Léonard
46. Le génie crève l'écran
Une BD de De Groot, Bob et Turk chez Le Lombard - 2015
07/2015 (03 juillet 2015) 46 pages 9782803635887 Format normal 249927
Léonard n'est jamais à court d'inventivité et toujours à la pointe de la technologie. Cette fois, il invente la TV 3D sans lunettes et c'est bien sûr Basile, son disciple, qui sert une fois de plus de cobaye !
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Tome 1 -
Tome 2 -
Tome 3 -
Tome 4 -
Tome 5 -
Tome 6 -
Tome 7 -
Tome 8 -
Tome 9 -
Tome 10 -
Tome 11 -
Tome 12 -
Tome 13 -
Tome 14 -
Tome 15 -
Tome 16 -
Tome 17 -
Tome 18 -
Tome 19 -
Tome 20 -
Tome 21 -
Tome 22 -
Tome 23 -
Tome 24 -
Tome 25 -
Tome 26 -
Tome 27 -
Tome 28 -
Tome 29 -
Tome 30 -
Tome 31 -
Tome 32 -
Tome 33 -
Tome 34 -
Tome 35 -
Tome 36 -
Tome 37 -
Tome 38 -
Tome 39 -
Tome 40 -
Tome 41 -
Tome 42 -
Tome 43 -
Tome 44 -
Tome 45 -
Tome 46 -
Tome 47 -
Tome 48 -
Tome 49 -
Tome 50 -
Tome 51 -
Tome 52 -
Tome 53 -
Tome 54 -
Tome 55 -
Compil1 -
Compil2 -
Compil3 -
HS1 -
HS2 -
HS3 -
HS4 -
HS5 -
HS7TL -
INT01 -
INT02 -
INT03 -
INT04 -
INT1 -
INT2 -
MBD15
Mitigé positif mais mitigé.
Parce que les histoires en une page, bon, ça n’est pas intéressant (mais ça a toujours été).
Les histoires en 2, 3 ou 4 pages, souvent, on a comme d’habitude, une bonne base, un développement sympa qui tombe à plat sur la chute.
Pourtant, on a quelques histoires longues (L’appeau des hôtes, Tout va mal, L’oubli or not l’oubli, un Nain posteur) qui sont très sympas et qui auraient même mérité un développement sur un album complet ! Je vois bien Léonard se dépatouiller avec des hôtes destructeurs, comme là, inventant sur tout un album de quoi les dégager ; un disciple devenu beau et intelligent qui dépasse le maître ; un Léonard amnésique et incapable d’inventer ; un type chargé de surveiller les débordements de Léonard qui ne pourrait plus travailler…
Sauf que voilà, on n’a que 5 ou 6 pages à chaque fois (je ne parle même pas de la première histoire où la télé traverse l’écran, tellement exagéré dans le modernisme qu’elle n’est même plus drôle).
Et j’ai l’impression (ce n’est qu’une impression) que De Groot se laisse aller au service minimum : il a de bonnes idées, c’est sympa, mais il n’exploite pas, ne développe pas, et on se retrouve avec un truc sympa mais qui aurait pu être bien meilleur.
Mais bon, ça reste distrayant.
Génie,où es tu? J'ai de plus en plus l'impression de financer la retraite de Turk et De Groot en achetant leurs albums.... Réagissez ou arrêtez!