Vous utilisez « Adblock » ou un autre logiciel qui bloque les zones publicitaires. Ces emplacements publicitaires sont une source de revenus indispensable à l'activité de notre site.
Depuis la création des site bdgest.com et bedetheque.com, nous nous sommes fait une règle de refuser tous les formats publicitaires dits "intrusifs". Notre conviction est qu'une publicité de qualité et bien intégrée dans le design du site sera beaucoup mieux perçue par nos visiteurs.
Pour continuer à apprécier notre contenu tout en gardant une bonne expérience de lecture, nous vous proposons soit :
de validez dans votre logiciel Adblock votre acceptation de la visibilité des publicités sur nos sites.
Depuis la barre des modules vous pouvez désactiver AdBlock pour les domaine "bdgest.com" et "bedetheque.com".
d'acquérir une licence BDGest.
En plus de vous permettre l'accès au logiciel BDGest\' Online pour gérer votre collection de bande dessinées, cette licence vous permet de naviguer sur le site sans aucune publicité.
Merci pour votre compréhension et soutien,
L'équipe BDGest
Les cookies sur Bedetheque.com :
Nous respectons votre vie privée, et n'utilisons que des cookies internes indispensables au fonctionnement du site.
En savoir plus Fermer
'Marie des Loups' nous plonge dans un univers mélangeant empire napoléonien, complot politique révolutionnaire, samouraï, costumes de clowns et lingerie érotique.
Autant le premier album pose les bases de l'histoire et introduit trois personnages avec un fil conducteur lisible, autant les deux albums suivants vont plonger dans les méandres du n'importe quoi jusqu'à cette fin improbable.
C'est très simple au fur et à mesure des pages le scénario va user de raccourcis divers et nous faire douter de la notion même de suspension d'incrédulité. C'est d'autant plus dommage puisque les couvertures de Penet sont superbes, les dessins sont par moment très bons et à d'autres instants semblent figés voire volontairement grotesques (par exemple le visage de Marie dans le volet 2 et 3).
Le scénario va accumuler donc les raccourcis/incohérences mais également précipiter les évènements (Marie qui est séduite par Frédéric en quelques pages, le combat entre les deux furies…). Passé le premier album, le style emprunte à Batman et aux comics sans vraiment crier gare, ce qui toutefois aurait pu marcher s'il y avait un peu d'ordre dans ce désordre.
Je ne mentionnerai pas la vulgarité gratuite, l'érotisme racoleur omniprésent, les anachronismes et les cadavres découpés au sabre. Le tout m'a finalement laissé une impression de gros gloubi-boulga teinté de rouge et noir, qui lorgne vers le nanar.
Un beau graphisme épuré et net, non sans rappeler Swolfs. On pourrait regretter les bouches qui parlent sans s'ouvrir, et les émotions minimalistes des visages. Les transitions de cadrage sont très linéaires de plan à plan, donnant un effet de travelling continuel; plus de coupures de plans donneraient du rebond à la trame visuelle.
Après une introduction passablement longue, le scénario commence à déjanter avec des séquences qui semblent hors de propos avec le cadre imaginé - supposé - du milieu XIXe siècle, entre Transylvanie et St-Petersbourg : combat Ninja, sous-vêtements Aubade, tournures de phrases résolument d'aujourd'hui. Peu de personnages apparaissent. Sommes-nous vraiment dans la réalité ?
Marie, avec ses 14 ans et ses hormones bouillonnantes, porte les protagonistes à commettre impair (un père ?) incestueux et débordements physiques; Elle semble peu crédible dans cette trame. Mais, après tout, la série porte son nom, et on devine bien que toute la suite va tourner autour d'elle.
La dernière planche a le mérite d'une chute qui donne envie de poursuivre la lecture.
Une couverture vraiment magnifique, dommage que le dessin à l'interieur ne soit pas de la même qualité ( mais sa reste agréable ), niveau histoire c'est un bon gros tome d'introduction avec présentation des 3 personnages important de l'histoire et notamment de la belle Marie qui prend une toute autre ampleur avec la derniere planche. C'est bien ficelé mais trop peu d'element sont donné dans ce premier tome.
Avis portant sur les trois tomes de cette série.
'Marie des Loups' nous plonge dans un univers mélangeant empire napoléonien, complot politique révolutionnaire, samouraï, costumes de clowns et lingerie érotique.
Autant le premier album pose les bases de l'histoire et introduit trois personnages avec un fil conducteur lisible, autant les deux albums suivants vont plonger dans les méandres du n'importe quoi jusqu'à cette fin improbable.
C'est très simple au fur et à mesure des pages le scénario va user de raccourcis divers et nous faire douter de la notion même de suspension d'incrédulité. C'est d'autant plus dommage puisque les couvertures de Penet sont superbes, les dessins sont par moment très bons et à d'autres instants semblent figés voire volontairement grotesques (par exemple le visage de Marie dans le volet 2 et 3).
Le scénario va accumuler donc les raccourcis/incohérences mais également précipiter les évènements (Marie qui est séduite par Frédéric en quelques pages, le combat entre les deux furies…). Passé le premier album, le style emprunte à Batman et aux comics sans vraiment crier gare, ce qui toutefois aurait pu marcher s'il y avait un peu d'ordre dans ce désordre.
Je ne mentionnerai pas la vulgarité gratuite, l'érotisme racoleur omniprésent, les anachronismes et les cadavres découpés au sabre. Le tout m'a finalement laissé une impression de gros gloubi-boulga teinté de rouge et noir, qui lorgne vers le nanar.
Un beau graphisme épuré et net, non sans rappeler Swolfs. On pourrait regretter les bouches qui parlent sans s'ouvrir, et les émotions minimalistes des visages. Les transitions de cadrage sont très linéaires de plan à plan, donnant un effet de travelling continuel; plus de coupures de plans donneraient du rebond à la trame visuelle.
Après une introduction passablement longue, le scénario commence à déjanter avec des séquences qui semblent hors de propos avec le cadre imaginé - supposé - du milieu XIXe siècle, entre Transylvanie et St-Petersbourg : combat Ninja, sous-vêtements Aubade, tournures de phrases résolument d'aujourd'hui. Peu de personnages apparaissent. Sommes-nous vraiment dans la réalité ?
Marie, avec ses 14 ans et ses hormones bouillonnantes, porte les protagonistes à commettre impair (un père ?) incestueux et débordements physiques; Elle semble peu crédible dans cette trame. Mais, après tout, la série porte son nom, et on devine bien que toute la suite va tourner autour d'elle.
La dernière planche a le mérite d'une chute qui donne envie de poursuivre la lecture.
Une couverture vraiment magnifique, dommage que le dessin à l'interieur ne soit pas de la même qualité ( mais sa reste agréable ), niveau histoire c'est un bon gros tome d'introduction avec présentation des 3 personnages important de l'histoire et notamment de la belle Marie qui prend une toute autre ampleur avec la derniere planche. C'est bien ficelé mais trop peu d'element sont donné dans ce premier tome.