Mémoires de la guerre civile
2. Tome 2
Une BD de
Richard Marazano
et
Jean-Michel Ponzio
chez Dargaud
- 2017
Marazano, Richard
(Scénario)
Ponzio, Jean-Michel
(Dessin)
Ponzio, Jean-Michel
(Couleurs)
Marazano, Richard
(Storyboard)
10/2017 (27 octobre 2017) 54 pages 9782205075243 Grand format 311598
Notre monde, dans un futur proche... La population se répartit dans les Enclaves – endroits pour riches citoyens – et dans les Territoires – zones de non-droit où les habitants sont « régulés » par les Sections d'intervention. Chef d'une de ces sections, Vivian fait des cauchemars récurrents dans lesquels il est responsable de la destruction des Enclaves qu'il doit protéger... Lors d'une mission dans un Territoire, Vivian et sa section capturent un clandestin qui annonce la venue d'un libérateur des réprouvés et exploités : le Tiqqun.
Dans le tome 1 dès les premières planches, la vulgarité est présente dans chaque phrase...Un personnage suffisant, une histoire très superficielle qui veut nous faire avaler des poncifs avec des grands airs de pseudo géopolitique.
Des dessins que je n'arrive toujours pas à accepter avec des détourages de personnages inadmissibles. La prochaine fois j'achète un roman photo...
Toujours cet hermétisme chez Marazano dans un exercice éculé vu et revu. On ne comprend pas tout mais visiblement c’est une marque de fabrique... Alors pourquoi se farcir de pâles copies d’un genre qui a déjà ses lettres de noblesse par ailleurs ?
Le dessin ? Au niveau mais à quoi bon quand le tout n’a rien d’emballant ?
cette suite est une véritable claque pour moi.
dans l'exacte continuité de tome 1.
mais avec quelque chose de plus.
j'avoue ne pas avoir tout compris, il vas me falloir du temps pour totalement assimiler.
ceci étant je pense que ce type d'histoire peut rebuter mais il faut aller plus loin.
contrairement à beaucoup de série celle-ci a un message ou du moins je l'ai pris comme tel.
elle montre un monde possible qui j'espère n'existera pas.
hélas tout semble montrer le contraire...
vivement la suite.
J’ai vraiment du mal avec le graphisme de Ponzio. Ce n’est pas qu’il soit mauvais mais on a souvent l’impression de voir des photos de têtes sur des corps dessinés. C’est très spécial. L’histoire en elle-même, sans être vraiment captivante, est plutôt plaisante à suivre.