Lefranc
5. Les portes de l'enfer
Une BD de Jacques Martin et Gilles Chaillet chez Casterman - 1978
01/1978 46 pages 2203314052 Format normal 20 à 25 euros 28162
Lefranc et Jeanjean s'envolent à l'aube d'un petit aéroclub pour saluer le lever du soleil en montagne. Mais tous les instruments de bord et le moteur tombent soudainement et inexplicablement en panne, et le petit avion s'écrase au sommet d'un alpage. Lefranc et son compagnon son recueillis par une jeune adolescente, Lisa, qui vit dans la montagne avec sa grand-mère, Laura Lane, et leur troupeau de moutons. Laura lane, qui semble dotée de pouvoirs de prémonition, perçoit un grand danger. Lefranc voit alors des gerbes de missiles éclater dans le... Lire la suite
Un pointé zéro.
Dessin pas terrible et une aventure de Martin avec un scénario qui n'a ni queue ni tête,comment peut-on donner un 5 étoiles?
"Les Portes de l'enfer" est un album atypique dans la série Lefranc, puisque Jacques Martin puisait jusqu'alors dans la veine scientifique et réaliste pour bâtir ses intrigues.
Incontestablement, ce volume a été influencé par le "Malevil" de Robert Merle, publié quelques années auparavant. Mais si le postulat de départ est le même, le développement qu'en fait Jacques Martin est complètement différent: religion, mystique et sorcellerie peuplent cette histoire, une nouvelle fois formidablement scénarisée.
Ce volume marque également la première apparition au dessin de Gilles Chaillet. Et c'est magnifique!
Un chef d’œuvre. Peut-être mon album préféré de la série.
L’apocalypse et le diable forment un duo de choc dans ce cinquième tome de Lefranc. Notre journaliste se retrouve dans une histoire d’anticipation saupoudrée de maléfices en tous genres. Je continue ma découverte du personnage et les premiers albums sont vraiment à la hauteur des premiers Alix même si je préfère ce dernier. J’ai d’ailleurs remarqué un petit truc page 20 case 4. Si on cache la chevelure de Lefranc… diantre, le visage d’Alix apparait. Comme quoi, il est toujours dur pour un dessinateur de sortir de son univers.
Un tome assez mystique de la série Lefranc. Jacques Martin nous concocte une histoire très bizarre faite de malédiction, sorcellerie et la présence du diable sous l'apparence d'un haut gradé militaire. Le récit est sombre, mystérieux et on pourrait y voir une métaphore sur l'apocalypse et la fin du monde.
On est dans les années 70 et Martin se la jouait peut-être un peu au LSD. De plus, notre ami Lefranc a les cheveux plus longs que d'habitude. Surprenant album!!
Un album à part, teinté de fantastique, de mysteres presque esoteriques. On est loin de l'aventure policière classique. Meme si c'est deroutant, ça a le merite de changer. Une sorte de huis clos avec les rescapés d'une sorte d'apocalypse nous montre un Lefranc different. Chaillet prenait le dessin de la serie, et nous montrait une Lefranc aux cheveux longs. A lire.
C'est Gilles Chaillet, un des collaborateurs de Martin qui reprend les dessins dans cette affaire. A noter que cet épisode n'est sorti que dans le Tintin français (pourquoi ?).
A maints égards, cette histoire basée sur une catastrophe nucléaire (réduite mais tout de même !) fait penser au roman de Robert Merle, Malevil, sorti en 1972.
Intéressant certes mais sans explication aucune. Un album hors norme dans la saga des Lefranc.
Un Lefranc hallucinant dans une ambiance post-atomique, peuplée de cauchemards, de sorcellerie et de mystère. Martin écrit ici un de ses meilleurs scénarios.