Enorme!
Du côté de Mikros le croquignolesque continue. Un (autre) professeur fou se couple avec une mite ( réflexion de sa part d'une case pour l'accouplement) pour devenir un super méchant : SUPERTERMITOR! Sisi, c'est son nom de super méchant. Il semble que la clownerie soit voulue, que le second degré soit assumé parce que les dialogues sont drôles de pieds dans le plat et les dessins absolument géniaux, en harmonie de ce qui se faisait de mieux à l'époque dans les comics.
Et, il y a Photonik. Ce 6ème épisode est carrément plus mature. Sa dimension est plus réflexive. Oh pas d'une grande philosophie, c'est sur. Mais le méchant est introspectif. Il est méchant par nécessité et chantage. Il a un passé, une histoire. Et d'ailleurs son destin sera funeste. Et puis, il y a les héros qui sont faillibles. Trop jeunes ou trop vieux avec de vrais blessures. Ils sont surtout non conforme à la société new yorkaise. Et le lecteur a de l'empathie, de l'émotion pour un périple qui reste somme toute conventionnelle aux comics de cette période. Et le dessin est d'une fluidité extraordinaire à défaut de décors superbes.
Nostalgie quand tu nous tiens…
Du côté d'Ozark, le nanard est au rendez vous. Dessins pas beaux, couleurs flashies et scénarios qui s'y croit et qui donne de l'hilarité au 3ème degré. Rendez vous compte, le grand méchant Frankenstein tout jaune et vert à tête de bicorne va chercher le journal au village tous les jours pour son savant fou de papa. Enorme!
Du côté de Mikros le croquignolesque continue. Un (autre) professeur fou se couple avec une mite ( réflexion de sa part d'une case pour l'accouplement) pour devenir un super méchant : SUPERTERMITOR! Sisi, c'est son nom de super méchant. Il semble que la clownerie soit voulue, que le second degré soit assumé parce que les dialogues sont drôles de pieds dans le plat et les dessins absolument géniaux, en harmonie de ce qui se faisait de mieux à l'époque dans les comics.
Et, il y a Photonik. Ce 6ème épisode est carrément plus mature. Sa dimension est plus réflexive. Oh pas d'une grande philosophie, c'est sur. Mais le méchant est introspectif. Il est méchant par nécessité et chantage. Il a un passé, une histoire. Et d'ailleurs son destin sera funeste. Et puis, il y a les héros qui sont faillibles. Trop jeunes ou trop vieux avec de vrais blessures. Ils sont surtout non conforme à la société new yorkaise. Et le lecteur a de l'empathie, de l'émotion pour un périple qui reste somme toute conventionnelle aux comics de cette période. Et le dessin est d'une fluidité extraordinaire à défaut de décors superbes.
Photonik for ever.