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Bof ! Un "sans Lapinot" sans grande saveur. Les gags, les situations, les décors ... tout est redondant. La lecture s'avère de fait assez monotone. En bon "oubapien", Trondheim s'est fixé comme défi d'élaborer un album où chaque page correspond à un gag, avec parfois une idée qui s'étale sur plusieurs pages. L'idée est louable mais le résultat pas franchement transcendant.
Très semblable au deuxième tome, sauf que cette fois, on est avec des personnages de Lapinot à 100 %. Surtout Patrick et Félix, en fait. L'histoire se concentre surtout sur les jeux vidéo et l'informatique de son époque (2001) : il est certain que les références ont vieilli.
La grosse différence entre ces albums et les Lapinot avec Lapinot, pour moi, réside dans le fait qu'ici c'est surtout l'auteur qui nous fait part de ses craintes sur la société contemporaine -- plutôt que de nous présenter une histoire propre à cet univers. Chaque page fait un gag, et certaines idées s'échelonnent sur quelques pages.
Mais, bof. Plusieurs gags se terminent de la même manière (wôhhh, l'autre), et il y a une certaine répétition qui dénote un manque d'originalité. Même le dernier gag de l'album est prévisible et manque tellement d'éclat qu'on a de la difficulté à croire que ça se termine là-dessus.
Je trouve ça très drôle, aussi, que Trondheim écrive Tetris avec un accent aigu (Tétris), alors que Pokémon sans accent (Pokemon)!
Il y a aussi cette conversation à la page 38 :
- Peut-être la décennie idéale était-elle celle de 1960? La croissance mais pas de maladie, pas de guerre...
- La liberté d'expression muselée.
La liberté d'expression était-elle muselée en 1960? Je me demande vraiment ce que Trondheim pense de notre liberté d'expression aujourd'hui en 2023. C'est sûr qu'en 2001, c'était plus libre qu'aujourd'hui en tout cas!
Cet opus est une suite de gags en une planche qui racontent une histoire sur l’album.
Le principe, s’il marche avec les Nombrils, m’a paru bancal ici. J’ai senti une « limite » à l’idée : il faut quelque chose de percutant sur une page mais qui tienne aussi sur la longueur.
Or, ni l’un ni l’autre de ces buts ne m’a paru atteint. Les gags ne fonctionnent pas toujours (pas souvent ?), avec des idées qui se traînent sur plusieurs cases pour arriver à une chute attendue et souvent basée sur le même principe de retournement de l’idée qu’on développe dans la planche.
L’histoire sur la globalité n’a pas d’intérêt majeur…
On est centré sur les deux protagonistes qui, je dois l’avouer, ne m’ont intéressé ni par leur caractère ni par leur envie de créer un jeu.
J’ai donc mollement tourné les pages, sans conviction, peu porté par les décors assez identiques sur tout l’album.
Bof ! Un "sans Lapinot" sans grande saveur. Les gags, les situations, les décors ... tout est redondant. La lecture s'avère de fait assez monotone. En bon "oubapien", Trondheim s'est fixé comme défi d'élaborer un album où chaque page correspond à un gag, avec parfois une idée qui s'étale sur plusieurs pages. L'idée est louable mais le résultat pas franchement transcendant.
Très semblable au deuxième tome, sauf que cette fois, on est avec des personnages de Lapinot à 100 %. Surtout Patrick et Félix, en fait. L'histoire se concentre surtout sur les jeux vidéo et l'informatique de son époque (2001) : il est certain que les références ont vieilli.
La grosse différence entre ces albums et les Lapinot avec Lapinot, pour moi, réside dans le fait qu'ici c'est surtout l'auteur qui nous fait part de ses craintes sur la société contemporaine -- plutôt que de nous présenter une histoire propre à cet univers. Chaque page fait un gag, et certaines idées s'échelonnent sur quelques pages.
Mais, bof. Plusieurs gags se terminent de la même manière (wôhhh, l'autre), et il y a une certaine répétition qui dénote un manque d'originalité. Même le dernier gag de l'album est prévisible et manque tellement d'éclat qu'on a de la difficulté à croire que ça se termine là-dessus.
Je trouve ça très drôle, aussi, que Trondheim écrive Tetris avec un accent aigu (Tétris), alors que Pokémon sans accent (Pokemon)!
Il y a aussi cette conversation à la page 38 :
- Peut-être la décennie idéale était-elle celle de 1960? La croissance mais pas de maladie, pas de guerre...
- La liberté d'expression muselée.
La liberté d'expression était-elle muselée en 1960? Je me demande vraiment ce que Trondheim pense de notre liberté d'expression aujourd'hui en 2023. C'est sûr qu'en 2001, c'était plus libre qu'aujourd'hui en tout cas!
Cet opus est une suite de gags en une planche qui racontent une histoire sur l’album.
Le principe, s’il marche avec les Nombrils, m’a paru bancal ici. J’ai senti une « limite » à l’idée : il faut quelque chose de percutant sur une page mais qui tienne aussi sur la longueur.
Or, ni l’un ni l’autre de ces buts ne m’a paru atteint. Les gags ne fonctionnent pas toujours (pas souvent ?), avec des idées qui se traînent sur plusieurs cases pour arriver à une chute attendue et souvent basée sur le même principe de retournement de l’idée qu’on développe dans la planche.
L’histoire sur la globalité n’a pas d’intérêt majeur…
On est centré sur les deux protagonistes qui, je dois l’avouer, ne m’ont intéressé ni par leur caractère ni par leur envie de créer un jeu.
J’ai donc mollement tourné les pages, sans conviction, peu porté par les décors assez identiques sur tout l’album.