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Bon... Di Giorgio continue dans ses hasards heureux et ses incongruités. Mais il y a du bon tout de même:
Les méchants d'abord. Tous sont au sommet de la caricature sauf que c'est le but ici. Et les caricatures sont assez délicieuses. Les gentils ensuite. Munro a toujours aucune chance et se fait pécho presque tout le temps (sauf une fois, enfin!), Miss Crawft est le vrai personnage fort de l'album (et ça c'est bien qu'une figure féminine soit autre chose qu'un love interest!), il y aussi un jeune chinois (qu'on sait pas d'où il vient ni ou il va) avec une personnalité inexistante et un capitaine Hadock rouquin et écossais qui est assez savoureux!
Après? l'histoire vrombit, trépigne et court de partout avec de bons gros deus ex machina qui permet justement ce rythme. Mais bon....Faut avouer que les Deus sont quand même pas piquer des vers (Faut voir la scène de l'évasion. Tout ce qu'il ne faut pas faire si l'on veut construire une narration pragmatique et sensée).
C'est amusant certes mais il n'y a rien de neuf au soleil. Mais avec la croisière jaune qui passe et ça, j'ai aimé.
Demeure le dessin. Griffo nous avait fait voyager dans un New York enneigé et magnifique, Une venise superbe et faite de mystère et voila qu'il réussit avec dextérité l'ambiance du soleil levant.
Et puis il y a ce petit trait très sympa de plume qui s'amuse dans la caricature Hergéenne. Ce petit trait qui rappelle que tout ceci n'est qu'un pochade sans surprise mais qui fait le taf pour une lecture sans prétention et agréable.
C'est en Chine, en plein conflit avec le Japon et en pleine décomposition à cause des seigneurs de la guerre que se poursuit le récit entamé dans l'album précédent.
La série, toujours sous influence Tardi(esque), glisse davantage vers l'aventure et ce de manière très plaisante. On y retrouve par bribes les parfums du "Lotus Bleu" et c'est fort plaisant.
A quand une édition intégrale, ou mieux encore une continuation ?
Bon... Di Giorgio continue dans ses hasards heureux et ses incongruités. Mais il y a du bon tout de même:
Les méchants d'abord. Tous sont au sommet de la caricature sauf que c'est le but ici. Et les caricatures sont assez délicieuses. Les gentils ensuite. Munro a toujours aucune chance et se fait pécho presque tout le temps (sauf une fois, enfin!), Miss Crawft est le vrai personnage fort de l'album (et ça c'est bien qu'une figure féminine soit autre chose qu'un love interest!), il y aussi un jeune chinois (qu'on sait pas d'où il vient ni ou il va) avec une personnalité inexistante et un capitaine Hadock rouquin et écossais qui est assez savoureux!
Après? l'histoire vrombit, trépigne et court de partout avec de bons gros deus ex machina qui permet justement ce rythme. Mais bon....Faut avouer que les Deus sont quand même pas piquer des vers (Faut voir la scène de l'évasion. Tout ce qu'il ne faut pas faire si l'on veut construire une narration pragmatique et sensée).
C'est amusant certes mais il n'y a rien de neuf au soleil. Mais avec la croisière jaune qui passe et ça, j'ai aimé.
Demeure le dessin. Griffo nous avait fait voyager dans un New York enneigé et magnifique, Une venise superbe et faite de mystère et voila qu'il réussit avec dextérité l'ambiance du soleil levant.
Et puis il y a ce petit trait très sympa de plume qui s'amuse dans la caricature Hergéenne. Ce petit trait qui rappelle que tout ceci n'est qu'un pochade sans surprise mais qui fait le taf pour une lecture sans prétention et agréable.
C'est en Chine, en plein conflit avec le Japon et en pleine décomposition à cause des seigneurs de la guerre que se poursuit le récit entamé dans l'album précédent.
La série, toujours sous influence Tardi(esque), glisse davantage vers l'aventure et ce de manière très plaisante. On y retrouve par bribes les parfums du "Lotus Bleu" et c'est fort plaisant.
A quand une édition intégrale, ou mieux encore une continuation ?