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Avec Mike’s Place, on découvre un autre visage de l’Etat d’Israël qui est beaucoup plus libérée, plus moderne, plus ouvert sur toutes les autres cultures et les autres religions. Mike’s Place est à l’origine une chaine de deux bars (l’un situé dans la station balnéaire de Tel Aviv et l’autre à Jérusalem).
C’est l’un des très rares endroits où juifs, chrétiens et musulmans pouvaient sortir paisiblement sans parler de politique ou de religion. Malheureusement, il a été la cible d’un odieux attentat suicide musulman en Avril 2003. C'est une horrible guerre de religion qui n'hésite pas à s’en prendre à des jeunes innocents. Ces derniers sortent paisiblement pour aller boire un coup, écouter de la musique et accessoirement faire des rencontres.
Je n’aurais jamais de mots assez durs pour rejeter tous ces crimes odieux perpétrés sur des civils au nom d’une religion quelconque ou de la libération d’un peuple ayant perdu une guerre. Rien ne justifie cette violence extrême commis sur des civils. Rien. Penser le contraire serait une dangereuse incitation punissable par la loi. A noter que l’auteur essaye d’avoir un peu de recul en étant assez neutre tout en faisant preuve d’humanité et de justesse. On verra par exemple le récit de ces deux frères fréquentant ce bar pour aller ensuite se faire exploser en faisant un maximum de dégâts dans un lieu de partage et d’ouverture sur le monde.
J’ai eu beaucoup de peine pour toutes ces victimes dont on fait véritablement connaissance tout le long de cet ouvrage. Parmi elle, une française à savoir Dominique qui voulait monter un commerce de pâtisserie en Israël et qui avait une relation avec le patron du bar même si elle cachait une sorte d’aventure avec un colocataire. A elle seule, elle était l’emblème de ce lieu qui a ré ouvert après l’attentat pour ne pas laisser gagner les terroristes. Plus vite tu oublies, mieux c’est dira l’un des protagonistes en parlant de la vie en Israël. Une mémoire à court terme comme système immunitaire.
C’est une très bonne bd avec un récit assez touchant. Une histoire vraie avec des serveurs, des videurs et des musiciens. Une chronique sur un attentat odieux. On ne ressortira pas indemne de cette lecture.
Avec Mike’s Place, on découvre un autre visage de l’Etat d’Israël qui est beaucoup plus libérée, plus moderne, plus ouvert sur toutes les autres cultures et les autres religions. Mike’s Place est à l’origine une chaine de deux bars (l’un situé dans la station balnéaire de Tel Aviv et l’autre à Jérusalem).
C’est l’un des très rares endroits où juifs, chrétiens et musulmans pouvaient sortir paisiblement sans parler de politique ou de religion. Malheureusement, il a été la cible d’un odieux attentat suicide musulman en Avril 2003. C'est une horrible guerre de religion qui n'hésite pas à s’en prendre à des jeunes innocents. Ces derniers sortent paisiblement pour aller boire un coup, écouter de la musique et accessoirement faire des rencontres.
Je n’aurais jamais de mots assez durs pour rejeter tous ces crimes odieux perpétrés sur des civils au nom d’une religion quelconque ou de la libération d’un peuple ayant perdu une guerre. Rien ne justifie cette violence extrême commis sur des civils. Rien. Penser le contraire serait une dangereuse incitation punissable par la loi. A noter que l’auteur essaye d’avoir un peu de recul en étant assez neutre tout en faisant preuve d’humanité et de justesse. On verra par exemple le récit de ces deux frères fréquentant ce bar pour aller ensuite se faire exploser en faisant un maximum de dégâts dans un lieu de partage et d’ouverture sur le monde.
J’ai eu beaucoup de peine pour toutes ces victimes dont on fait véritablement connaissance tout le long de cet ouvrage. Parmi elle, une française à savoir Dominique qui voulait monter un commerce de pâtisserie en Israël et qui avait une relation avec le patron du bar même si elle cachait une sorte d’aventure avec un colocataire. A elle seule, elle était l’emblème de ce lieu qui a ré ouvert après l’attentat pour ne pas laisser gagner les terroristes. Plus vite tu oublies, mieux c’est dira l’un des protagonistes en parlant de la vie en Israël. Une mémoire à court terme comme système immunitaire.
C’est une très bonne bd avec un récit assez touchant. Une histoire vraie avec des serveurs, des videurs et des musiciens. Une chronique sur un attentat odieux. On ne ressortira pas indemne de cette lecture.