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Une quadrilogie intéressante mais qui fait désormais un peu daté, un peu vieillot (ou disons que ça a mal vieilli).
Le récit est lent, les dialogues sont très lourds et compliqués à suivre, les noms sont multiples et les protagonistes se ressemblent graphiquement, à tel point qu’il est difficile de les distinguer par moment.
Les données historiques sont néanmoins pertinentes et la documentation très riche. L’intrigue est techniquement complexe, alors que l’idée est simple : une jeune aristocrate qui a couché avec le mauvais garçon et qui est tombé enceinte, contrainte de se cacher chez les bonnes sœurs pour accoucher puis à qui l’amant, prenant peur, a menti sur la destinée de l’enfant (soi-disant mort, pourtant bien vivant).
Le reste n’est que succession de circonstances pour amener mère et enfant à se rejoindre.
Une narration plus simple et plus souple aurait aidé à la compréhension du récit : avoir mal à la tête en sortant d’une lecture n’est jamais bon signe…
Les décors et ambiances de Lax sont de grande qualité, on ressent la pauvreté et la crasse autant que l’opulence et le dédain. Un travail bien documenté, mais comme dit plus haut des soucis au niveau des personnages (trop de ressemblances).
Cothias a créé cette série en parallèle de son chef d’œuvre, Les Sept Vies de l'épervier. Il est au sommet de son art. Quant à Lax, il n'a pas son pareil pour croquer des trognes patibulaires (la palme pour l'inspecteur Lagrenouille, mais la nourrice n'est pas mal non plus!).
On est dans de la BD historique haut de gamme, agrémentée de dialogues très écrits. La narration, classique, alterne entre divers personnages, certains historiques et d'autres fictifs, mais on reste dans une histoire intimiste (et dramatique) destinée à éclairer la grande histoire. A noter que le dernier volume se termine en 1788; on aurait souhaité une suite pour connaître le devenir des protagonistes pendant la révolution!...
Dure, la vie du tiers-état à la veille de la Révolution...
Un scénario sans concession, qui semble pontifiant sur la critique sociale, mais c'est un mal nécessaire pour faire passer la pilule (très amère) du sort du héros.
Un des textes les plus durs sur la condition humaine qu'il nous est donné de lire. On comprend à quel point la société française était au pied du mur en 1787. La nature humaine y est exposé dans toute sa laideur; les rares perles de bonté sont inéluctablement broyées par le système de castes, des laquais obséquieux et des privilégiés hypocrites.
Le trait est superbe, les couleurs malheureusement un peu trop délavées. Mais ici le rôle du dessin est de supporter le propos du texte, sans l'embellir d'aucune façon.
Magistral.
Une quadrilogie intéressante mais qui fait désormais un peu daté, un peu vieillot (ou disons que ça a mal vieilli).
Le récit est lent, les dialogues sont très lourds et compliqués à suivre, les noms sont multiples et les protagonistes se ressemblent graphiquement, à tel point qu’il est difficile de les distinguer par moment.
Les données historiques sont néanmoins pertinentes et la documentation très riche. L’intrigue est techniquement complexe, alors que l’idée est simple : une jeune aristocrate qui a couché avec le mauvais garçon et qui est tombé enceinte, contrainte de se cacher chez les bonnes sœurs pour accoucher puis à qui l’amant, prenant peur, a menti sur la destinée de l’enfant (soi-disant mort, pourtant bien vivant).
Le reste n’est que succession de circonstances pour amener mère et enfant à se rejoindre.
Une narration plus simple et plus souple aurait aidé à la compréhension du récit : avoir mal à la tête en sortant d’une lecture n’est jamais bon signe…
Les décors et ambiances de Lax sont de grande qualité, on ressent la pauvreté et la crasse autant que l’opulence et le dédain. Un travail bien documenté, mais comme dit plus haut des soucis au niveau des personnages (trop de ressemblances).
Cothias a créé cette série en parallèle de son chef d’œuvre, Les Sept Vies de l'épervier. Il est au sommet de son art. Quant à Lax, il n'a pas son pareil pour croquer des trognes patibulaires (la palme pour l'inspecteur Lagrenouille, mais la nourrice n'est pas mal non plus!).
On est dans de la BD historique haut de gamme, agrémentée de dialogues très écrits. La narration, classique, alterne entre divers personnages, certains historiques et d'autres fictifs, mais on reste dans une histoire intimiste (et dramatique) destinée à éclairer la grande histoire. A noter que le dernier volume se termine en 1788; on aurait souhaité une suite pour connaître le devenir des protagonistes pendant la révolution!...
Indispensable pour les amateurs de BD historique.
Dure, la vie du tiers-état à la veille de la Révolution...
Un scénario sans concession, qui semble pontifiant sur la critique sociale, mais c'est un mal nécessaire pour faire passer la pilule (très amère) du sort du héros.
Un des textes les plus durs sur la condition humaine qu'il nous est donné de lire. On comprend à quel point la société française était au pied du mur en 1787. La nature humaine y est exposé dans toute sa laideur; les rares perles de bonté sont inéluctablement broyées par le système de castes, des laquais obséquieux et des privilégiés hypocrites.
Le trait est superbe, les couleurs malheureusement un peu trop délavées. Mais ici le rôle du dessin est de supporter le propos du texte, sans l'embellir d'aucune façon.
Magistral.