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Le mangeur d'histoires est un récit réellement original qui semble confondre la fiction d'un roman avec la réalité d'un Paris fin XIXème siècle. Je n'avais jamais lu quelque chose de semblable où un personnage sort d'un roman pour venir dans le monde réel motivé par l'ambition. C'est déjà un bon point.
J'ai été également un peu surpris par le format de ce one-shot que je ne trouve pas forcément adapté à ce type d'histoire. Par ailleurs, le dénouement ne m'a pas autant charmé que le début de cette histoire mi-fantastique.
Le mangeur d'histoire est également un véritable hommage aux feuilletons policiers d'antan. Il y a un véritable suspens pour découvrir l'identité de l'auteur du roman et du meurtrier qui sévit.
"Le mangeur d'histoire" est construit comme un vieux feuilleton écrit d'antan, où le protagoniste du roman : Le Corbeau sort de son monde pour influer sur celui des hommes. Son but : ne pas être oublié et changer sa perception auprès du lecteur.
Le scénario nous entraîne jusqu'au bout dans une course folle dont le rythme prend de l'ampleur au fil des pages et jusqu'à la révélation finale.
Les dessins francs et les couleurs tranchées sont adoucis par le crayonné de l'auteur, pour un rendu plus que réussi.
Une très bonne surprise de la rentrée dont la fond et la forme plongent dans un autre temps pour suivre une aventure fantastique.
Pardon pour l'erreur de manip', je termine donc mon topo.
Follement original disais-je avec de multiples référents divers. Que ce soit avec Homère (Saint Illiède s'il vous plaît) ou encore Fortuné du Boisgobey (auteur de romans populaires très célèbre à l'époque) ou même encore de Robert Wiene, le réalisateur du fameux -ety fabuleux Dr Caligari.
Bref, il y a de quoi s'amuser un bon moment.
Dommage que le dénouement, original tout de même, ne soit pas à la hauteur du reste du volume, nous eussions alors tenu un pur chef d'oeuvre.
Un personnage de roman vient dans le monde réel pour faire en sorte de devenir un personnage de référence, un "méchant" inoubliable de façon à rester dans les esprits pour l'éternité. C'est le début d'aventures suréalistes dans un Paris fantasmé du XIXème siècle, mais un XIXème qui tirerait autant de la IIIème république que du chevalier Dupin ou de Rocambole.
Le mangeur d'histoires est un récit réellement original qui semble confondre la fiction d'un roman avec la réalité d'un Paris fin XIXème siècle. Je n'avais jamais lu quelque chose de semblable où un personnage sort d'un roman pour venir dans le monde réel motivé par l'ambition. C'est déjà un bon point.
J'ai été également un peu surpris par le format de ce one-shot que je ne trouve pas forcément adapté à ce type d'histoire. Par ailleurs, le dénouement ne m'a pas autant charmé que le début de cette histoire mi-fantastique.
Le mangeur d'histoire est également un véritable hommage aux feuilletons policiers d'antan. Il y a un véritable suspens pour découvrir l'identité de l'auteur du roman et du meurtrier qui sévit.
"Le mangeur d'histoire" est construit comme un vieux feuilleton écrit d'antan, où le protagoniste du roman : Le Corbeau sort de son monde pour influer sur celui des hommes. Son but : ne pas être oublié et changer sa perception auprès du lecteur.
Le scénario nous entraîne jusqu'au bout dans une course folle dont le rythme prend de l'ampleur au fil des pages et jusqu'à la révélation finale.
Les dessins francs et les couleurs tranchées sont adoucis par le crayonné de l'auteur, pour un rendu plus que réussi.
Une très bonne surprise de la rentrée dont la fond et la forme plongent dans un autre temps pour suivre une aventure fantastique.
Pardon pour l'erreur de manip', je termine donc mon topo.
Follement original disais-je avec de multiples référents divers. Que ce soit avec Homère (Saint Illiède s'il vous plaît) ou encore Fortuné du Boisgobey (auteur de romans populaires très célèbre à l'époque) ou même encore de Robert Wiene, le réalisateur du fameux -ety fabuleux Dr Caligari.
Bref, il y a de quoi s'amuser un bon moment.
Dommage que le dénouement, original tout de même, ne soit pas à la hauteur du reste du volume, nous eussions alors tenu un pur chef d'oeuvre.
Un personnage de roman vient dans le monde réel pour faire en sorte de devenir un personnage de référence, un "méchant" inoubliable de façon à rester dans les esprits pour l'éternité. C'est le début d'aventures suréalistes dans un Paris fantasmé du XIXème siècle, mais un XIXème qui tirerait autant de la IIIème république que du chevalier Dupin ou de Rocambole.
Follement original, a