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Ok, les premières cases sont assez sympas, ce type qui ne sait pas où il est, dialogue avec le scénariste, ça pose une ambiance étrange et amusante…
Et puis on entre dans des petites histoires de quelques pages…
En général, si elles ont un début et une fin, elles n’ont aucune tenue.
Un inspecteur erre entre questions et réflexions, on part dans des interrogatoires sans sens, on saute du coq à l’âne…
Le plus souvent, le propos de l’enquête est à peine esquissé et quasi pas résolu… On nage dans le nawak amusant, certes, mais c’est le nawak qui l’emporte…
Et personnellement, je m’y suis perdu, à chercher à quoi me rattacher pour comprendre quelque chose quand il n’y a rien à saisir…
Le dessin reste sympa, rond, bonhomme, agréable à suivre, mais insuffisant à colmater les manques de l’histoire…
J’ai eu du mal à aller au bout et si c’est plutôt joli à voir, ça présente un intérêt mineur…
Ok, les premières cases sont assez sympas, ce type qui ne sait pas où il est, dialogue avec le scénariste, ça pose une ambiance étrange et amusante…
Et puis on entre dans des petites histoires de quelques pages…
En général, si elles ont un début et une fin, elles n’ont aucune tenue.
Un inspecteur erre entre questions et réflexions, on part dans des interrogatoires sans sens, on saute du coq à l’âne…
Le plus souvent, le propos de l’enquête est à peine esquissé et quasi pas résolu… On nage dans le nawak amusant, certes, mais c’est le nawak qui l’emporte…
Et personnellement, je m’y suis perdu, à chercher à quoi me rattacher pour comprendre quelque chose quand il n’y a rien à saisir…
Le dessin reste sympa, rond, bonhomme, agréable à suivre, mais insuffisant à colmater les manques de l’histoire…
J’ai eu du mal à aller au bout et si c’est plutôt joli à voir, ça présente un intérêt mineur…
Relu quinze ans plus tard, la poésie demeure mais les manques de l'histoire sont plus flagrants. Le récit de Luna ne manque pas de finesse et de poésie, en effet, et cela donne un grand charme à ces historiettes de gentil looser qui s'habille comme Bogart, prétend vivre de ses enquêtes de détective privé mais cède souvent (et naïvement) devant des personnes qui lui expliquent simplement la difficulté de leur situation. Mais il manque plusieurs histoires pour compléter ce qui apparaît un peu trop court. On comprend bien que la "source de la nuit", qui ouvre le récit, est surtout un fantasme d'enquête, mais l'ensemble laisse un goût d'inachevé.
Le dessin de Prado fait merveille, il campe un monde un peu tordu (à l'image des immeubles façon tour de Pise) et poétique, loin de l'acidité qui caractérise la série des Chroniques absurdes. On se plaît à rêver d'un Prado ayant collaboré plus longuement avec Luna...
J’ai très rapidement déchanté.
Ok, les premières cases sont assez sympas, ce type qui ne sait pas où il est, dialogue avec le scénariste, ça pose une ambiance étrange et amusante…
Et puis on entre dans des petites histoires de quelques pages…
En général, si elles ont un début et une fin, elles n’ont aucune tenue.
Un inspecteur erre entre questions et réflexions, on part dans des interrogatoires sans sens, on saute du coq à l’âne…
Le plus souvent, le propos de l’enquête est à peine esquissé et quasi pas résolu… On nage dans le nawak amusant, certes, mais c’est le nawak qui l’emporte…
Et personnellement, je m’y suis perdu, à chercher à quoi me rattacher pour comprendre quelque chose quand il n’y a rien à saisir…
Le dessin reste sympa, rond, bonhomme, agréable à suivre, mais insuffisant à colmater les manques de l’histoire…
J’ai eu du mal à aller au bout et si c’est plutôt joli à voir, ça présente un intérêt mineur…
J’ai très rapidement déchanté.
Ok, les premières cases sont assez sympas, ce type qui ne sait pas où il est, dialogue avec le scénariste, ça pose une ambiance étrange et amusante…
Et puis on entre dans des petites histoires de quelques pages…
En général, si elles ont un début et une fin, elles n’ont aucune tenue.
Un inspecteur erre entre questions et réflexions, on part dans des interrogatoires sans sens, on saute du coq à l’âne…
Le plus souvent, le propos de l’enquête est à peine esquissé et quasi pas résolu… On nage dans le nawak amusant, certes, mais c’est le nawak qui l’emporte…
Et personnellement, je m’y suis perdu, à chercher à quoi me rattacher pour comprendre quelque chose quand il n’y a rien à saisir…
Le dessin reste sympa, rond, bonhomme, agréable à suivre, mais insuffisant à colmater les manques de l’histoire…
J’ai eu du mal à aller au bout et si c’est plutôt joli à voir, ça présente un intérêt mineur…
Relu quinze ans plus tard, la poésie demeure mais les manques de l'histoire sont plus flagrants. Le récit de Luna ne manque pas de finesse et de poésie, en effet, et cela donne un grand charme à ces historiettes de gentil looser qui s'habille comme Bogart, prétend vivre de ses enquêtes de détective privé mais cède souvent (et naïvement) devant des personnes qui lui expliquent simplement la difficulté de leur situation. Mais il manque plusieurs histoires pour compléter ce qui apparaît un peu trop court. On comprend bien que la "source de la nuit", qui ouvre le récit, est surtout un fantasme d'enquête, mais l'ensemble laisse un goût d'inachevé.
Le dessin de Prado fait merveille, il campe un monde un peu tordu (à l'image des immeubles façon tour de Pise) et poétique, loin de l'acidité qui caractérise la série des Chroniques absurdes. On se plaît à rêver d'un Prado ayant collaboré plus longuement avec Luna...