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J'avoue. 5/5 c'est un peu to much, j'avoue. Mais, c'est bon les madeleines proustiennes.
Enfin… du coté de Photonik et Mikros ( deux des 3 séries du magasine, et on y reviendra) car Ozark, lui (la 3ème série), est hélas le vilain petit canard qui aura la tête coupée au 59ème Mustang. Et même qu'on dira que ce sera de faute, l'échec du Mustang, mode super héros lyonnais. Il faut dire que c'est vraiment pas fameux. Et il n'aura que 8 épisodes à son actif et il s'en ira ( avec une reprise bien plus tard que j'ai hâte de lire dans une mini série)
Il faut dire, qu'il fallait trouver un super héros qui se nomme Mustang pour être raccord avec le titre. Et ce sera le cheval d'Ozark qui va le faire. Un cheval qui vole, qui parle et qui tire des sortes de laser par ses narines (Sissi). Ozark, ça mange pas de pain. Ozark c'est tout se qu'il faut pas faire dans une série de super héros des années 80. C'est un mauvais Fumetti qui fait avec un super héros. Le dessin est très moche, les personnages sont des images d'Epinal à l'américaine, les méchants très très méchants. Ozark, c'est le nanard ultime et on le lit avec un plaisir coupable certain. Se moquer au détriment d'un superhéros, c'est pas bien. Mais il mérite et en plus à chaque planche. Les ressorts dramatiques sont expédiés mach7. Les super méchants se pointent au petit bonheur la chance.
Franco Oneta ( Frank Honest) est au pinceau. Il dessinait du Fumetti à la pelle chez Zembla, Yuma notamment. Et là il fait le minimum. Jacques Lennoz, le scénariste, semble peu inspirés. C'est une commande et il faut livrer vite.
Pourtant Ozark c'est aussi la rigolade assurée, le nanardesque entre deux petites perles (Photonik et Mikros), le retour dans les années 80 dans ce qui se fait de pire.
Et c'est bon de se moquer. C'est le Star Crash de Star Wars. Et puis , le magasine sent bon le vieux quand on tourne les pages jaunies. On remonte le temps. Ozark nous permet de ne pas oublier que c'était pas toujours du bon durant ce temps là.
J'avoue. 5/5 c'est un peu to much, j'avoue. Mais, c'est bon les madeleines proustiennes.
Enfin… du coté de Photonik et Mikros ( deux des 3 séries du magasine, et on y reviendra) car Ozark, lui (la 3ème série), est hélas le vilain petit canard qui aura la tête coupée au 59ème Mustang. Et même qu'on dira que ce sera de faute, l'échec du Mustang, mode super héros lyonnais. Il faut dire que c'est vraiment pas fameux. Et il n'aura que 8 épisodes à son actif et il s'en ira ( avec une reprise bien plus tard que j'ai hâte de lire dans une mini série)
Il faut dire, qu'il fallait trouver un super héros qui se nomme Mustang pour être raccord avec le titre. Et ce sera le cheval d'Ozark qui va le faire. Un cheval qui vole, qui parle et qui tire des sortes de laser par ses narines (Sissi). Ozark, ça mange pas de pain. Ozark c'est tout se qu'il faut pas faire dans une série de super héros des années 80. C'est un mauvais Fumetti qui fait avec un super héros. Le dessin est très moche, les personnages sont des images d'Epinal à l'américaine, les méchants très très méchants. Ozark, c'est le nanard ultime et on le lit avec un plaisir coupable certain. Se moquer au détriment d'un superhéros, c'est pas bien. Mais il mérite et en plus à chaque planche. Les ressorts dramatiques sont expédiés mach7. Les super méchants se pointent au petit bonheur la chance.
Franco Oneta ( Frank Honest) est au pinceau. Il dessinait du Fumetti à la pelle chez Zembla, Yuma notamment. Et là il fait le minimum. Jacques Lennoz, le scénariste, semble peu inspirés. C'est une commande et il faut livrer vite.
Pourtant Ozark c'est aussi la rigolade assurée, le nanardesque entre deux petites perles (Photonik et Mikros), le retour dans les années 80 dans ce qui se fait de pire.
Et c'est bon de se moquer. C'est le Star Crash de Star Wars. Et puis , le magasine sent bon le vieux quand on tourne les pages jaunies. On remonte le temps. Ozark nous permet de ne pas oublier que c'était pas toujours du bon durant ce temps là.