Lucky Luke
19. Les rivaux de Painful Gulch
Une BD de René Goscinny et Morris chez Dupuis - 1962
01/1962 44 pages Format normal 100 à 150 euros 249
Prépublication dans Spirou (1186 à 1207) en 1961. Lorsque Lucky Luke arrive à Painful Gulch, « cité de la joi et de la pais », il ne se doute pas que la rivalité qui oppose deux familles finit par lasser les habitants. Les O’Timmins et les O’Hara s’opposent depuis toujours. Ils sabotent tout ce qui peut faire du bien à la région, dans le but de nuire à l’autre famille. Lucky Luke est élu maire de la ville à l’unanimité. Il décide d’organiser une grande fête avec des concours afin de réconcilier les deux familles durant le bal qui clôturera la fête.... Lire la suite
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Tome 1 -
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Tome 3 -
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HS02 -
HS03 -
HS04 -
HS05 -
HS06 -
HS07TT -
HS08 -
HS09 -
HS10 -
PF -
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Poche1 -
Poche2
Alors Morris, c’est de l’art ou du cochon ? Le débat est tout vert. Et bleu et jaune pour la nuit blanche des aigris rivaux de la page 43. Celle qui vient après la 42, en rouge et noir, comme dans Stendhal et Jeanne Mas. Première et dernière tentative de Pop art à la française, belge en l’occurrence que les Dalton doivent voir en bleu ou marron ou jaune ou jaune clair, ou jaune foncé, ou bleu ciel aussi, protanopie quand tu nous tiens.
Bref, une performance que vous pourrez vous offrir pour une bouchée de pain, blanc bien sûr. Alors ? Alors, les gouts et les couleurs, moi…
Cela faisait un bail que je ne m’étais pas replongé dans un vieux Lucky Luke. Les rivaux de Painful Gulch est vraiment l’un de mes préférés. Les O'Hara contre les O'Timmins nous offrent une franche partie de rigolade dans leur confrontation (un peu comme les tristus et les rigolus dans Pif gadget). Dans cet album on retrouve tout le génie de René Goscinny et le super dessin de Morris. J’ai adoré gamin et j’adore toujours.
Un modèle de simplicité, d'écriture, un scénario universel.
La scène finale est l'une des meilleures de la série.
Et que dire du rodéo, où Morris prouve toute ses qualités en matière de mise en scène.
Du tout bon, 4/5 car il y en a d'autres que je préfère.
Bon album avec une histoire originale et divertissante. Les deux familles sont stupides à souhait et sont physiquement aussi grotesques l'une que l'autre. La façon dont elles se réconcilient à la fin est très bien trouvée.
aujourd'hui j'ai reçue cet album en version éditeur black and white,une aventure sympa et que j'ai lue en une journée,donc histoire pas très compliquée et qui se laisse lire tranquillement,rené goscinny s'est inspiré d'une histoire réelle survenue dans l'ouest américain dans les années 1880,album sympathique
C'est certainement un avis qui mêle les réminiscences d'enfant et le regard d'aujourd'hui adulte. Pour moi c'est l'un des meilleurs albums de Lucky Luke. Les dessins de Morris sont épurés et efficaces. Enfant, l'on se passionne pour cette rivalité et les épreuves qu'elles mettent en scène. Devenu adulte, l'on s'aperçoit que le scénario de Goscinny est riche de second degré, drôle et fin. Un classique qu'on aime reparcourir, quelque soit l'âge.
Le plus grand Lucky Luke selon moi. Tout est dit dans cet album qui est un exemple de ce qu'une bande-dessinée doit être : un scénario simple mais efficace qu'on ne perd jamais de vue, des gags drôlissimes, et une mise en scène et un découpage qui vire au génie (la scène finale de l'incendie est un modèle graphique).
PARFAIT !!!
Cet album est excellent pour un Lucky Luke. On y retrouve la patte inimitable de René Goscinny qui multiplie les trouvailles humoristiques. La rivalité des O'Hara aux gros nez et des O'Timmins aux grandes oreilles (à moins que ce soit l'inverse) est tout simplement géniale. Le dessin de Morris est quant à lui presque dans sa forme classique (rappelons que les rivaux datent de 1962). Le tout est très agréable et pour le moins réussi.
difficile d'avoir du recul sur la série que j'ai le plus lu enfant. Mais si il fallait sortir un seul album de Lucky Luke, ca serait celui la. Morris est au sommet de son art et le senario de Goscinny est peut etre un des meilleurs qu'il ait ecrit pour cette série, à la fois drole et intelligent.