Vous utilisez « Adblock » ou un autre logiciel qui bloque les zones publicitaires. Ces emplacements publicitaires sont une source de revenus indispensable à l'activité de notre site.
Depuis la création des site bdgest.com et bedetheque.com, nous nous sommes fait une règle de refuser tous les formats publicitaires dits "intrusifs". Notre conviction est qu'une publicité de qualité et bien intégrée dans le design du site sera beaucoup mieux perçue par nos visiteurs.
Pour continuer à apprécier notre contenu tout en gardant une bonne expérience de lecture, nous vous proposons soit :
de validez dans votre logiciel Adblock votre acceptation de la visibilité des publicités sur nos sites.
Depuis la barre des modules vous pouvez désactiver AdBlock pour les domaine "bdgest.com" et "bedetheque.com".
d'acquérir une licence BDGest.
En plus de vous permettre l'accès au logiciel BDGest\' Online pour gérer votre collection de bande dessinées, cette licence vous permet de naviguer sur le site sans aucune publicité.
Merci pour votre compréhension et soutien,
L'équipe BDGest
Les cookies sur Bedetheque.com :
Nous respectons votre vie privée, et n'utilisons que des cookies internes indispensables au fonctionnement du site.
En savoir plus Fermer
Avec un graphisme toujours impeccable et détaillé, "La lettre froissée" continue de surprendre, les paysages de campagne laissent la place à la ville, aux bâtiments, école et autres infrastructures. Et j'y retrouve la même beauté de forme que les diptyques précédents ("Les seins de café", "La belle coquetière").
Dans les œuvres de Servais, il y a toujours une femme qui bouleverse le récit. Ici, il s'agit de Pauline, une bourrelle des cœurs. Sur fond d'occupation, il est question ici d'enfants, de guerre et de juifs. Même si c'est bien amené, ce cycle est d'un intérêt moindre me concernant pour le scénario qui n’empêche pas d'apprécier l'ambiance générale et l’esthétique qui découle de l’œuvre, d'une grande qualité.
40 ans après, on retrouve nos rescapés de la guerre venu en pèlerinage au château qui les a sauvé pendant leur enfance et on découvre le destin tragique de la petite lingère qui se croyait responsable de la chute du maquis.
Le scénario de cette suite est un peu moins convaincant, mais on retrouve avec plaisir nos protagonistes et l'histoire est quand même très forte.
Au total très bon diptyque.
Avec un graphisme toujours impeccable et détaillé, "La lettre froissée" continue de surprendre, les paysages de campagne laissent la place à la ville, aux bâtiments, école et autres infrastructures. Et j'y retrouve la même beauté de forme que les diptyques précédents ("Les seins de café", "La belle coquetière").
Dans les œuvres de Servais, il y a toujours une femme qui bouleverse le récit. Ici, il s'agit de Pauline, une bourrelle des cœurs. Sur fond d'occupation, il est question ici d'enfants, de guerre et de juifs. Même si c'est bien amené, ce cycle est d'un intérêt moindre me concernant pour le scénario qui n’empêche pas d'apprécier l'ambiance générale et l’esthétique qui découle de l’œuvre, d'une grande qualité.
40 ans après, on retrouve nos rescapés de la guerre venu en pèlerinage au château qui les a sauvé pendant leur enfance et on découvre le destin tragique de la petite lingère qui se croyait responsable de la chute du maquis.
Le scénario de cette suite est un peu moins convaincant, mais on retrouve avec plaisir nos protagonistes et l'histoire est quand même très forte.
Au total très bon diptyque.