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On est toujours frappé par le dessin de Florence Magnin. Ses traits incarnent la douceur. C’est véritablement magnifique pour les yeux. Le danger viendrait sans doute d’une certaine infantilisation du graphisme. Pour autant et je dirais, pour une fois, nous avons un récit plus mâture que les précédentes œuvres. La beauté côtoie également des dessins effrayants, voire démoniaques. L’auteure ne nous avait pas habitués à cela et c’est ce qui surprend d’un premier abord.
J’ai entendu dernièrement une théorie assez intéressante pour expliquer pourquoi des adultes avaient refusé de grandir dans leur tête et restaient de grands enfants (le fameux syndrome Peter Pan). Bref, ils sont émotionnellement immatures. Oui, c’est comme une espèce de protection face à un monde de plus en plus dur et stressant. Or, cette œuvre me rappelle cela surtout avec la thématique des masques.
Cette ambivalence semble assez bien fonctionner mais cela ne me convainc pas réellement. Bref, au niveau graphique, je donne la note maximale. Cependant, au niveau du scénario, il n’y a pas cette inventivité qu’on attend pour faire la différence. Les contes et les légendes populaires pour nous raconter, le temps d’un été, le séjour enchanté d’une fillette de 11 ans où la réalité se mêle au fantastique et vice versa. J’ai vu mieux comme parcours initiatique. Le classicisme restera de mise.
On est toujours frappé par le dessin de Florence Magnin. Ses traits incarnent la douceur. C’est véritablement magnifique pour les yeux. Le danger viendrait sans doute d’une certaine infantilisation du graphisme. Pour autant et je dirais, pour une fois, nous avons un récit plus mâture que les précédentes œuvres. La beauté côtoie également des dessins effrayants, voire démoniaques. L’auteure ne nous avait pas habitués à cela et c’est ce qui surprend d’un premier abord.
J’ai entendu dernièrement une théorie assez intéressante pour expliquer pourquoi des adultes avaient refusé de grandir dans leur tête et restaient de grands enfants (le fameux syndrome Peter Pan). Bref, ils sont émotionnellement immatures. Oui, c’est comme une espèce de protection face à un monde de plus en plus dur et stressant. Or, cette œuvre me rappelle cela surtout avec la thématique des masques.
Cette ambivalence semble assez bien fonctionner mais cela ne me convainc pas réellement. Bref, au niveau graphique, je donne la note maximale. Cependant, au niveau du scénario, il n’y a pas cette inventivité qu’on attend pour faire la différence. Les contes et les légendes populaires pour nous raconter, le temps d’un été, le séjour enchanté d’une fillette de 11 ans où la réalité se mêle au fantastique et vice versa. J’ai vu mieux comme parcours initiatique. Le classicisme restera de mise.