Vous utilisez « Adblock » ou un autre logiciel qui bloque les zones publicitaires. Ces emplacements publicitaires sont une source de revenus indispensable à l'activité de notre site.
Depuis la création des site bdgest.com et bedetheque.com, nous nous sommes fait une règle de refuser tous les formats publicitaires dits "intrusifs". Notre conviction est qu'une publicité de qualité et bien intégrée dans le design du site sera beaucoup mieux perçue par nos visiteurs.
Pour continuer à apprécier notre contenu tout en gardant une bonne expérience de lecture, nous vous proposons soit :
de validez dans votre logiciel Adblock votre acceptation de la visibilité des publicités sur nos sites.
Depuis la barre des modules vous pouvez désactiver AdBlock pour les domaine "bdgest.com" et "bedetheque.com".
d'acquérir une licence BDGest.
En plus de vous permettre l'accès au logiciel BDGest\' Online pour gérer votre collection de bande dessinées, cette licence vous permet de naviguer sur le site sans aucune publicité.
Merci pour votre compréhension et soutien,
L'équipe BDGest
Les cookies sur Bedetheque.com :
Nous respectons votre vie privée, et n'utilisons que des cookies internes indispensables au fonctionnement du site.
En savoir plus Fermer
L’autrice nous entraine au cœur de Beyrouth Est pendant la guerre civile libanaise. Au cœur, au sens propre comme au figuré. Le contexte est posé par de magnifiques planches silencieuses en noir et blanc qui peu à peu au gré des motifs architecturaux et des différents murs et barricades dressés sur les routes nous prend par la main jusqu’à un appartement. Où ce qu’il en reste d’habitable, au sens de « presque sûr », l’entrée.
Dans cette entrée, où deux enfants attendent leurs parents coincés dans une autre maison le temps du bombardement et des échanges de tirs, les voisins peu à peu viennent se rassembler. Pour être, un peu plus, en sécurité. Pour être ensemble. Pour parler. Pour attendre.
Car oui, malgré son titre qui évoque le voyage et la migration, cette BD se déroule presque exclusivement en huis clos. Elle nous raconte l’attente. Le bruit. La chaleur d’être ensemble. L’angoisse du temps qui passe en espérant le retour des absents.
À partir de ce groupe de voisins rassemblés, l’auteure déroule peu à peu les fils de son histoire. De leurs histoires...
Lire la suite sur dilettantedeprose : https://dilettantedeprose.wordpress.com/2018/01/22/mourir-partir-revenir-le-jeu-des-hirondelles-par-zeina-abirached/
Pas du tout d'accord avec l'avis précédent que je trouve injuste.
Je viens de terminer cet album que j'ai trouvé tout d'abord graphiquement très réussi. Certaines planches sont véritablement très belles.
Ensuite, l'histoire m'a touché; elle se déroule dans un immeuble de Beyrouth, en 1984, sur le temps d'une soirée, pendant un bombardement. On y suit plusieurs personnes qui se retrouvent dans l'entrée d'un des appartements, l'endroit le plus à l'abri de l'immeuble. Les parents de deux enfants sont partis chez la grand-mère et sont coincés par le bombardement. Les autres voisins s'occupent d'eux, essayent de dédramatiser la situation.
Au cours du récit, on découvre la vie quotidienne durant cette période.
Alors effectivement ce n'est pas un livre de Marjane Satrapi, et si c'est ce que vous recherchez, il vaut mieux lire une des ses œuvres. De même, si vous voulez des blagues sur les blondes ou les aventures d'un reporter et de son chien, ce n'est pas le bon album.
Mais si vous l'abordez sans préjugés vous trouverez peut-être comme moi cette lecture belle, intéressante et émouvante, et donc, enrichissante.
Nostalgique de Persépolis, j'ai acheté cette BD dans l'espoir d'y retrouver une émotion similaire.
Malheureusement, bien que la patte de l'auteur soit dans le même esprit que la très célèbre Marjane Satrapi, l'histoire ne lui arrive pas à la cheville.
Toute la critique sur http://www.cespetitsriensparisiens.com/archive/2009/09/27/le-jeu-des-hirondelles.html
L’autrice nous entraine au cœur de Beyrouth Est pendant la guerre civile libanaise. Au cœur, au sens propre comme au figuré. Le contexte est posé par de magnifiques planches silencieuses en noir et blanc qui peu à peu au gré des motifs architecturaux et des différents murs et barricades dressés sur les routes nous prend par la main jusqu’à un appartement. Où ce qu’il en reste d’habitable, au sens de « presque sûr », l’entrée.
Dans cette entrée, où deux enfants attendent leurs parents coincés dans une autre maison le temps du bombardement et des échanges de tirs, les voisins peu à peu viennent se rassembler. Pour être, un peu plus, en sécurité. Pour être ensemble. Pour parler. Pour attendre.
Car oui, malgré son titre qui évoque le voyage et la migration, cette BD se déroule presque exclusivement en huis clos. Elle nous raconte l’attente. Le bruit. La chaleur d’être ensemble. L’angoisse du temps qui passe en espérant le retour des absents.
À partir de ce groupe de voisins rassemblés, l’auteure déroule peu à peu les fils de son histoire. De leurs histoires...
Lire la suite sur dilettantedeprose : https://dilettantedeprose.wordpress.com/2018/01/22/mourir-partir-revenir-le-jeu-des-hirondelles-par-zeina-abirached/
Pas du tout d'accord avec l'avis précédent que je trouve injuste.
Je viens de terminer cet album que j'ai trouvé tout d'abord graphiquement très réussi. Certaines planches sont véritablement très belles.
Ensuite, l'histoire m'a touché; elle se déroule dans un immeuble de Beyrouth, en 1984, sur le temps d'une soirée, pendant un bombardement. On y suit plusieurs personnes qui se retrouvent dans l'entrée d'un des appartements, l'endroit le plus à l'abri de l'immeuble. Les parents de deux enfants sont partis chez la grand-mère et sont coincés par le bombardement. Les autres voisins s'occupent d'eux, essayent de dédramatiser la situation.
Au cours du récit, on découvre la vie quotidienne durant cette période.
Alors effectivement ce n'est pas un livre de Marjane Satrapi, et si c'est ce que vous recherchez, il vaut mieux lire une des ses œuvres. De même, si vous voulez des blagues sur les blondes ou les aventures d'un reporter et de son chien, ce n'est pas le bon album.
Mais si vous l'abordez sans préjugés vous trouverez peut-être comme moi cette lecture belle, intéressante et émouvante, et donc, enrichissante.
Décevant.
Nostalgique de Persépolis, j'ai acheté cette BD dans l'espoir d'y retrouver une émotion similaire.
Malheureusement, bien que la patte de l'auteur soit dans le même esprit que la très célèbre Marjane Satrapi, l'histoire ne lui arrive pas à la cheville.
Toute la critique sur http://www.cespetitsriensparisiens.com/archive/2009/09/27/le-jeu-des-hirondelles.html