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Griffo qui s'en va est remplacé par Taymans qui arrive. Sauf que Taymans qui connait à n'en pas douter son job (il suffit de lire Caroline Baldwin pour se le prouver) n'a pas le trait hergéen ni la plume qui a construit, dans les opus précédents, l'ambiance folle. Clairement, Taymans a du talent et le montre mais il est en totale antinomie avec le style de Griffo. Et ça, ça décote l'album.
Par contre question scénario, Di Giorgio demeure vif, incisif et sans temps mort mais cette fois-ci sans Deus ex machina qui, auparavant, partait en cacahuètes question pragmatisme. Certes, on sait qui sont les (vrai) méchants et les (faux) gentils. Munro, comme toujours, rate tout ce qu'il fait mais reste le chef d'orchestre de toute l'aventure. Certes, c'est assez conventionnel question narration mais choisir l'aviation postale en Amérique du sud est source de richesse scénaristique.
Dommage quand même aussi qu'on aille si vite sur la grande Adrienne Bolland, 1ere aviatrice à avoir franchi les cordillères des Andes et qui n'apparait qu'en hors champ dans cette histoire bien plaisante à la lecture et qui sera la dernière de la série (malgré le préambule final explicatif de l'album)
Griffo qui s'en va est remplacé par Taymans qui arrive. Sauf que Taymans qui connait à n'en pas douter son job (il suffit de lire Caroline Baldwin pour se le prouver) n'a pas le trait hergéen ni la plume qui a construit, dans les opus précédents, l'ambiance folle. Clairement, Taymans a du talent et le montre mais il est en totale antinomie avec le style de Griffo. Et ça, ça décote l'album.
Par contre question scénario, Di Giorgio demeure vif, incisif et sans temps mort mais cette fois-ci sans Deus ex machina qui, auparavant, partait en cacahuètes question pragmatisme. Certes, on sait qui sont les (vrai) méchants et les (faux) gentils. Munro, comme toujours, rate tout ce qu'il fait mais reste le chef d'orchestre de toute l'aventure. Certes, c'est assez conventionnel question narration mais choisir l'aviation postale en Amérique du sud est source de richesse scénaristique.
Dommage quand même aussi qu'on aille si vite sur la grande Adrienne Bolland, 1ere aviatrice à avoir franchi les cordillères des Andes et qui n'apparait qu'en hors champ dans cette histoire bien plaisante à la lecture et qui sera la dernière de la série (malgré le préambule final explicatif de l'album)