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"Le voilà reparti, sacré petit Guilio! Qu'est-ce qui te pousse ainsi en avant, finalement?"
En effet, on se le demande. Cet album est, selon moi, le moins bon de toute la série.
Premièrement, Guilio n'est pas crédible. Il demeure incrédule quant aux pouvoirs des boules vertes, même si celles-ci lui ont sauvé la vie à maintes reprises auparavant, et même s'il a déjà lui-même dit que parfois il se sentait attiré par elles, parfois repoussé. Mais ici, "fadaises que tout cela!" Ah, bon?
Ensuite, le personnage d'Hérion est ultimement décevant. L'auteur se sert de lui et finit par s'en débarrasser de manière beaucoup trop rapide. Un pétard mouillé.
L'humour présent dans cet album est aussi insipide. Tout d'un coup, le mot préféré de Guilio devient "cochonnerie"! Une autre fois, un peu ivres, nos héros n'ont plus peur de rien. Très drôle. Mais pas besoin d'être saouls pour être téméraires, ils foncent souvent tête baissée vers le danger sans réfléchir, ce qui nous donne l'amère impression que les personnages font n'importe quoi.
Ce qu'il nous reste, ce sont les beaux paysages de Parcelier. Côté histoire, la seule facette intéressante, ce sont les effets des boules vertes auxquels certains personnages tentent de résister.
Il demeure que, si vous voulez lire la fin de l'histoire (et vous devriez!), il serait préférable que vous passiez par cet album. Dommage.
"Le voilà reparti, sacré petit Guilio! Qu'est-ce qui te pousse ainsi en avant, finalement?"
En effet, on se le demande. Cet album est, selon moi, le moins bon de toute la série.
Premièrement, Guilio n'est pas crédible. Il demeure incrédule quant aux pouvoirs des boules vertes, même si celles-ci lui ont sauvé la vie à maintes reprises auparavant, et même s'il a déjà lui-même dit que parfois il se sentait attiré par elles, parfois repoussé. Mais ici, "fadaises que tout cela!" Ah, bon?
Ensuite, le personnage d'Hérion est ultimement décevant. L'auteur se sert de lui et finit par s'en débarrasser de manière beaucoup trop rapide. Un pétard mouillé.
L'humour présent dans cet album est aussi insipide. Tout d'un coup, le mot préféré de Guilio devient "cochonnerie"! Une autre fois, un peu ivres, nos héros n'ont plus peur de rien. Très drôle. Mais pas besoin d'être saouls pour être téméraires, ils foncent souvent tête baissée vers le danger sans réfléchir, ce qui nous donne l'amère impression que les personnages font n'importe quoi.
Ce qu'il nous reste, ce sont les beaux paysages de Parcelier. Côté histoire, la seule facette intéressante, ce sont les effets des boules vertes auxquels certains personnages tentent de résister.
Il demeure que, si vous voulez lire la fin de l'histoire (et vous devriez!), il serait préférable que vous passiez par cet album. Dommage.