Lueur de nuit
Une BD de Olivier Boiscommun chez Glénat - 2013
10/2013 (09 octobre 2013) 55 pages 9782723492720 Grand format 196831
Un conte fantastique, tendre et merveilleux Trois jeunes orphelins, Martin, Gabrielle et Émile, poursuivis pour avoir dérobé une miche de pain, trouvent refuge dans une mystérieuse et sordide abbaye. Bloqués à lintérieur, ils découvrent un autre enfant, seul et visiblement traumatisé. Ce dernier tient dans sa main une chandelle qui, quand il lallume, fait apparaître les silhouettes de ses parents décédés et provoque détranges phénomènes Avec Lueur de nuit, Olivier Boiscommun revient à son genre de prédilection et signe probablement lun de ses... Lire la suite
Une excellente introduction et une belle fin. Cependant, entre les deux, une aventure ésotérique pas très convaincante avec des dialogues plutôt assommants dans le genre argot fin XIXème siècle.
Par ailleurs, le choix de la calligraphie ne s'est pas révélé très judicieux. Les couleurs directs sont par contre plutôt magnifiques. On est comme emporté dans un rêve qui se transforme parfois en cauchemar. Cela reste un conte qui emprunte à la littérature classique en commençant par Oliver Twist. La structure de la narration restera assez linéaire. Il n'y aura malheureusement pas de grandes surprises à l'horizon.
Magie, mystère et poésie: un vrai cocktail qui a bien failli prendre. Le thème reste la disparition des parents ce qui entraînent parfois de bien lourds traumatismes chez l'enfant.
A la fin de la lecture on se trouve perdu , dans l'expectative , lez scenario , la fin , tout est bizarre , seul les dessins sont parfaits , à lire pour essayer de dedouvrir le fond de l'histoire
Libre à chacun, je pense, d’imaginer ce que nous sert cette histoire. L’abandon, les fausses certitudes, l’espoir… J’avoue ne pas pouvoir très bien cerner ce que l’auteur a voulu exprimer.
Comme dans « La cité de l’Arche », les dessins sont magnifiques mais je n’ai pas vraiment pu accrocher. Peut-être parce que je n’ai pas compris… tout simplement.
Le titre de cet album laisse rêveur ou plutôt songeur comme la toute fin de l'histoire, si il en est une, d'ailleurs. Mais hélas, le contenu n'a pas répondu à mes attentes...Même si la couverture et les toutes premières planches semblent porter en émotion et préparer le terrain pour une histoire 'gorgée' de mystère, cela m'a semblé long comme démarrage au bout de 47 pages (il y en a 57 je ne me trompe). En effet, bien que l'emploi des expressions populaires françaises du (des) siècle(s) dernier(s) soit sympatique au début, j'ai trouvé qu'elles n'avantageaient pas la lecture et le récit tout comme certaines scènes qui me semblent tirées en longueur sans révélation majeure ni mineure d'ailleurs. Il ne se passe rien d'intéressant en fait avant la toute fin qui cela dit en passant est intelligente...Le lecteur est libre d'imaginer le contexte, l'environnement extérieur, le(la) monde en lui(elle)-même mais à ce prix là, mieux vaut acheter un livre non illustré et laisser le libre arbitre au lecteur de construire toutes les images de l'histoire à venir.