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Scénario : zéro. Pour une raison quelconque, Yearl a perdu le corps de Sloane et c'est une femme (j'ai pas trop compris la fille de qui exactement) qui le retrouve et le fait revivre grâce à, euh... une technique buccale bien spéciale. Comme par nostalgie pour Delirius, Druillet dédie cet album à Lob et à son transperceneige, et ramène Shaan au premier plan, éternel ennemi de Sloane...
L'histoire n'a pas trop de sens, avec Shaan qui rapatrie le corps de Sloane dans un sarcophage d'or et ensuite l'envoie par train virtuel... La femme déchiffre le code de la salle où repose Sloane grâce a une traduction phonique et physique du requiem de Mozart... en chantant, elle est passée à travers les écrans... Hahaha... D'ailleurs, tout se passe pas mal en virtuel (ou à moitié?) avec des sortes de bagarres de rayons laser. C'est complètement perdu.
Les dialogues sont absolument atroces. Druillet essaie d'écrire une sorte de poésie avec des phrases courtes et cassées, mais ça ne fonctionne pas du tout. Ajoutez-y des insultes hyperboliques, et tout devient plus cocasse que dramatique.
Les dessins manquent cruellement d'originalité, c'est du vu et revu pour Druillet, et même la technique utilisée semble différente qu'à l'habitude. Il y a un côté trop propret (et parfois simplet!) qui m'agace. Il y a quand même deux ou trois planches que j'ai aimées, mais pour une BD de Druillet, c'est très peu.
À fuir! C'est encore moins bon que Gaïl!
Scénario : zéro. Pour une raison quelconque, Yearl a perdu le corps de Sloane et c'est une femme (j'ai pas trop compris la fille de qui exactement) qui le retrouve et le fait revivre grâce à, euh... une technique buccale bien spéciale. Comme par nostalgie pour Delirius, Druillet dédie cet album à Lob et à son transperceneige, et ramène Shaan au premier plan, éternel ennemi de Sloane...
L'histoire n'a pas trop de sens, avec Shaan qui rapatrie le corps de Sloane dans un sarcophage d'or et ensuite l'envoie par train virtuel... La femme déchiffre le code de la salle où repose Sloane grâce a une traduction phonique et physique du requiem de Mozart... en chantant, elle est passée à travers les écrans... Hahaha... D'ailleurs, tout se passe pas mal en virtuel (ou à moitié?) avec des sortes de bagarres de rayons laser. C'est complètement perdu.
Les dialogues sont absolument atroces. Druillet essaie d'écrire une sorte de poésie avec des phrases courtes et cassées, mais ça ne fonctionne pas du tout. Ajoutez-y des insultes hyperboliques, et tout devient plus cocasse que dramatique.
Les dessins manquent cruellement d'originalité, c'est du vu et revu pour Druillet, et même la technique utilisée semble différente qu'à l'habitude. Il y a un côté trop propret (et parfois simplet!) qui m'agace. Il y a quand même deux ou trois planches que j'ai aimées, mais pour une BD de Druillet, c'est très peu.
Lone Sloane a connu des jours meilleurs.