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"Le peuple crève de faim alors qu'au palais, une cour stupide et décadente se vautre dans un luxe insensé! Vive la révolution!"
Après un deuxième tome qui se termine bien, nos amis se retrouvent bien malgré eux dans des péripéties qui les mèneront de nouveau aux boules vertes.
Le troisième album des Boules vertes commence assez mollement. Comme tout va bien, l'auteur donne une excuse banale aux personnages (une expérience magique) pour qu'ils se retrouvent dans la grande ville d'Ondoria. Une fois arrivés en ville, c'est là que l'histoire trouve son souffle.
Une révolution fomente et une véritable histoire d'infiltration et d'évasion nous est présentée. Il est excitant de voir Guilio se faufiler dans le palais et lentement préparer son coup.
Ce tome n'est certainement pas mon préféré, mais la seconde moitié de l'album demeure absorbante.
Il y a également un problème de cohérence que j'ai relevé dans cet album. Ozgur, en tentant de quitter son paradis par les grottes, dit : "Surtout avec cet océan en furie."
Or, souvenez-vous qu'à la fin du premier album, ni lui ni Guilio n'avaient déjà vu l'océan, ils ne savaient même pas comment le nommer! Guilio appelle l'océan "un vaste étang", et Ozgur ne peut pas croire qu'un étang soit si gros. Comment peut-il alors connaître ce mot, alors qu'il n'a jamais vu personne depuis Guilio? Guilio lui aussi emploie ce mot dans cet album, mais on peut plus facilement l'expliquer grâce à son contact au monde extérieur, dont Odi, qui aurait pu le lui apprendre.
Bref, c'est un détail qui ne manque pas de m'accrocher chaque fois que je le lis. Comment l'auteur ou l'éditeur ont-ils pu ne pas remarquer quelque chose d'aussi évident?
Malgré tout, cela reste tout de même un très bon album qui mérite d'être lu si vous avez aimé les deux premiers.
Pas emballé par cette quette semi héroïque et semi fantastique. J'ai trouvé ça niais, et le graphisme n'améliore pas les choses.
"Le peuple crève de faim alors qu'au palais, une cour stupide et décadente se vautre dans un luxe insensé! Vive la révolution!"
Après un deuxième tome qui se termine bien, nos amis se retrouvent bien malgré eux dans des péripéties qui les mèneront de nouveau aux boules vertes.
Le troisième album des Boules vertes commence assez mollement. Comme tout va bien, l'auteur donne une excuse banale aux personnages (une expérience magique) pour qu'ils se retrouvent dans la grande ville d'Ondoria. Une fois arrivés en ville, c'est là que l'histoire trouve son souffle.
Une révolution fomente et une véritable histoire d'infiltration et d'évasion nous est présentée. Il est excitant de voir Guilio se faufiler dans le palais et lentement préparer son coup.
Ce tome n'est certainement pas mon préféré, mais la seconde moitié de l'album demeure absorbante.
Il y a également un problème de cohérence que j'ai relevé dans cet album. Ozgur, en tentant de quitter son paradis par les grottes, dit : "Surtout avec cet océan en furie."
Or, souvenez-vous qu'à la fin du premier album, ni lui ni Guilio n'avaient déjà vu l'océan, ils ne savaient même pas comment le nommer! Guilio appelle l'océan "un vaste étang", et Ozgur ne peut pas croire qu'un étang soit si gros. Comment peut-il alors connaître ce mot, alors qu'il n'a jamais vu personne depuis Guilio? Guilio lui aussi emploie ce mot dans cet album, mais on peut plus facilement l'expliquer grâce à son contact au monde extérieur, dont Odi, qui aurait pu le lui apprendre.
Bref, c'est un détail qui ne manque pas de m'accrocher chaque fois que je le lis. Comment l'auteur ou l'éditeur ont-ils pu ne pas remarquer quelque chose d'aussi évident?
Malgré tout, cela reste tout de même un très bon album qui mérite d'être lu si vous avez aimé les deux premiers.