©Delcourt 2019 Durand/Ferret
Parution le 03/04/2019. Vous pouvez commander l'album chez nos partenaires suivants :
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Album créé dans la bedetheque le 06/03/2019 (Dernière modification le 03/03/2022 à 22:29) par xof 24
Les métamorphoses 1858
2. Dinocampus coccinellae
Une BD de Alexie Durand et Sylvain Ferret chez Delcourt - 2019
04/2019 (03 avril 2019) 59 pages 9782413013600 Grand format 361238
Stanislas et Joseph, désormais accompagnés d'une équipe prête à en découdre, s'envolent à bord d'un dirigeable. Direction Barcelone, sur la trace du mystérieux Architecte. Pour l'avoir déjà affronté deux fois, ils savent à présent que leur ennemi n'hésitera pas un seul instant à les éliminer. Mais comment faire front lorsque la révélation d'un ancien secret réveille de vieilles rancunes et met à mal la confiance entre les deux amis d'enfance ?
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Tome 1 -
Tome 2 -
Tome 3
J'ai décroché rapidement ne trouvant qu'un intérêt très limité à ce second opus.
Pour plus de détails, confer mon avis plus complet donné sur le tome 1
Cette suite a malheureusement perdu un peu en qualité. Certes, la couverture est somptueuse, les dessins et leur mise en page sont magnifiques, la mise en couleur et l'ambiance sont enivrantes, et les bonus en réalité virtuel toujours présents. Du coup on ne peut qu'admirer tous cet énorme travail de qualité déjà initié dans le premier tome.
Mais en revanche l'histoire parait moins travaillée et s'éloigne considérablement de la trame mise en place dans le premier album. Des personnages inconnus débarquent sans trop savoir qui ils sont, ainsi que des lieux dont on ignore le lien avec l'histoire et des "monstres" sorties d'on ne sait où.
Bref beaucoup d'incohérences et une ambiance moins prenante que celle du premier tome.
J’ai vraiment peur de ce que je vais découvrir dans le troisième et dernier opus. J’espère que les auteurs vont rester le maximum terre à terre et que le fil conducteur sera tenu jusqu'à la fin...
Je suis très déçu de ce volet. Il est largement inférieur au premier. Certes beaucoup de planches, belles couleurs, très beaux dessins, rien à redire. Un grand bravo aussi pour la rétrospective de la vie des deux héros, mais l'histoire... voilà quoi. J'ai eu l'impression qu'elle est très tirée par les cheveux on s'éloigne beaucoup de la suite attendue à la fin du premier volet. Avec des cyborgs qui deviennent des monstres et le volume qui s'arrête sur un monstre encore plus moche..., des idées empruntées à de grand auteurs, certes. Je ne souhaite pas être trop dur mais c'est du grand "n'importe quoi". Voilà mon avis sincère et des BD j'en dévore. Complètement déçu.
Série intéressante. Attendons le tome 3 pour voir comment se termine l'histoire.
On notera que c'est une première oeuvre pour ces deux jeunes auteurs.
Ce second tome est un peu en dessous du premier : plus brouillon.
Beaucoup d'influences de récits fantastiques du XIXème siècle pour le scénario et les dessins ont un petit côté manga.
Ce second tome arrive seulement quelques mois après le premier volume de cette aventure steampunk sous la forme d'une enquête dans l'imaginaire fantastique du XIX° siècle, où l'on passe de l'Ile du Docteur Moreau à Jack l'éventreur en passant bien sur par Jules Verne... On a laissé les deux frères embarqués dans une société secrète d'érudits, sur un aéronef en route vers le Portugal. Dès l'ouverture du second album on est replongé dans ce qui marque cette série: son découpage très innovant qui participe à un habillage général et donne du corps à l'histoire. L'histoire familiale des deux héros se détaille avec des flash-back où l'on apprend les relations orageuses avec le paternel, alors que les objectifs des différents membres de la société secrète s'avèrent troubles. Lorsque nos héros se retrouvent agressés par des créatures encore plus étranges que les "cyborgs" rencontrés à Paris la réalité bascule et l'on ne sait plus trop bien ce qui est explicable et ce qui frôle le démoniaque... Les auteurs Alexie Durant et Sylvain Ferret connaissent leurs gammes en matière de fantastique et d'effets horrifiques (... bien gores!). "Tournée" comme un film, cette BD apporte un dynamisme certain en jouant sur nos références imaginaires en sachant titiller nos envies d'aventure steampunk et de fantastique sans tomber dans le plagiat de ce qui a déjà été fait. La fabrication sent la passion, du titre en latin jusqu'aux annexes qui prolongent l'intrigue. Quand originalité rime avec efficacité, il ne faut pas bouder son plaisir!
Lire sur le blog:
https://etagereimaginaire.wordpress.com/2019/05/04/bd-en-vrac-8