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Une série difficile à noter, car les 4 albums sont très inégaux.
Le dessin, d'abord. Car c'est lui qui nous attire par les très belles couvertures des tomes 1 et 2. Tello réussit à créer une héroïne intéressante, tout n'est pas dans ses nichons ni dans des prouesses kungfuesques. Par contre, le monde crée est «terne», ayant peu d'attraits visuels différenciés (à comparer avec Le cycle de Cyan, ou chaque créature, chaque objet, chaque maison est une création remarquable). Les robots sont énormes, comme Appleseed. On se demande comment ils peuvent se mouvoir dans l'environnement humain sans tout exploser. Enfin, l'action reste statique.
Dans le 3ème tome illustré par Francisco Ruiz Velasco, le robot P'tit Tet redevient la traditionnelle boîte de conserve, comme dans le film I, Robot. Les décors se complexifient, mais, hélas, les personnages perdent tout leur charme. Et les couleurs pisseuses...
Le 4ème tome propose un bon équilibre entre le détail des personnages, des décors, et le développement des séquences d'action. Le découpage est chargé, on a jusqu'à 7 strips par planche ! On sent qu'il n'aurait pas déplu à Tirso d'avoir deux albums pour développer ses scènes de combat dans le style manga.
Le scénario se traine pendant deux albums - qui auraient du n'en faire qu'un demi, passe en mode de croisière au 3, puis s'emballe au 4, où on a droit à l'artifice de longs récitatifs où le scénariste s'efforce de régurgiter toutes les idées qu'il avait. Un des gros défauts est que les «méchants» sont peu différenciés, tant dans le scénar que dans le graphisme. Et je n'accepte pas l'excuse qu'il faille relire la série pour la comprendre, elle n'en vaut pas la peine.
Au final, Filippi ne semble plus intéressé par la prémisse qu'il avait si longuement trituré et laisse s'enfuir son méchant, d'ailleurs fort peu développé tout au long de l'histoire.
Bon, où donc se trouve la substantificque mouelle de cette série ?
Cote des albums 1-2-3-4-série : 6-4-3-5-4.
Une série difficile à noter, car les 4 albums sont très inégaux.
Le dessin, d'abord. Car c'est lui qui nous attire par les très belles couvertures des tomes 1 et 2. Tello réussit à créer une héroïne intéressante, tout n'est pas dans ses nichons ni dans des prouesses kungfuesques. Par contre, le monde crée est «terne», ayant peu d'attraits visuels différenciés (à comparer avec Le cycle de Cyan, ou chaque créature, chaque objet, chaque maison est une création remarquable). Les robots sont énormes, comme Appleseed. On se demande comment ils peuvent se mouvoir dans l'environnement humain sans tout exploser. Enfin, l'action reste statique.
Dans le 3ème tome illustré par Francisco Ruiz Velasco, le robot P'tit Tet redevient la traditionnelle boîte de conserve, comme dans le film I, Robot. Les décors se complexifient, mais, hélas, les personnages perdent tout leur charme. Et les couleurs pisseuses...
Le 4ème tome propose un bon équilibre entre le détail des personnages, des décors, et le développement des séquences d'action. Le découpage est chargé, on a jusqu'à 7 strips par planche ! On sent qu'il n'aurait pas déplu à Tirso d'avoir deux albums pour développer ses scènes de combat dans le style manga.
Le scénario se traine pendant deux albums - qui auraient du n'en faire qu'un demi, passe en mode de croisière au 3, puis s'emballe au 4, où on a droit à l'artifice de longs récitatifs où le scénariste s'efforce de régurgiter toutes les idées qu'il avait. Un des gros défauts est que les «méchants» sont peu différenciés, tant dans le scénar que dans le graphisme. Et je n'accepte pas l'excuse qu'il faille relire la série pour la comprendre, elle n'en vaut pas la peine.
Au final, Filippi ne semble plus intéressé par la prémisse qu'il avait si longuement trituré et laisse s'enfuir son méchant, d'ailleurs fort peu développé tout au long de l'histoire.
Bon, où donc se trouve la substantificque mouelle de cette série ?
Cote des albums 1-2-3-4-série : 6-4-3-5-4.