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La suite et, déjà, la fin dans ce T2 du run, très moyen, de Brian M. Bendis et d’Alex Maleev sur Moon Knight. Sentant déjà sûrement venir l’annulation prochaine de la série, l’histoire ne connait plus aucun nouveau développement, se contente de ronronner et d’amener tranquillement le lecteur au combat final entre le Chevalier de la Lune et le comte Nefaria (Moon Knight 2011, #8-12).
Si les douze numéros ont été publiés en deux tomes, ils ne constituent en réalité qu’une seule et unique intrigue dont nous lisons ici la fin. On peut par ailleurs toujours l’attendre mais cette série régulière, devenue maxi-série, aurait bien méritée un épais Deluxe (à l’instar de celui dédié au run de Charlie Huston sur le personnage). S’il n’y avait qu’une chose à retenir de cet album, ce serait la relation amorcée précédemment entre Moon Knight et Echo qui s’accélère et connait son dénouement. Tandis que du côté de l’intrigue principale, le combat final contre le comte Nefaria est vite expédié dans le cadre on-ne-peut-plus ordinaire d’un commissariat. Décevant.
En conclusion, l’histoire n’aura jamais franchement décollée et c’est donc sans surprise que la série est annulée au bout de douze numéros (une habitude pour notre héros qui ne bénéficie pas d’un très grand lectorat). Si j’apprécie habituellement les super-héros plus urbains et matures, cet ersatz de Batman, encapé de blanc et un peu dépressif, ne m’aura pas particulièrement enthousiasmé. Alors si l’on y ajoute le scénario sans surprise de Bendis et, exception faite de ses superbes couvertures, le dessin perfectible de Maleev... On peut cependant reconnaître au titre le mérite d’avoir su conserver son duo Bendis / Maleev durant une année – ininterrompue – de publication et aux auteurs d’avoir essayé, en vain, de reproduire le succès qu’ils ont connu avec Daredevil.
La suite et, déjà, la fin dans ce T2 du run, très moyen, de Brian M. Bendis et d’Alex Maleev sur Moon Knight. Sentant déjà sûrement venir l’annulation prochaine de la série, l’histoire ne connait plus aucun nouveau développement, se contente de ronronner et d’amener tranquillement le lecteur au combat final entre le Chevalier de la Lune et le comte Nefaria (Moon Knight 2011, #8-12).
Si les douze numéros ont été publiés en deux tomes, ils ne constituent en réalité qu’une seule et unique intrigue dont nous lisons ici la fin. On peut par ailleurs toujours l’attendre mais cette série régulière, devenue maxi-série, aurait bien méritée un épais Deluxe (à l’instar de celui dédié au run de Charlie Huston sur le personnage). S’il n’y avait qu’une chose à retenir de cet album, ce serait la relation amorcée précédemment entre Moon Knight et Echo qui s’accélère et connait son dénouement. Tandis que du côté de l’intrigue principale, le combat final contre le comte Nefaria est vite expédié dans le cadre on-ne-peut-plus ordinaire d’un commissariat. Décevant.
En conclusion, l’histoire n’aura jamais franchement décollée et c’est donc sans surprise que la série est annulée au bout de douze numéros (une habitude pour notre héros qui ne bénéficie pas d’un très grand lectorat). Si j’apprécie habituellement les super-héros plus urbains et matures, cet ersatz de Batman, encapé de blanc et un peu dépressif, ne m’aura pas particulièrement enthousiasmé. Alors si l’on y ajoute le scénario sans surprise de Bendis et, exception faite de ses superbes couvertures, le dessin perfectible de Maleev... On peut cependant reconnaître au titre le mérite d’avoir su conserver son duo Bendis / Maleev durant une année – ininterrompue – de publication et aux auteurs d’avoir essayé, en vain, de reproduire le succès qu’ils ont connu avec Daredevil.