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Je suis plutôt dans la catégorie du public visée par cette collection le meilleur du droit. C'est écrit par une avocate junior qui nous fait part de son expérience dans le métier d'avocat. Il faut dire que ces derniers mois, je me suis tapé les sept saisons de Suits, avocat d'affaire sur Netflix avec la célèbre Megan Markle qui a épousé un prince charmant. Bref, tout cela pour dire que je suis dans le bain.
Je vais commencé par dire que je ne suis pas très content d'une faute de frappe concernant le doit au lieu du droit dans la préface signée par la directrice de cette collection. Par pitié, lorsqu'il s'agit d'un ouvrage qui va être édité en des milliers d'exemplaires à l'attention du public moyennant un prix d'achat de 17,95€, ce genre de faute ne pardonne pas et décrédibilise l'ensemble. Pour autant, je maintiens ma note à 4 étoiles car j'ai bien aimé dans l'ensemble.
A noter que je ne suis pas rancunier et plutôt indulgent de nature. On pourrait me rétorquer que je fais également des fautes de frappe quand je tape mes avis sur ce présent site. Certes, c'est vrai mais il ne faut pas payer pour me lire et c'est sans doute là toute la différence. Ce qui n'excuse pas mes fautes. A noter également un renvoi systématique à un glossaire situé en fin d'ouvrage sauf que certains mots ont été tout simplement oublié au niveau de la définition ce qui n'est pas très pratique. A croire que personne ne relit avant la publication pour éviter ce genre de couac.
Sur le fond de la BD, le titre est bien entendu une ironie car c'est loin d'être un métier de rêve. Il faut travailler beaucoup et donner ses soirées à son employeur qui en profite pour aller au théâtre ou à l'opéra pendant que l'avocat junior travaille pour un salaire approchant généralement le SMIC. Oui, un simple ouvrier (sans vouloir dénigrer cette honorable profession) est nettement mieux payé qu'un avocat. Je ne peux qu'approuver ce qu'indique l'auteur dans de nombreuses pages car j'ai vécu moi-même cette expérience du déclassement professionnel dans ce milieu juridique.
J'ai bien aimé cette Charlotte qui débarque dans ce cabinet après avoir obtenue son diplôme. C'est assez instructif sur ce métier que j'ai moi-même renoncé de faire. J'avoue qu'après cette lecture, je ne regrette pas mon choix. Elle va rencontrer la pression du chiffre et une vie personnelle chaotique. Oui, ce monde est assez particulier dans une France qui travaille et qui fait des efforts.
Une œuvre plutôt drôle avec un coté pédagogique et qui constitue un bon témoignage pour prévenir les futurs étudiants en droit.
Je suis plutôt dans la catégorie du public visée par cette collection le meilleur du droit. C'est écrit par une avocate junior qui nous fait part de son expérience dans le métier d'avocat. Il faut dire que ces derniers mois, je me suis tapé les sept saisons de Suits, avocat d'affaire sur Netflix avec la célèbre Megan Markle qui a épousé un prince charmant. Bref, tout cela pour dire que je suis dans le bain.
Je vais commencé par dire que je ne suis pas très content d'une faute de frappe concernant le doit au lieu du droit dans la préface signée par la directrice de cette collection. Par pitié, lorsqu'il s'agit d'un ouvrage qui va être édité en des milliers d'exemplaires à l'attention du public moyennant un prix d'achat de 17,95€, ce genre de faute ne pardonne pas et décrédibilise l'ensemble. Pour autant, je maintiens ma note à 4 étoiles car j'ai bien aimé dans l'ensemble.
A noter que je ne suis pas rancunier et plutôt indulgent de nature. On pourrait me rétorquer que je fais également des fautes de frappe quand je tape mes avis sur ce présent site. Certes, c'est vrai mais il ne faut pas payer pour me lire et c'est sans doute là toute la différence. Ce qui n'excuse pas mes fautes. A noter également un renvoi systématique à un glossaire situé en fin d'ouvrage sauf que certains mots ont été tout simplement oublié au niveau de la définition ce qui n'est pas très pratique. A croire que personne ne relit avant la publication pour éviter ce genre de couac.
Sur le fond de la BD, le titre est bien entendu une ironie car c'est loin d'être un métier de rêve. Il faut travailler beaucoup et donner ses soirées à son employeur qui en profite pour aller au théâtre ou à l'opéra pendant que l'avocat junior travaille pour un salaire approchant généralement le SMIC. Oui, un simple ouvrier (sans vouloir dénigrer cette honorable profession) est nettement mieux payé qu'un avocat. Je ne peux qu'approuver ce qu'indique l'auteur dans de nombreuses pages car j'ai vécu moi-même cette expérience du déclassement professionnel dans ce milieu juridique.
J'ai bien aimé cette Charlotte qui débarque dans ce cabinet après avoir obtenue son diplôme. C'est assez instructif sur ce métier que j'ai moi-même renoncé de faire. J'avoue qu'après cette lecture, je ne regrette pas mon choix. Elle va rencontrer la pression du chiffre et une vie personnelle chaotique. Oui, ce monde est assez particulier dans une France qui travaille et qui fait des efforts.
Une œuvre plutôt drôle avec un coté pédagogique et qui constitue un bon témoignage pour prévenir les futurs étudiants en droit.