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"Il arrive parfois que le temps s'oppose aux joyeuses retrouvailles longuement savourées à l'avance."
Attention : chef-d’œuvre!
D'aussi longtemps que je me souvienne, j'ai toujours été fasciné par les histoires qui ont un lien avec le temps. Voyages temporels, univers parallèles, chronologies, arbres familiaux...
Il n'est alors pas étonnant que le cinquième tome de la Malédiction des sept boules vertes ait toujours été l'un de mes deux préférés dans la série. Je ne saurais dire si je préfère le premier ou celui-ci, mais ce sont décidément les deux meilleurs. Celui qui ouvre et celui qui clôt, le début et la fin, deux monuments de l’œuvre de Laurent Parcelier. D'accord, je ne suis pas aussi objectif que je le suis avec d'autres BD quant à cette série, mais je dis quand même ceci en toute franchise : elle devrait être lue au moins une fois par quiconque se dit amateur de bandes dessinées.
L'araignée a tissé sa toile, et l'harmonie de son ensemble se dévoile enfin. Le cinquième tome relie tous les éléments des précédents qui poussent Guilio vers sa dernière destination : la salle du temps. À peu près tout ce que vous avez vu dans les albums précédents passe ici en rafale.
Mais Guilio ne vieillit plus, tandis que le monde autour de lui continue sa course. Combien d'années passera-t-il avant que Guilio tombe sur les médaillons dont il a besoin?
Tandis que le premier fait rêver par sa quête de l'inconnu, le dernier fait rêver par son temps qui coule pour tous sauf un.
Il est inutile de préciser que Parcelier nous offre une fois de plus des décors à couper le souffle, même si, parfois, j'ai l'impression d'y retrouver un peu moins de finesse que dans les albums précédents.
Seule ombre au tableau : l'histoire ne se termine pas vraiment. Même si ces cinq volumes sont censés former une histoire entière, le résultat final n'est pas révélé. Il faudra lire l'album "hors-série", Le lutin farceur, pour découvrir les derniers joyaux que peut offrir cette série. Les éditions Paquet n'ont d'ailleurs jamais republié Le lutin farceur, ce qui signifie qu'il vous faudra partir à la recherche de l'édition Casterman, assez rare, semble-t-il, pour le lire.
Autre petit détail : cette fameuse bouteille à la tête de diable n'a jamais été expliquée. Que représentait-elle, finalement? Mystère...
Si l'aventure avait commencé de manière enchantée au premier tome, elle se termine de façon prodigieuse au dernier. C'est grâce à ces deux tomes que, d'année en année, je relis cette série que j'affectionne particulièrement.
"Il arrive parfois que le temps s'oppose aux joyeuses retrouvailles longuement savourées à l'avance."
Attention : chef-d’œuvre!
D'aussi longtemps que je me souvienne, j'ai toujours été fasciné par les histoires qui ont un lien avec le temps. Voyages temporels, univers parallèles, chronologies, arbres familiaux...
Il n'est alors pas étonnant que le cinquième tome de la Malédiction des sept boules vertes ait toujours été l'un de mes deux préférés dans la série. Je ne saurais dire si je préfère le premier ou celui-ci, mais ce sont décidément les deux meilleurs. Celui qui ouvre et celui qui clôt, le début et la fin, deux monuments de l’œuvre de Laurent Parcelier. D'accord, je ne suis pas aussi objectif que je le suis avec d'autres BD quant à cette série, mais je dis quand même ceci en toute franchise : elle devrait être lue au moins une fois par quiconque se dit amateur de bandes dessinées.
L'araignée a tissé sa toile, et l'harmonie de son ensemble se dévoile enfin. Le cinquième tome relie tous les éléments des précédents qui poussent Guilio vers sa dernière destination : la salle du temps. À peu près tout ce que vous avez vu dans les albums précédents passe ici en rafale.
Mais Guilio ne vieillit plus, tandis que le monde autour de lui continue sa course. Combien d'années passera-t-il avant que Guilio tombe sur les médaillons dont il a besoin?
Tandis que le premier fait rêver par sa quête de l'inconnu, le dernier fait rêver par son temps qui coule pour tous sauf un.
Il est inutile de préciser que Parcelier nous offre une fois de plus des décors à couper le souffle, même si, parfois, j'ai l'impression d'y retrouver un peu moins de finesse que dans les albums précédents.
Seule ombre au tableau : l'histoire ne se termine pas vraiment. Même si ces cinq volumes sont censés former une histoire entière, le résultat final n'est pas révélé. Il faudra lire l'album "hors-série", Le lutin farceur, pour découvrir les derniers joyaux que peut offrir cette série. Les éditions Paquet n'ont d'ailleurs jamais republié Le lutin farceur, ce qui signifie qu'il vous faudra partir à la recherche de l'édition Casterman, assez rare, semble-t-il, pour le lire.
Autre petit détail : cette fameuse bouteille à la tête de diable n'a jamais été expliquée. Que représentait-elle, finalement? Mystère...
Si l'aventure avait commencé de manière enchantée au premier tome, elle se termine de façon prodigieuse au dernier. C'est grâce à ces deux tomes que, d'année en année, je relis cette série que j'affectionne particulièrement.
Sublime.
Le tout premier par lequel j'ai découvert la mythique série des Parceliers !
J'ai créé un groupe Facebook pour rassembler les fans et faciliter les recherches/échanges :
"Guilio, La Malédiction des 7 Boules Vertes : Merci Laurent Parcelier !"
http://www.facebook.com/profile.php?id=589224681#/group.php?gid=8006826321
Au plaisir de vous y voir !
Matthieu