Vous utilisez « Adblock » ou un autre logiciel qui bloque les zones publicitaires. Ces emplacements publicitaires sont une source de revenus indispensable à l'activité de notre site.
Depuis la création des site bdgest.com et bedetheque.com, nous nous sommes fait une règle de refuser tous les formats publicitaires dits "intrusifs". Notre conviction est qu'une publicité de qualité et bien intégrée dans le design du site sera beaucoup mieux perçue par nos visiteurs.
Pour continuer à apprécier notre contenu tout en gardant une bonne expérience de lecture, nous vous proposons soit :
de validez dans votre logiciel Adblock votre acceptation de la visibilité des publicités sur nos sites.
Depuis la barre des modules vous pouvez désactiver AdBlock pour les domaine "bdgest.com" et "bedetheque.com".
d'acquérir une licence BDGest.
En plus de vous permettre l'accès au logiciel BDGest\' Online pour gérer votre collection de bande dessinées, cette licence vous permet de naviguer sur le site sans aucune publicité.
Merci pour votre compréhension et soutien,
L'équipe BDGest
Les cookies sur Bedetheque.com :
Nous respectons votre vie privée, et n'utilisons que des cookies internes indispensables au fonctionnement du site.
En savoir plus Fermer
"On croit souvent connaître les gens, les choses... Et, en fait, on ne sait rien..."
Ah, le Lutin farceur... ce livre hors-série qui vient répondre à la question qui nous laisse sur notre faim à la fin de la série principale... Que se cache-t-il à l'intérieur de cette salle du temps?
L'idée, à la base, est géniale. Guilio va revivre une partie de son destin deux fois, en même temps. Une histoire se lit sur la page de gauche, l'autre se lit sur la page de droite. Peut-on échapper à son destin, même en tentant de revivre sa vie différemment?
Malheureusement, plusieurs choses déçoivent dans cet album.
1) Les dessins sont plus brouillons, dessinés on dirait hâtivement. On ne trouve plus les détails auxquels Parcelier nous avait habitués. De plus, les couleurs débordent de partout, ça dépasse tout le temps. Ça aurait mérité le recoloriage de Samuel Épié qui s'était chargé des couleurs pour les éditions Paquet. Par contre, comme je me suis habitué aux albums des éditions Paquet, il se peut que la différence soit désormais plus marquante pour moi en lisant cet album. Il serait peut-être plus juste de le comparer aux autres éditions originales.
2) Les fautes de grammaire. Déjà que les albums précédents n'en étaient pas exempts; ici, certaines font mal aux yeux.
3) Si l'idée d'histoires similaires, mais contrastées est bonne (par exemple, dans l'histoire de gauche Guilio s'enfuit de quelqu'un, dans la droite il court après quelqu'un), les 'deus ex machina' nuisent à l'histoire. Par exemple, un toboggan géant pour descendre en bas d'une tour. (!!!)
Jeune, le Lutin farceur était certainement l'un de mes préférés. Mais adulte, je trouve qu'il tient difficilement la route. C'est dommage, parce que l'idée de base, comme je l'ai dit, est franchement superbe. Cette idée aurait dû être un peu mieux développée pour en faire une véritable pépite.
Quoi qu'il en soit, cela demeure quand même une agréable lecture, même si elle s'avère moins éclatante que prévu.
"On croit souvent connaître les gens, les choses... Et, en fait, on ne sait rien..."
Ah, le Lutin farceur... ce livre hors-série qui vient répondre à la question qui nous laisse sur notre faim à la fin de la série principale... Que se cache-t-il à l'intérieur de cette salle du temps?
L'idée, à la base, est géniale. Guilio va revivre une partie de son destin deux fois, en même temps. Une histoire se lit sur la page de gauche, l'autre se lit sur la page de droite. Peut-on échapper à son destin, même en tentant de revivre sa vie différemment?
Malheureusement, plusieurs choses déçoivent dans cet album.
1) Les dessins sont plus brouillons, dessinés on dirait hâtivement. On ne trouve plus les détails auxquels Parcelier nous avait habitués. De plus, les couleurs débordent de partout, ça dépasse tout le temps. Ça aurait mérité le recoloriage de Samuel Épié qui s'était chargé des couleurs pour les éditions Paquet. Par contre, comme je me suis habitué aux albums des éditions Paquet, il se peut que la différence soit désormais plus marquante pour moi en lisant cet album. Il serait peut-être plus juste de le comparer aux autres éditions originales.
2) Les fautes de grammaire. Déjà que les albums précédents n'en étaient pas exempts; ici, certaines font mal aux yeux.
3) Si l'idée d'histoires similaires, mais contrastées est bonne (par exemple, dans l'histoire de gauche Guilio s'enfuit de quelqu'un, dans la droite il court après quelqu'un), les 'deus ex machina' nuisent à l'histoire. Par exemple, un toboggan géant pour descendre en bas d'une tour. (!!!)
Jeune, le Lutin farceur était certainement l'un de mes préférés. Mais adulte, je trouve qu'il tient difficilement la route. C'est dommage, parce que l'idée de base, comme je l'ai dit, est franchement superbe. Cette idée aurait dû être un peu mieux développée pour en faire une véritable pépite.
Quoi qu'il en soit, cela demeure quand même une agréable lecture, même si elle s'avère moins éclatante que prévu.
A mon sens la plus excellente de toutes les BD de Parceliers.
Les couleurs sont fascinantes, les mondes est absorbant.
C'est ma BD cultissime.
J'ai créé un groupe Facebook pour rassembler les fans et faciliter les recherches/échanges :
"Guilio, La Malédiction des 7 Boules Vertes : Merci Laurent Parcelier !"
http://www.facebook.com/profile.php?id=589224681#/group.php?gid=8006826321
Au plaisir de vous y voir !
Matthieu