2. Le cadavre scalpé | jim mac clure | Très bon état | 9.00€ | |
2. Le cadavre scalpé | Barry lyndon | Très bon état | 9.00€ | |
2. Le cadavre scalpé | vladimir2 | Comme neuf | 9.00€ | |
2. Le cadavre scalpé | breub | Comme neuf | 6.00€ | |
2. Le cadavre scalpé | stan prozak | Très bon état | 6.00€ | |
2. Le cadavre scalpé | Oncle Howard | Comme neuf | 4.00€ | |
2. Le cadavre scalpé | Oncle Howard | Très bon état | 3.50€ | |
2a1990. Le cadavre scalpé | Chezbigben | Très bon état | 8.00€ | |
2a1990. Le cadavre scalpé | jim mac clure | Très bon état | 5.00€ | |
2a1990. Le cadavre scalpé | xof 24 | Bon état | 3.00€ | |
2a1990. Le cadavre scalpé | breub | Comme neuf | 2.00€ | |
2a93. Le cadavre scalpé | jim mac clure | Comme neuf | 5.00€ |
Info édition : Première édition : juin 1988. Dépôt légal février 1993. Achevé d'imprimer en janvier 1993. 5 titres au verso.
Les années 40 sont visuellement superbes. Il faut aimer le style de Warn's et Raives, c'est sur. Le style est toujours le même: grands espaces et couleurs délavés, planches muettes et bulles archipleines. Peu ou pas d'actions mais toujours une lancinance psychologique...
Ici ça fonctionne pleinement et il y a de l'action en prime.
Sauf que, si le scénario complexe nous apporte son lot de surprises qui donne de la chair et de l'épaisseur à cet univers de ressentis mélancoliques et bourrés de déchirements, les situations sont tout de même bien capillotractés. Il y a du Deus ex machina à positionner les personnages secondaires dans certains lieux et situations. De plus, il est triste de ne pas mieux connaitre les 2 jeunes indiens desquels toute l'histoire se coordonne.
Par contre, côté ambiance, c'est du grand art: New-York toujours mais aussi la réserve indienne.
Bref on tourne autour du pot sans jamais vraiment puiser dedans, malgré une ambiance superbe. Dommage.
Les années 40 sont visuellement superbes. Il faut aimer le style de Warn's et Raives, c'est sur. Le style est toujours le même: grands espaces et couleurs délavés, planches muettes et bulles archipleines. Peu ou pas d'actions mais toujours une lancinance psychologique...
Ici ça fonctionne pleinement et il y a de l'action en prime.
Sauf que, si le scénario complexe nous apporte son lot de surprises qui donne de la chair et de l'épaisseur à cet univers de ressentis mélancoliques et bourrés de déchirements, les situations sont tout de même bien capillotractés. Il y a du Deus ex machina à positionner les personnages secondaires dans certains lieux et situations. De plus, il est triste de ne pas mieux connaitre les 2 jeunes indiens desquels toute l'histoire se coordonne.
Par contre, côté ambiance, c'est du grand art: New-York toujours mais aussi la réserve indienne.
Bref on tourne autour du pot sans jamais vraiment puiser dedans, malgré une ambiance superbe. Dommage.
La situation geo et temporelle nous amenent aux U.S.A. dans les annees 40 pour un duo photographe -flic ( Europeen - Sud Americain ) differents mais complementaires sontlivres à une enquete parmis les "Indiens" .Le dessin magnifique ( reconstitution de l'epoque d'une part et pêrsonnages d'autre part ) , le scenario sont a la hauteur et nous tiennent sans problemes en haleine
Nouvelle aventure et nouveau bijou.
Cette fois-ci Juan et Lou sont sur la piste d'un assassin qui tel un indien a scalpé sa victime, une jeune femme.
Du coup, Lou rôde dans le monde de la construction car cette industrie employait beaucoup d'Amérindiens pour la construction des gratte-ciels. Les Indiens sont, en effet, réputés pour ne pas subir le vertige (en tout cas les tribus du Nord-Est américain).
La solution, on l'imagine, sera quand même plus complexe que cela.