Vous utilisez « Adblock » ou un autre logiciel qui bloque les zones publicitaires. Ces emplacements publicitaires sont une source de revenus indispensable à l'activité de notre site.
Depuis la création des site bdgest.com et bedetheque.com, nous nous sommes fait une règle de refuser tous les formats publicitaires dits "intrusifs". Notre conviction est qu'une publicité de qualité et bien intégrée dans le design du site sera beaucoup mieux perçue par nos visiteurs.
Pour continuer à apprécier notre contenu tout en gardant une bonne expérience de lecture, nous vous proposons soit :
de validez dans votre logiciel Adblock votre acceptation de la visibilité des publicités sur nos sites.
Depuis la barre des modules vous pouvez désactiver AdBlock pour les domaine "bdgest.com" et "bedetheque.com".
d'acquérir une licence BDGest.
En plus de vous permettre l'accès au logiciel BDGest\' Online pour gérer votre collection de bande dessinées, cette licence vous permet de naviguer sur le site sans aucune publicité.
Merci pour votre compréhension et soutien,
L'équipe BDGest
Les cookies sur Bedetheque.com :
Nous respectons votre vie privée, et n'utilisons que des cookies internes indispensables au fonctionnement du site.
En savoir plus Fermer
En parallèle de la série Carthago qui n'en finit pas, le très prolifique Christophe Bec nous dévoile un 'one-shot' avec des mégalodons au temps de la préhistoire.
C'est beau, très beau et très impressionnant visuellement. Malheureusement, c'est à peu près tout ce qu'il y a à se mettre sous la dent, puisqu'en effet le scénario se résume à un jeune mégalodon qui cherche à survivre face à diverses menaces et autres joyeusetés issues des abysses, à coup de dents et autres tentacules lacérés.
Cela ressemble davantage à un documentaire animalier plus qu'à une histoire mais je n'ai pas boudé mon plaisir devant tout ce déchaînement de sauvagerie aquatique, bien mis en image par Antiga et en couleur par Meloni. Il y a de somptueuses double-pages qui s'apparentent presque à des tableaux d'artiste-peintres.
Un gros "bof !" pour moi. Si le dessin est très réussi (avec quelques cases grand format vraiment saisissantes), que dire de ce scénario monotone et répétitif ? On passe l'album à suivre un requin qui nage et qui chasse dans les océans ... Au bout de cinq pages on a déjà fait le tour.
Bref, vous l'aurez compris : je me suis fortement ennuyé, malgré un dessin parfaitement maîtrisé et très à mon goût.
Christophe Bec l'avait signalé sur sa page Facebook : cela n'a rien à voir avec Carthago. Et, en effet, nous sommes à 1000 lieues de cet univers ou, devrais-je dire, quelques millions d'années de celui-ci.
Mon intérêt - comme celui de beaucoup de monde je crois - pour les dinosaures et autres monstres marins m'a incité à acheter l'album. Le dessin est remarquable et le scénario pas mal (une histoire d'amour, de jalousie entre mégalodons qui mène à une rencontre avec une belle et jeune mégalodon ... même les animaux préhistoriques sont amoureux ;-) ). Ne vous attendez pas à des dialogues exceptionnel (les requins, c'est assez réservé en société), ni à des descriptifs à la Jacobs (c'est le dessin qui explique tout).
Tout comme le commentaire de Julosaurus Rex, j'aurais aimé savoir ce qu'est la charmante bestiole qui apparaît dans les dernières pages ....
L'album est cependant intéressant et mérite bien 4 étoiles
Le mégalodon est une créature qui m'a toujours fasciné non pas à cause du film « en eaux troubles ou très troubles » mais parce qu'il est considéré comme l'un des prédateurs les plus grands et les plus puissants à avoir jamais vécu sur notre planète. Il pouvait mesurer jusqu'à 18 mètres de long. A comparer avec un grand requin blanc !
On assiste dans ce récit initié par Christophe Bec à une rivalité entre le balafré, vieux mâle dominant qui convoite une jeune femelle, et un mégalodon plus jeune qui sera le narrateur de cette aventure animalière aquatique. Oui, il y a de la contestation de l'autorité dans l'air à l'ère du Miocène !
Il faut savoir que le mégalodon avait également un puissant rival dans les mers à savoir le Livyatan, une sorte de cachalot très carnivore mais qui est généralement seul mais avec une puissance étourdissante.
On va rencontrer également des eurhinodelphis, sorte de dauphin à la mâchoire effilée comme des espadons, ce qui les rendaient assez dangereux également car nageant en meute. Les calamars géants peuvent être redoutables avec leurs grandes tentacules asphyxiantes.
A noter que les deux dernières créatures aquatiques présentes dans le récit ne seront pas nommées par l'auteur alors qu'il aurait sans doute été intéressant de pouvoir les connaître. On reconnaît une sorte de saurien des mers ainsi qu'un serpent tout droit sorti d'un mauvais épisode d'héroïc fantasy. Ce dernier aura pourtant un rôle non négligeable dans le triste dénouement de ce récit. Le quoiqu'il en coûte a toujours un prix exorbitant à régler au passage en caisse.
A noter que le graphisme est véritablement à couper le souffle que cela soit dans les abysses ou plus près du rivage où l'on croisera des animaux qui nous sont plus familiers comme les singes descendants des hommes ou le tigre à dents de sabre.
Les seuls dialogues auront lieu à la toute fin où l'on vivra un autre épisode de la rencontre entre les premiers hommes vivant il y a 20.000 ans et le mégalodon qui existaient encore d'après certains spécialistes. D'autres scientifiques plus sérieux disent qu'il a existé sur une période s'étalant d'il y a 23 millions d'années à 3,5 millions d'année avant notre ère.
La disparition du mégalodon est lié au refroidissement du climat. C'est vrai qu'avec le réchauffement climatique, on verra peut-être apparaître de nouvelles espèces plus terrifiante. A quand une attaque du requin bouledogue dans la Seine aux abords des berges parisiennes ?
Pour en revenir à la BD, je n'ai pas hésité à l'acheter à cause de ma fascination. C'est un spectaculaire reportage animalier avec des scènes de combat assez féroces entre tout ces monstres marins.
C'est beau, c'est terriblement beau.
Dans le dessin de chaque page transparaît l'énergie des animaux représentés. Antiga sait ce qu'il fait, et paléontologiquement parlant, il a fait quelques recherches et cela se voit. Bon, je ne vais pas chicaner sur le fait qu'au miocène certaines créatures représentées en arrière-plan sont zigouillées depuis belle lurette (Coucou les ammonites et les ostracodermes !) et que je continue à me demander qu'est-ce que c'est que cette énorme créature abyssale au 8/10e du bouquin ?
Au niveau du scénario de Bec, on pourrait dire qu'il ne s'est pas foulé, il raconte peu ou prou ce que l'on voit dans un documentaire animalier quelconque : la survie, la survie, toujours la survie. Mais c'est plaisant.
Même si je n'ai pas compris ce que signifie l'épilogue ? Peut-être est-ce en relation directe avec les deux derniers volumes de Carthago sortis et que je n'ai pas encore lu ?
Bref, les ouvrages où l'on trouve du requin, et si possible avec des hargneux, j'adore, c'est mon plaisir coupable. Celui-ci en fait partie.
À tester, ne serait-ce que pour la partie graphique. Cela n'intéressera pas tout le monde.
Fans de requins et de préhistoire, foncez !
En parallèle de la série Carthago qui n'en finit pas, le très prolifique Christophe Bec nous dévoile un 'one-shot' avec des mégalodons au temps de la préhistoire.
C'est beau, très beau et très impressionnant visuellement. Malheureusement, c'est à peu près tout ce qu'il y a à se mettre sous la dent, puisqu'en effet le scénario se résume à un jeune mégalodon qui cherche à survivre face à diverses menaces et autres joyeusetés issues des abysses, à coup de dents et autres tentacules lacérés.
Cela ressemble davantage à un documentaire animalier plus qu'à une histoire mais je n'ai pas boudé mon plaisir devant tout ce déchaînement de sauvagerie aquatique, bien mis en image par Antiga et en couleur par Meloni. Il y a de somptueuses double-pages qui s'apparentent presque à des tableaux d'artiste-peintres.
Un gros "bof !" pour moi. Si le dessin est très réussi (avec quelques cases grand format vraiment saisissantes), que dire de ce scénario monotone et répétitif ? On passe l'album à suivre un requin qui nage et qui chasse dans les océans ... Au bout de cinq pages on a déjà fait le tour.
Bref, vous l'aurez compris : je me suis fortement ennuyé, malgré un dessin parfaitement maîtrisé et très à mon goût.
Christophe Bec l'avait signalé sur sa page Facebook : cela n'a rien à voir avec Carthago. Et, en effet, nous sommes à 1000 lieues de cet univers ou, devrais-je dire, quelques millions d'années de celui-ci.
Mon intérêt - comme celui de beaucoup de monde je crois - pour les dinosaures et autres monstres marins m'a incité à acheter l'album. Le dessin est remarquable et le scénario pas mal (une histoire d'amour, de jalousie entre mégalodons qui mène à une rencontre avec une belle et jeune mégalodon ... même les animaux préhistoriques sont amoureux ;-) ). Ne vous attendez pas à des dialogues exceptionnel (les requins, c'est assez réservé en société), ni à des descriptifs à la Jacobs (c'est le dessin qui explique tout).
Tout comme le commentaire de Julosaurus Rex, j'aurais aimé savoir ce qu'est la charmante bestiole qui apparaît dans les dernières pages ....
L'album est cependant intéressant et mérite bien 4 étoiles
Le mégalodon est une créature qui m'a toujours fasciné non pas à cause du film « en eaux troubles ou très troubles » mais parce qu'il est considéré comme l'un des prédateurs les plus grands et les plus puissants à avoir jamais vécu sur notre planète. Il pouvait mesurer jusqu'à 18 mètres de long. A comparer avec un grand requin blanc !
On assiste dans ce récit initié par Christophe Bec à une rivalité entre le balafré, vieux mâle dominant qui convoite une jeune femelle, et un mégalodon plus jeune qui sera le narrateur de cette aventure animalière aquatique. Oui, il y a de la contestation de l'autorité dans l'air à l'ère du Miocène !
Il faut savoir que le mégalodon avait également un puissant rival dans les mers à savoir le Livyatan, une sorte de cachalot très carnivore mais qui est généralement seul mais avec une puissance étourdissante.
On va rencontrer également des eurhinodelphis, sorte de dauphin à la mâchoire effilée comme des espadons, ce qui les rendaient assez dangereux également car nageant en meute. Les calamars géants peuvent être redoutables avec leurs grandes tentacules asphyxiantes.
A noter que les deux dernières créatures aquatiques présentes dans le récit ne seront pas nommées par l'auteur alors qu'il aurait sans doute été intéressant de pouvoir les connaître. On reconnaît une sorte de saurien des mers ainsi qu'un serpent tout droit sorti d'un mauvais épisode d'héroïc fantasy. Ce dernier aura pourtant un rôle non négligeable dans le triste dénouement de ce récit. Le quoiqu'il en coûte a toujours un prix exorbitant à régler au passage en caisse.
A noter que le graphisme est véritablement à couper le souffle que cela soit dans les abysses ou plus près du rivage où l'on croisera des animaux qui nous sont plus familiers comme les singes descendants des hommes ou le tigre à dents de sabre.
Les seuls dialogues auront lieu à la toute fin où l'on vivra un autre épisode de la rencontre entre les premiers hommes vivant il y a 20.000 ans et le mégalodon qui existaient encore d'après certains spécialistes. D'autres scientifiques plus sérieux disent qu'il a existé sur une période s'étalant d'il y a 23 millions d'années à 3,5 millions d'année avant notre ère.
La disparition du mégalodon est lié au refroidissement du climat. C'est vrai qu'avec le réchauffement climatique, on verra peut-être apparaître de nouvelles espèces plus terrifiante. A quand une attaque du requin bouledogue dans la Seine aux abords des berges parisiennes ?
Pour en revenir à la BD, je n'ai pas hésité à l'acheter à cause de ma fascination. C'est un spectaculaire reportage animalier avec des scènes de combat assez féroces entre tout ces monstres marins.
C'est beau, c'est terriblement beau.
Dans le dessin de chaque page transparaît l'énergie des animaux représentés. Antiga sait ce qu'il fait, et paléontologiquement parlant, il a fait quelques recherches et cela se voit. Bon, je ne vais pas chicaner sur le fait qu'au miocène certaines créatures représentées en arrière-plan sont zigouillées depuis belle lurette (Coucou les ammonites et les ostracodermes !) et que je continue à me demander qu'est-ce que c'est que cette énorme créature abyssale au 8/10e du bouquin ?
Au niveau du scénario de Bec, on pourrait dire qu'il ne s'est pas foulé, il raconte peu ou prou ce que l'on voit dans un documentaire animalier quelconque : la survie, la survie, toujours la survie. Mais c'est plaisant.
Même si je n'ai pas compris ce que signifie l'épilogue ? Peut-être est-ce en relation directe avec les deux derniers volumes de Carthago sortis et que je n'ai pas encore lu ?
Bref, les ouvrages où l'on trouve du requin, et si possible avec des hargneux, j'adore, c'est mon plaisir coupable. Celui-ci en fait partie.
À tester, ne serait-ce que pour la partie graphique. Cela n'intéressera pas tout le monde.
Fans de requins et de préhistoire, foncez !