Lucky Luke
44. La guérison des Dalton
Une BD de René Goscinny et Morris chez Dargaud - 1975
07/1975 44 pages 2205009206 Format normal 15 à 20 euros 5976
Prépublication dans Tintin (1 à 13) en 1975 et dans Le nouvel observateur. Le professeur Otto Von Himbeergest, célèbre psychanalyste européen, désire mettre en pratique ses théories sur les bandits les plus notoires de l’Ouest américain : guérir les criminels en fouillant dans leur passé. Naturellement, les Dalton seront les cobayes tout désignés pour cette expérience, sous la surveillance de Lucky Luke. Otto Von Himbeergest trouvera dans cette aventure sa véritable vocation : mettre son cerveau et sa science au service du crime. Mais ironie du... Lire la suite
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HS05 -
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HS07TT -
HS08 -
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HS10 -
PF -
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Poche1 -
Poche2
Le dernier grand LUCKY LUKE de la série. Les dessins de Morris sont magistraux et Goscinny s'en donne à cœur joie pour caricaturer les psy et la psychanalyse, tout en développant une histoire solide avec une bonne intrigue. Les Dalton sont impayables, Rantanplan idem, et le personnage du doc est très réussi et constitue l'un des "méchants" les plus originaux de la série.
Mes passages préférés : tous ceux où LL apprend à ses dépends qu'il ne faut jamais traiter un psy de fou !
"Ne me traitez plus jamais de fou ! Je suis le seul à savoir qui est fou et qui n'est pas fou ici !" ... Ha ha ha ! J'en rigole encore !
Du grand scénario et le dessin au sommet!
Racontez-moi votre enfance.... et on résoudra tout. Sauf quand on s'appelle les Dalton.
Du tout bon Dalton. Je lui préfère "se rachètent" ou "Tortillas".
En cause le traitement du thème de la psychanalyse que je trouve un peu trop caricatural et simpliste ( en même temps, c'était tout nouveau à l'époque).
Pour le reste, c'est un excellent album, avec un Averell toujours aussi drôle. J'adore le personnage du psy.
Un dalton subtile, que les adultes adoreront (peut être moins les enfants). La morale à la fin est très bien trouvée.
Excellent album, Morris et Goscinny sont au sommet de leur art. On retrouve évidemment avec plaisir les Dalton qui par moment sont même touchants au milieu de leur psychanalyse. Un pur régal
Où l'on retrouve avec plaisir le sens de l'humour si développé de Goscinny mis en images par son complice Morris.
Sous le couvert de la psychanalyse naissante, les Dalton sont libérés de prison pour être l'objet d'une expérimentation qui vise à les rendre meilleurs et à corriger leurs penchants naturels vers le mal. À travers le sérieux apparent du scénario, les auteurs se livrent à une surenchère de gags et de jeux de mots qui fleurent bon la franche rigolade. Si l'album titre ses 40 ans d'âge, rien ne semble décalé ni avoir pris une ride.
En tous cas, à l'issue de l'histoire, le « poor lonesome cowboy » ira vers l'horizon juché sur son blanc destrier qui lui aura tout de même infligé quelques vannes sévères !
Un régal…