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Le concept de cette histoire est assez original avec ce rêve inversé qui semble concerné la même personne à deux époques différentes. Reste un lieu commun à travers cette ville de Markheim située en Europe de l'Est et vraisemblablement détruite au cours de la Seconde Guerre Mondiale sous un déluge de bombes.
Comme dit, ce récit m'a intrigué du fait de cette linéarité du temps qui semble être inversé. Cette vision du futur pour un jeune et bel homme dans la force de l'âge peut faire peur. C'est une prise de conscience que le temps avance et qu'il peut détruire tout ce qui nous entoure jusqu'à une ville.
C'est une belle métaphore qui trouvera bien entendu une explication finale. C'est doux-amère à la fois. Ce n'est pas forcément une lecture qui revigore.
Dans une ambiance graphique qui colle parfaitement au scénario (à moins qu'elle ne le porte à son extrémité), une histoire où laz nostalgie et les fantômes ont la part belle. Marcelé, dont l'originalité reste quand même ce qu'il a fait jusqu'à Mémoire de Chat, trouve ici un renouveau qu'il a également dans la nouvelle version de Macbeth. Le script de Rodolphe est impeccable et nous berce dans un demi-rêve nostalgique et ha,té par la mort qui prend aux tripes jusqu'au dénouement final (fatal).
Je viens de découvrir cet album très (trop !) confidentiel. Pourquoi la qualité est-elle si souvent cachée ?